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Quand la revue Nexus n°73, récapitule les mystères de la Lune, et met en plus, le pied dans le plat, sur les raisons qui s'imposent à nos gouvernements, de garder secrètes certaines découvertes ahurissantes.


I Introduction.

      Le 4 Mai 2011, nous avons eu le bénéfice de recevoir par la Poste, le n°73 de Mars-Avril 2011, de la revue Nexus. Nous l'avons commandé, car notre aimable internaute Georges M....., nous avait indiqué qu'il s'y trouvait, un article concernant la Lune, et qui serait susceptible de nous intéresser :



     Comme vous le voyez la revue a jugé préférable de présenter d'autres titres en sommaire, sur sa couverture que celui qui parle de notre Lune, domaine très important relatif au devenir de l'humanité entière. L'avenir jugera bientôt, ce regettable faux pas, car pas besoin d'être un agrégé en philosophie pour savoir que chacun situe son appréhension  des choses et  ses priorités en fonction de ses préocupations immédiates.  Mais il arrive souvent que quelques temps plus tard, ces préoccupations se révèlent n'avoir été que  des futilités qui n'apportaient rien à la compréhension de notre environnement et à notre intégration dans la communauté humaine de cette planète en grande évolution .

     Nous personnellement, et regardant simplement la couverture, nous n'aurions jamais commandé cette revue. Merci donc à George, pour sa délicate attention.

II Genèse de l'affaire.

      Venons-en donc à notre affaire, où l'on découvre dans cette revue, un article qui se veut à vulgarisation scientifique, de 8 pages, venant probablement d'un astronome qui se fait appeler Eupalinos , sans doute pour ne pas salir sa réputation officielle et subir ainsi les railleries ignares, des ses prétendus collègues. Voici donc comment se presentent les deux premières pages 90 et 91 de cette revue :

  


      Rappelons au novice, qui rentre la première fois par cet article, dans le site ARTivision, que dès le 13/02/1998 nous avions publié un article sur les mystères de la Lune et que l'on peut trouver dès lors à l'adresse :

http://www.artivision.fr/docs/myslune.html

      Nous y avons mis en relief, à l'époque, 7 mystères de la Lune ( il y en a bien d'autres certainement), et comme l'article de Nexus71 , parle aussi de certains de ces mystères, il nous vient ici à l'idée, de vous les énumérer à nouveau :

1°) - La différence de densité moyenne 3,33g/cm3 pour la Lune et 5,5g/cm3 pour la Terre, ainsi que la composition des roches lunaires, bien moins riches en métaux que celles de notre bonne Terre, semblent éliminer l'hypothèse que la Lune ait été à l'origine arrachée de la Terre

.

      Cette hypothèse a pourtant, en ce moment, la très grande faveur des scientifiques, qui pour cela font intervenir le choc de la Terre avec une planète presque aussi grosse que Mars, choc qui transformerait d'abord la Terre en une planète avec un anneau comme Saturne puis dans le temps record incroyable d'une année l'anneau devrait réaliser son accrétion pour former la Lune. 27 simulations numériques de différents centres de recherches réalisés pour vérifier cette hypothèse ont abouti au même résultat. (voir la revue Ciel et Espace n°333 de Février 1998). Ce qui est surprenant, c'est qu'une revue qui se veut sérieuse comme Science&Vie dans son n° 1015 d'Avril 2002 dans un article intitulé "Retour sur la Lune" en page 60, nous écrit les paragraphes suivants :

      " D'autres part, les scientifiques voudraient comprendre le rôle qu'a joué notre satellite dans la stabilisation de la rotation de la Terre, un facteur déterminant pour l'essor de la vie. (Note du Webmaster : Tiens, tiens c'est exactement ce que dit l'article soi-disant bidon de la revue "Pour la Science" d'Avril 2000 voir à ce sujet notre surprenant article :
http://www.artivision.fr/docs/Roselune.html )

      Si l'on sait déjà qu'elle est née il y a environ 4,5 milliards d'années du choc d'un planétoïde qui a heurté la Terre et en a arraché un morceau, on ignore si elle s'est détachée d'un seul coup ou si elle s'est formée à partir d'une multitude de petits éclats de notre planète.
"

      Donc comme vous le voyez l'auteur Valérie Greffoz de cet article, n'y va pas par quatre chemins: La thèse de la Lune arrachée de la Terre est une fois pour toute admise et "on le sait déjà" .....un point c'est tout.

      Compte tenu de cette accrétion incroyable citée plus haut et faite en une année, nous pensons qu' il est alors préférable pour l'instant d'admettre que la Lune pourrait venir d'ailleurs.



      Mais comment a-t-elle pu être capturée par la Terre pour se placer sur une orbite formant un cercle presque parfait, nécessitant un freinage rigoureux lors de la satellisation, alors que les satellites des autres planètes décrivent généralement des ellipses plus ou moins étirées ? La probabilité d'une telle capture est donc pratiquement nulle.

2°) - Mais cet événement devient très surprenant, quand on sait que la Lune possède ce que l'on appelle une rotation obligée, ce qui signifie qu 'elle tourne sur elle-même dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la Terre, soit environ 27,3 jours (exactement 27 Jours, 7 heures 43 minutes et 11,5 secondes). La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone est que la Lune nous présente toujours la même face. Si la Terre avait une rotation obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé face au soleil et l'autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle.

       Nous nous sommes demandés, si cette situation, appelée par les spécialistes, "la résonance spin-orbite", était courante dans le système solaire. Voici la réponse que nous avons obtenue De notre ami Frendelvel :

"Oui ! puisque c'est le cas de la plupart des satellites naturels des planètes du système solaire. Un peu plus de 60 satellites naturels sont répertories actuellement dans le système solaire. Il y en a exactement cinquante qui ont la même synchronisation que la Lune, c'est à dire qu'ils effectuent une rotation sur eux mêmes précisément dans le même laps de temps où ils bouclent une révolution autour de leur planète respective , ce qui a pour effet, lorsque leur excentricité orbitale est faible (ce qui est généralement le cas), qu'ils montrent toujours la même face à la planète."

      C'est ainsi que nous avons appris que le satellite Titan de Saturne, a sa période de rotation sur lui même, égale à 15,95 jours, et que sa période orbitale autour de Saturne est exactement égale aussi à 15,95 jours. Autrement dit Titan n'a rien à envier à la Lune du côté de la synchronicité.

      Dans un article remarquable d' Éric Bois de la revue "Pour la Science" , n°285 de Juillet 2001, nous avons appris, que la Lune possédait un deuxième synchronisme: En effet, d'une part son axe de rotation tourne (comme celui d'une toupie) autour d'une position moyenne et décrit la surface  un cône (appelé cône de précession) en 18,6 ans,  et d'autre part, la Lune voit de plus, l'axe perpendiculaire à son plan orbital, décrire également un autre cône, en exactement aussi 18,6 ans. Cette seconde précession  a pour conséquence, le décalage des nœuds ascendant et descendant,  points d'intersection de l'orbite de la Lune et de l'écliptique (plan de l'orbite moyenne de la Terre passant par le centre du soleil). A chaque fois que la Lune croise le plan de l'écliptique, les nœuds se décalent légèrement pour ne retrouver leur position initiale qu'au bout de 18,6 ans. Ce deuxième synchronisme peut-il une fois de plus être mis sous le compte  de  l'effet du hasard ?... Aux spécialistes de répondre...

       Ce double synchronisme de la Lune, nous dit la revue précitée, engendre deux fréquences supplémentaires dites "fréquences de résonance", de 2,9 ans et de 80,1 ans, qui combinées aux fréquences déjà  citées de 27,3 jours et  18,6 ans, régissent donc toutes les perturbations connues de la rotation de la Lune. Cela   joint en plus, au fait que son volume  représente près de 2% de celui de la Terre et sa masse 1%, pourcentages de loin supérieurs à tous ceux obtenus par toutes les autres planètes et leurs satellites , va entraîner donc le fait que le "duo Terre-Lune" se présente comme une " planète double " ce qui en fait un couple presque unique en son genre dans le système solaire.(Remarquons en passant aussi l'exception du couple Pluton-Charon, encore plus extraordinaire, car le satellite Charon tourne autour de Pluton en 6,39 jours et la planète Pluton tourne sur elle-même, chose bien bizarre, exactement aussi en 6,39 jours également, si bien que Pluton possède un hémisphère où Charon apparaît totalement immobile dans le ciel comme le serait un satellite géostationnaire pour la Terre ) .

3°) - Préoccupons-nous maintenant de l'ancienneté des roches lunaires : La revue américaine, trimestrielle de Juin 1976 intitulée "UFO REPORT" contenait un article remarquable de huit pages de Don Wilson tiré probablement de son livre "Our mysterious space ship Moon" paru aux États-Unis en 1975 et seulement en 1979 en France. Jetons, voulez-vous, un coup d'œil furtif sur l'information hors norme que contient cet article, qui est en anglais bien sûr et dont nous vous donnons une modeste traduction ci-dessous :

  ...Mais le premier spécimen de roche que l'astronaute Neil Armstrong ramassa dans la Mer de la Tranquilité  après son alunissage se révéla dater de plus de 3,6 milliards d'années. Mais ce ne fut qu'un début dans l'histoire de ce mystère d'ancienneté. L'une des pierres rapportées au cours de ce premier voyage, se révéla d'un âge déconcertant de 4,3 milliards d'années. Une autre roche (la n°13) atteint la datation encore plus exceptionnelle de 4,5 milliards d'années.. Et un échantillon de sol rapporté par Apollo 11, se révéla vieux de 4,6 milliards d'années - l'âge même que les scientifiques attribuent à la Terre et et au système solaire. De même, les sondes inoccupées soviétiques, décelèrent dans l'une des plus anciennes mers de la Lune , la Mer de la Fertilité, des pierres âgées de 4,6 milliards d'années. Cependant selon le périodique d'astronomie bien connu , "Sky and Telescope", la Conférence sur la Lune de 1973, à laquelle participèrent la plupart des spécialistes lunaires de la NASA, révéla que l'on avait découvert une roche lunaire datant de 5,3 milliards d'années. Un autre rapport, fondé sur la méthode potassium-argon qui est aujourd'hui, le système de datation, le plus précis, établit que "certaines pierres" ont atteint l'âge incroyable de 7 milliards d'années.
  Et s'il faut croire un autre rapport "deux pierres rapportées par Apollo 12 ont été estimées pour avoir l'âge de 20 milliards d'années." Incroyable ? Apparemment, car il s'agit là de 4 fois l'age de notre planète et notre système solaire... Autant que nous le sachions, c'est la limite d'âge extrême qui ait jamais été attribuée à une partie de l'Univers....
  Dans un article de "Chemistry" de Février 1974 , le Dr Urey avance que des pierres lunaires ont révélé qu'elles contenaient des isotopes du Xenon produites par la fission du plutonium 244 , qui n'existe pas sur la Terre, ce qui indiquerait que la Lune est beaucoup plus ancienne.


       Que dire de plus, si ce n'est encore que: Le sol et les roches lunaires ont suscité tant de contradictions qu'une équipe de savants de l'Institut Technologique de Californie (Caltech) a présenté un rapport intitulé "The Lunatic Asylum " ( L'Asile de Fous)..."

       Ou encore: Au lieu de nous donner des réponses aux questions clefs et aux problèmes cruciaux que l'on se pose au sujet de la Lune, un scientifique a déclaré à l'époque: "La Lune nous a donnés des réponses pour lesquelles nous n'avons pas encore formulé de questions.".

4°) - Quelle est d'autre part, la nature de ces concentrations de masses énormes appelées pour cela "mascons" et qui sont enfouis à différents endroits dans le sous-sol lunaire? Ces mascons ont la particularité de perturber les trajectoires des sondes en orbite autour de la Lune. Découverts vers 197O, ils se localisent principalement sous les mers lunaires.

5°) - Les différents sismomètres déposés par les astronautes sur la Lune ont enregistré des ondes de surface dont les vibrations ont été beaucoup plus longues que ce que l'on avait prévu lors de l'impact de la partie supérieure du "Lem", précipitée sur la Lune avant le retour sur Terre.

       L'expérience a été réalisée plusieurs fois et la Lune a vibré parfois plus d'une heure, ce qui a fait dire au géophysicien Maurice Ewing : "C'est comme si l'on avait heurté une cloche...". La lune serait-elle donc creuse?. Évidemment aucune explication satisfaisante n'a jusqu'à présent été trouvée.

6°) - La Lune n' est pas morte comme on pourrait le croire. Des phénomènes lumineux insolites ont été aperçus à sa surface depuis très longtemps. Au cours des trois derniers siècles et en 1971, on notait près de 1500 cas de taches lumineuses brillantes, et de changements temporaires, nommés pudiquement phénomènes transitoires, par les spécialistes, (TLP :Transient lunar phenomenon) qui ont été notés sur la surface lunaire, dont plus de 200 concernant la seule région du cirque d'Aristarque.

       Mais relevons donc ici, un cas assez récent : Quelle était la nature de la tache très brillante, couleur rouge rubis en forme d'ovale très allongée sur près de 22 km de long (voir le bout de la flèche bleue dans l'image plus bas) découverte le 27 Novembre 1963 par les astronomes James Greenacre et Edward Barr de l' Observatoire Lowel dans I'Arizona ?

       L'observation faite sur l'arête du rempart du cratère d'Aristarque pourtant dans l'ombre à ce moment là, dura 75 mn des clichés en noir et blanc furent obtenus, et on peut les voir à la page 65 de la revue Science et Vie n° 559 d'avril 1964 :


7°) - Des structures géométriques notoires apparaissent sur la Lune.

- Quelle est par exemple , la nature de la forme géométrique très structurée ressemblant à un demi porte-avions colossal de prés de 26km de long et où apparaissent à l'extrémité d'une plate-forme rectiligne des sortes de sphères de plus 4km de diamètre chacune, surmontées d'une gigantesque flèche formant un angle droit parfait avec cette plate-forme? Cette "superstructure" est visible sur la face cachée de la Lune sur une photographie de la NASA, prise par les astronautes d'Apollo 8, publiée pour la première fois et aussi l'unique fois en France par le Paris-Match 1028 du 18 Janvier 1969 à la page 33. (Voir ci-dessous l'image Paris-Match 1028 ):


Et aussi un agrandissement de la superstructure :


lire à ce sujet notre article match.html.

et aussi notre article sorti le 18/04/2011 tel que :
http://www.artivision.fr/docs/TheCanadianNatNewspaper.html

     Faute d'avoir pu mettre la main sur le négatif, utilisé à l'epoque, par Paris Match, nous avons demandé à une maison spécialisée dans la 3D, d'imaginer la superstructure en question, et voilà ce que cela a donné :


- Mais jetez aussi un petit coup d'oeil sur ce truc, encerclé sur un rampart du cratète Copernic déjà bien raboté, n'est-ce pas, sur sa droite :


     Cette photo a été présentée dès 1973 par Alfred Nahon dans son remarquable ouvrage "la Lune et ses défis à la science"? paru aux Editions Mont-Blanc.

     Mais, parmi les surprenantes images de cet ouvrage, extrayons aussi celle-ci :



- On pourrait aussi ici se demander pourquoi, la NASA n' a-t-elle pas envoyé plutôt (dans les 6 missions qui ont exploré le sol lunaire), des astronautes sur les bords du cratère Vitello, où l'on voit sans discussion possible des traces de plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ 5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes de deux petits cratères ?

    En effet, en Août 1967, la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135), nous l'avons dit, à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes) deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours. Dans l'image de droite, nous avons matérialisé en blanc les deux trajectoires :

  


    Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m . Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?

    D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.

    Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?

    Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck présentée plus haut mais qui pèse 6 fois moins sur la lune ), a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m) et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?

    Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et vie de Mars 1968 N° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".

    Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé" juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé" en même temps de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image ci-dessous :


III Conclusion.

     Pour en savoir plus sur cette affaire qui concerne l'humanité entière, il est bien sûr important de lire en entier l'article en question de la revue Nexus 73. Mais, nous ne résistons pas au plaisir de vous confier, aussi la fin de cet article qui se présente comme suit :



     Comme vous le voyez, nous avons souligné en rouge, certaines phrases clefs de cet article, où l'auteur fait allusion à notre mentor, Jean Sendy, sous la forme :

     Traces des cosmonautes?

     Qu'en est-il des traces des cosmonautes évoquées par l'écrivain Jean Sendy ? Dans sa candeur, il pensait que si de telles traces existaient, le public en serait immédiatement informé. C'était oublier que l'existence prouvée d'extraterrestres, nécessairement très en avance sur nous, provoquerait une remise en cause de toutes les religions et un énorme choc des consciences dans toutes les cultures. Mais aussi et surtout que la rétention d'information, particulièrement de cette importance, est une des clés essentielles que le pouvoir, qu'il soit religieux, civil ou militaire, garde jalousement pour assurer sa pérennité.

     Rien à dire de plus et c'est, en substance, ce nous avons mis exergue dans notre article :

http://www.artivision.fr/docs/raisonis.html

      Nous sommes donc fiers de possèder désormais cette revue dans notre bibliothèque, car de plus, l'article de Monsieur Eupalinos, (que nous félicitons ici pour son superbe propos), se termine par une bibliographie très pointue, où il fait deux fois allusion, à l'ouvrage de Mr Robert Jastrow, si souvent évoqué sur ARTivision, tel que :

  


     En vous y précipitant à la page 119, alors vous y trouverez aussi ceci :


      La flèche rouge nous indique que le complexe très structuré de Rutherford un petit cratère sur le bord du grand cratère Clavius vers le sud de la Lune. Il y a une sorte d'obélisque surélévé sur une plateforme carrée. On y voit aussi cette sorte d'arche gigantesque en suspension sur du vide, puique son ombre apparaît en dessous de son extrémité comme l'indique ma flèche bleue. Notons toujours à droite de cette arche, de nombreux blocs à bords parallèles ou orthogonaux.
      Il est évident que les journalistes qui ont les moyens (comme ceux qui sont prisonniers en ce moment en Afghanistan) auraient mieux fait de se précipiter chez Monsieur Robert JASTROW (s'il est encore vivant), et de lui demander humblement de sortir de ses dossiers, le négatif de cette incroyable photo de la Lune, qu'il a produite dans son livre et là ces journalistes auraient touché vraiment le gros lot, sans risquer inutilement leur vie, car tout est une question de niveau de l'information, que l'on désire offrir à son public.

     Ce 13 Mai 2011, alors que nous fêtons notre 72è anniversaire, nous apprenons que cela fait dèjà 500 jours que ces malheureux journalistes et leurs accompagateurs autochtones sont retenus prisonniers en Afghanistan. Mais, nous avons complétement oublié, que nous avions déjà évoqué cette malheureuse situation, dans notre article en date du 01/01/2010 placé à :

http://www.artivision.fr/docs/Obamaetrenseignement.html

         Que dire de plus, sinon : Que la Force soit avec vous, Oh entités opprimées, et avec tous ceux qui espèrent en votre proche libération...

     Article mis en page le 09/05/2011, et revu le 12/05/2011, et revu le 13/05/2011, et revu le 14/05/2011.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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