Consultations pour cet article :
ARTivision est une page Web strictement personnelle de :

Fred.IDYLLE - COPY RIGHT 1997

Pour tout contact avec ARTivision
fred.idylle@orange.fr

Bonne lecture !
Communiquez nous vos commentaires.
Merci d'avance.
Adresse du site :
http://artivision.eu


Quand dès 1877, un intrépide chercheur s'interroge déjà sur le contexte
des vortex polaires.


I Introduction.

      Le 08/09/2010, nous avons eu le plaisir de recevoir en PDF, de notre ami canadien Sébastien C..., le fascicule de 32 pages intitulé : " Shall we ever reach the pole ?" (Pourrons-nous jamais atteindre le Pôle ?), dont voici la première page :


    Vu l'audace du sujet évoqué à l'époque, l'auteur a préféré rester anonyme, et nous à ARTivision, le comprenons parfaitement.

     Pour visualiser ce document en entier, veuillez svp aller à :

http://www.archive.org/details/shallweeverreac00polegoog

    Nous allons donc tenter de vous traduire, modestement bien sûr, quelques pages significatives de cet ouvrage, et pages qui commencent ainsi :

  

    

II Genèse de l'affaire.


    Voici donc, ce que nous extrayons de ce texte :

Pourrons-nous jamais atteindre le Pôle ?

       Il y a deux questions qui passionnent actuellement le monde : "Est-ce que les russes ont conquis Constantinope?»"(Note du Webmastre nous sonmmes bien sûr en 1877), et "Pourrons-nous jamais atteindre le Pôle ?". Mon but, n'est pas de traiter de la première question, mais de tenter de répondre à la dernière.

"Omne ignotum pro-magnifico et il y a certainement un charme merveilleux qui s'attache au Pôle Nord », affirme le Times. Il est néanmoins toujours attrayant. Certes, les événements récents ont mis clairement en évidence le sujet en question, mais depuis des siècles, ce problème a troublé les âmes des philosophes et des gens de mer, qui cherchaient comment atteindre cet étrange et mystérieux endroit.

     Mr. Somerville, nous dit : "Il y a, quelque chose de sublime dans la contemplation de ces hautes et inaccessibles régions - le terrible domaine de glace et de feu perpétuel (Note du webmaster : cette affaire de feu perpétuel, nous interpelle ici grandement), où il n'existe qu'une journée et qu'une nuit dans l'année. L'étrange et la terrible symétrie dans la nature des terres à l'intérieur des cercles polaires, dont les limites sont pour nous inconnues, où les principes antagonistes du froid et la chaleur (??) se réunissent à leur intensité extrême, remplit l'esprit de cette crainte qui naît de l'idée de l'inconnu et l'indéfini."

     Comment, l'esprit de beaucoup de grands navigateurs de ce monde, aspirait-il à avoir une connaissance des extrémités de la Terre ? Que furent les sentiments de Parry, quand il s'est trouvé, malgré ses grandes résolutions à persévérer, traîné en arrière sur la glace flottante aussi rapidement qu'il cherchait à avancer et, qu'il ait pu dire, alors: ""où peux-tu jusqu'à présent aller"

     Qui peut dire ce que furent les sentiments de Hall, lors de sa dernière expédition en luge, à partir de son sévère avant-poste, ce que représente cette étrange "cercle de lumière, qu'il vit assurément.

     Et, pour en venir aux événements de ces derniers mois, n'est-il pas un sentiment presque universel de regret que notre marin, n'ait pas osé affronter encore un autre hiver.

    Il n'est pas trop tard, même maintenant, d'essayer de nouveau pour éviter ainsi de perdre l'honneur de résoudre le mystère polaire.

    Pour répondre à la question: Pourrons-nous jamais atteindre le Pôle ?, j'espère montrer que "le Pôle ne peut être exploré", parce que c'est impossible, et je dois demander au lecteur de suspendre son jugement jusqu'à ce que puisse lui être présenté, ce qu'un homme d'État très distingué et érudit d'aujourdhui, considère comme de "très curieuses et remarquables propositions."

    Il y a plus de trente ans, M. Plateau, le célèbre physicien belge, a fait des expériences très curieuses avec des liquides. Il a placé une petite sphère d'huile au milieu d'un liquide de la même spécifique gravité, un mélange d'eau et d'alcool. L'huile est alors restée librement en suspension et parfaitement sphérique.

    Il a introduisit dans l'huile un petit disque métallique avec une tige de fer, qui passait par son centre perpendiculairement. Le disque était complètement cachée dans l'huile au niveau de son équateur, et la tige franchissait ses pôles nord et sud.

    Par un artifice mécanique, le disque et le fil ont été mis en rotaion lentement. La rotation de la aphère a entrainé son aplatissement aux pôles et son renflement à l'équateur. Lorsque le mouvement de rotation du disque a été arrêté, l'huile est revenue à sa forme sphérique. Il en ressort donc que le mouvement de rotation produit un aplatissement aux pôles et un renflement à l'équateur.

    Lorsque la sphère a été contrainte de tourner plus rapidement, elle a pris son maximum d'aplatissement, puis est devenue creuse au-dessus et en-dessous autour de l'axe de ratation, s'allongeant continuellement dans une direction horizontale, et enfin, en s'éloignant du disque, elle a été transformée en un parfaite et régulier anneau. M. Plateau nous dit :" Le ciel nous montre un corps d'une forme analogue à notre anneau liquide, je veux parler de l'anneau de Saturne". M. Plateau a ensuite montré que le liquide le plus proche de l'axe a été par la rotation, chassé, et que lorsque la rotation continue "il a nécessairement entraîné la formation d'une sorte de coussin circulaire (bourrelet) plus ou moins marqué. En d'autres termes la masse est rapidement devenue creuse au milieu en se gonflant tout autour .... Tout le liquide a fui l'axe pour constituer le bourrelet, et ce dernier devint un anneau véritable "

    Appliquons maintenant ce procédé à une planète dite la Terre. C'est la croyance quasi universelle qu'elle a été à l'origine un fluide d'une forme gazeuse. Elle est, par sa rotation, par conséquent aplatie aux pôles et gonflée à l'équateur. M. Plateau lui-même admet que si l'on compare la sphère d'huile avec la planète "les résultats doivent être analogues, sinon identiques, eut égard aux conditions de la masse en cause."     Que peut-on alors en conclure ? C'est ceci : la Terre doit être creuse certainement autour de l'axe, et si le pouvoir rotatoire avait augmenté considérablement, la planète deviendrait un anneau. Si, alors, la Terre est creuse autour de l'axe, elle doit être creuse autour des pôles nord et sud, et par conséquent les pôles n'ont pas d'existence réelle, mais sont des points imaginaires.

    Une objection sera sans doute soulevée sous la forme : Quand la rotation de la sphère d'huile fut lente, alors il y avait un aplatissement aux pôles, il n'y avait pas de creux. A cela je répondrai que le creusement est autant fonction de l'effet de la rotation, que l'aplatissement lui-même l'est aussi. Mais le creusement est incapable de se manifester au niveau des pôles de l'huile de la sphère, où la vitesse est très inférieure à l'équateur, parce que le liquide qui entoure l'axe empêche les particules d'huile au niveau des pôles de le quitter; dès cependant que le mouvement de rotation est plus grand, alors les particules de la sphère d'huille situées aux pôles ont une force suffisante pour vaincre la pression du liquide, et le creusement aux pôles se manifeste. Tout le monde doit admettre que le principe a été à l'œuvre partout, et le movement s'est accru, à tel point qu'il devint manifeste. L'aplatissement est indépendante du liquide environnant l'axe, et étant le résultat de la saillie à l'équateur.

    Nous n'avons pas à faire face à ces difficultés en ce qui concerne la Terre, car elle est entourée par pratiquement de vide. Le lecteur gardera à l'esprit que je parle de la Terre, quand il était dans un état fluidique, et qu'elle a pris sa forme, mais même en ce qui concerne la Terre d'aujourd'hui, y compris les atmasphères, il en est de même, car l'atmosphère participe de son mouvement.

    Maintenant, que la rotation de la Terre est comparativement lente, la progression vers la forme annulaire n'est pas amorcée, la rotation est cependant suffisante pour conduire toute la matière autour de l'axe au moins 318 miles (voisin de 512 km), et jusqu'àlors, la Terre serait une sphère de fluide avec un cylindre creux de 2000 miles de circonférence, l'extension de pôle à pôle. Mais comme la Terre était sans aucun doute à l'origine, une masse nébuleuse en cours de condensation, sa rotation aurait poussé la matière située autour de l'axe, avec une plus grande force plus près de celle qui réside au centre; et ainsi la matière s'est dans le temps, refroidie par l'extérieur et une croûte s'est formée, et a été incapable de forcer son chemin externe vers l'équateur, et la giration aurait lieu aux pôles nord et sud dans les ouvertures polaires à la maniète de l'eau qui tourne dans un seau, quand on la met de giration....

....Notre terre est alors, pour ainsi dire, une vaste bulle, ayant une petite ouverture à chaque pôle. Peut-être le lecteur aura une plus claire idée des dimensions en cause, en prenant une orange d'environ deux pouces (voisin de 4,5 cm) de diamètre pour représenter la Terre; l'ouverture polaire sera d'environ un sixième de pouce (4,2mm) de diamètre, qui peut être représenté à peu près par la petite dépression circulaire causée par l'enlèvement de la tige. Il sera en mesure de se faire une idée assez précise de l'épaisseur de la croûte en imaginant le zeste de l'orange devant être représenté par une feuille de papier de 0,12mm d'épaisseur, qui est, l'épaisseur du papier ordinaire dans un livre imprimé.....



    Nous sautons bien sûr quelques pages moins intéressantes et arrivons à celles en 17,18,19 :

    

       Les taches brillantes bien connues au niveau des pôles de Mars ne sont pas faites de neige ou de glace, comme il est universellement estimé, mais de matière incandescente (Note du webmaster. L'auteur ignore à l'époque la présence d'un petit soleil au centre de la Terre). Si je pouvais aborder ici le sujet, il ne serait pas difficile de montrer cela. Je dois, toutefois, me contenter de deux ou trois remarques. L'intensité du Soleil sur Mars - elle n'atteint pas la moitié de ce qu'elle est sur la Terre - ne pouvait pas réduire un cercle de glace et de neige de 1000 miles de diamètre en un autre de 500 miles de diamètre en un mois, même si cette intensité était la même. L'éclat est éblouissant, et non pas comme de la glace ou même les nuages le montreraient. (note du webmaster : l'auteur aurait-il déja à l'époque observé quelque chose d'analogue à ceci où Mars était alors au plus près de la Terre à environ 56 millions de km :



bien que les appareils utilisés alors, étaient moins performants ?)
.

      La notoire apparition observée, est effectivement due à la coulée d'un liquide incandescent.

      Encore une fois, l'aspect tronqué observé sur le sommet de Vénus et de Mars lors de leur apparence gibbeuse, - est censé être dû à des montagnes extrêmement élevées, et cela donne une explication naturelle à ma théorie.

      En ce qui concerne la Terre considéré comme un sphéroïde creux,mais pas cependant comme un parfait sphéroïde, car on sait que le diamètre de la Terre aux latitudes centrales est supérieur à ce qu'elle serait dans un vrai sphéroïde , ce qui est de nouveau en conformité avec théorie,

      Là apparaît l'évidence que les ouvertures polaires varient de diamètre avec la position de la Terre dans son orbite. (note du webmaster : là l'auteur marque un très gros point car nous pouvons actuellement faire valoir cet extraordinaire et composite cliché :


réalisé dans les années 7O par le satellite géostationnaire ATS III et où l'on voit parfaitement que le diamètre de l'ouverture polaire se modifie notoirement)
. La mesure de la variation est, cependant, rien de tel que celle observée sur Mars, car la Terre n'a que peu d'excentricité, et est beaucoup plus avancée dans sa phase de refroidissement, et a une croûte très solide, qui n'est pas celle, je pense, de Mars .

      Pour cette variation dans le diamètre de l'ouverture polaire, on peut attribuer les soudaines et grandes perturbations qui se produisent dans les régions polaires, "qui avec une puissance magique, disloquent les terre de glace et les vastes étendues polaires de trente pieds d'épaisseur, qui, dans quelques-uns compte-rendus officiels sont de petits fragments ". Les fluctuations perpétuelles des ouvertures polaires peuvent aider à donner lieu à des marées et des courants polaires significatives.

      De nombreux et célèbres géographes de l'Arctique croient à l'existence d'une mer libre autour du pôle. L'existence d'une grande ouverture, plus de 600 miles de diamètre, à l'intérieur de la Terre, ne peut avoir une influence sur le climat des régions circumpolaires.

      Cette mer libre du pôle, D'après les conjectures de Maury , est produite par un courant dans le détroit de Davis en passant sous la glace et en faisant sa ronde apparence du pôle, en produisant une zone d'eau chaude qui agit d'une manière bénéfique sur le climat entourant l'Arctique. Mais avant Maury, Wrangel et d'autres géographes et navigateurs de Russie l'avait pressenti à partir de divers faits. Wrangel déclara que, lorsqu'il fut dans le voisinage de cette mer libre du pôle, il a été toujours enveloppé par des vents du nord dans un air humide, alors que dans l'Arctique au nord de la Sibérie, il existe un vent du nord des plus perçant. M. Kane a estimé qu'il avait atteint le point de cette mer libre du pôle de latitude 82 °. (note du Webmaster : L'auteur semble avoir eu en main l'ouvrage de 1856 de Kane intitulé " Arctic Explorations" , où il est écrit ces mots incroyables :     "Il est impossible, en rappelant les faits relatifs à cette découverte,- La neige fondue sur les rochers, les troupes d'oiseaux marins, la végétation augmentant de plus en plus, l'élévation du thermomètre dans l'eau, de ne pas être frappé de la probabilité d'un climat plus doux vers le pôle. Mais signaler les modifications de température au voisinage de la mer libre, ce n'est pas résoudre la question, qui reste sans réponse : Quelle est la cause de la Mer libre ? ")

      Et bien que la dernière expédition anglaise ait montré qu'il n'y avait aucun signe d'elle à 83°20', les deux montrent, qu'il y a deux saisons qui sont dures et douces dans les régions de l'Arctique ainsi que dans des latitudes plus tempérées. En ce basant sur l'expérience de notre dernière expédition et en la comparant avec celles des précédentes, nous devons conclure que 1876, était une année d'une gravité exceptionnelle, qui se trouve être due à une carence dans l'approvisionnement usuel de la vapeur chauffée de l'intérieur de la Terre, qui, à son tour dépend en grande partie de la mouvance intérieure, ce qui est intimement lié avec les taches solaires et leurs périodes....

     A la fin de la page 20, et en page 21, on trouve alors :

      En voyageant vers le pôle, il est impossible d'avancer au delà des points qui sont sur la circonférence d'un cercle dont le centre serait le pôle imaginaire et ayant un rayon de 318 miles (voisin de 512 km). Ce cercle d'un diamètre de 636 miles, éloigne donc de 318 miles toute terre et mer environnant le Pôle. Une distance de 318 miles anglais, est équivalente à 4°34' qu'il faut soustraire de 90°, ce qui donne 85°26 de latitude pour le cercle en question et alors 83°20 comme la plus haute latitude atteinte où il reste une distance de 2°6' ou 146 miles anglais ou 126 miles géographiques qui pourraient être explorés. Note du Webmaster : Dans notre article :RaymondBernardouvrageTC.html, nous avons déjà répondu à cela ainsi :

     Début de citation :


3. Que, suivant notre théorie d'une Terre plutôt concave que convexe à ses deux extrémités, le pôle Nord et le pôle Sud n'ont jamais été atteints pour la bonne raison qu'ils n'existent pas.
- Hélas ce n'est pas tout à fait vrai, car on pense actuellement que l'axe polaire de rotation n'est pas confondu avec l'axe passant par le centre des trous polaires comme l'indiquerait le schéma suivant :



     Et donc il existerait bien des pôles géographiques Nord et Sud, juste sur le bord externe de la courbure et c'est cela que détectent les GPS de ceux qui sont fiers de montrer qu'ils sont arrivés aux pôles.


     Fin de citation.

     Il est parfaitement connu que l'expédition Polaris eut lieu à une période bien différente que celle de 1876. Notre expedition trouva une nature aussi silencieuse qu'une tombe et aussi vide d'organismes vivants que le Sahara. Comme ce fut différent en 1871."la vie animale fut découverte à profusion. La mer était remplie d'une manière extraordinaire d'invertébrés comme des méduses, des crevettes....et des phoques très en abondance. De nombreux insectes furent observés.... papillons, mouches, abeilles et d'autres insectes de même nature" (Note du Webmaster: On reparlera de cette profusion d'organismes vivants aux pôles, 29 ans plus tard, dans le chapitre 12 de l' ouvrage surprenant de l'américain William Reed "The Phantom of the pôles" (fantômes des Pôles) publié en 1906 par Fiedcrest Publishing Co Inc 210 Fith Avenue New York 10, N.Y. Non traduit hélas en français :

 

     Là, apparaîssent de nombreuses raisons de croire que le Capitaine Hall, aurait pu aller au-delà de sa plus haute latitude de 82°16, s'il n'avait pas été brutalement frappé par la mort. Il y a un certain grand mystère au sujet de sa mort. Si nous en examinons les circonstances de cette mort, la raison pourrait alors être découverte. Capitain Hall, Mr Meyer, et d'autres montèrent une expédition en traineaux aussi loin que Repulse Harbour. Sur un monticule de 1700 pieds ils aperçurent une terre au nord-est......."Mr Meyer a aussi déclaré que directement en direction du nord, il observa un jour très clair, à partir du monticule en question, une ligne de lumière apparamment de forme circulaire qui d'après d'autres obsevateurs pourrait être une terre, mais que lui, il supposa être une indication de la mer libre". Nous ne savons pas ce que fut l'opinion de Hall. Mais nous savons que l'expédition plia bagages immédiatement pour en préparer une autre à une plus grande échelle. Il n'est pas improbable que Hall, avait pour but de découvrir la nature de cette une ligne de lumière. Très peu de temps après qu'il ait rejoint le Polaris, il fut frappé d'une crise d'apoplexie et mourrut. Cette crise fut selon moi, le résultat de son enthousiasme à croire qu'il était sur le point de faire une importante découverte....

III Conclusion.


      Nous pourrions bien sûr, vous traduire beaucoup d'autres pages de cet opuscule, mais pour éviter toute saturation, arrêtons ici, voulez-vous, la traduction de ces quelques paragraphes choisis de ce texte surprenant pour son époque. Les puristes n'hésiteront pas eux, à aller plus loin. Merci d'avance, pour leur collaboration...

      Bien qu'il y ait dans ce texte quelques phrases ambigües et quelques affirmations archaïques, que nous n'avons pas mises en exergue, nous restons muets d'admiration pour l'audace de ce chercheur de 1877, qui a pratiquement tout découvert mise à part, la présence d'un soleil au centre de la Terre, responsable des "cercle of light" (cercle lumière) mentionné page 4, et "line of light" (ligne de lumière ) mentionnée page 22.

    Pour terminer nous croyons qu'il est judicieux de vous transmrettre ici quelques lignes significatives de la missive de l'ami internaute Benoit N.. :

----- Original Message -----
From: Benoit N...
To: Sent: Monday, August 24, 2009 1:38 PM
Subject: Terre creuse un début de démonstration ?

           Cher Fred,

     je suis votre site avec intérêt, et je tiens ici à porter à votre attention cette expérience consistant à faire tourner un sceau d'eau à grande vitesse expérience citée sur :

http://zone-7.net/articles.php?pg=art25

     Je n'ai pas trouvé la référence sur Nature.com .......(l'anglais n'est pas ma tasse de thé....).L'évidence m'a sauté aux yeux. Dans un système en rotation comme la Terre, un vide se crée forcément à cause de la force centrifuge.
     Un équilibre se fait entre force de gravité et force centrifuge pour répartir la matière. Ici les parois du sceau font office de gravité.

      Mais je ne suis pas physicien pour appuyer ces constatations de calculs. La forme du vide peut varier du carré à l'hexagone... à rapprocher d'un des pôles de Saturne voir :

http://www.dailymotion.com/related/x70m2i_chladni-115_webcam/video/x70shv_chladni-915_webcam

     L'intérieur de la Terre serait-il un dodécaèdre ? Les scientifiques ont-ils refait cette expérience en apesenteur avec une bulle d'eau ou différents mélanges ?

     Faites votre profit de tout cela, si vous y voyez un intérêt , remaniez le...

          Cordialement.

          Benoit...


     Et voici une portion de notre réponse à Benoit, le 24/08/2009.

     Bravo donc pour votre besoin d'approfondir vos recherches sur cette affaire incroyable de Terre creuse, et je vais pouvoir ici vous faire certaines révélations qui n'apparraissent pas sur mon site, car je ne tiens pas avoir affaire avec les sbires des Services Secrets de France et de Navarre.

 Cette affaire de seau d'eau qui se creuse en un vortex lorsqu'on le fait tourner est sans doute un début de preuve, mais les irréductibles détracteurs vous diront assurement  que cela ne pouvent pas du tout que la Terre est creuse

 Vous écrivez aussi, à juste titre :  Les scientifiques ont-ils refait cette expérience en apesenteur avec une bulle d'eau ou différents mélanges ?

   En effet à mon avis, l'expérience qui serait la plus probante concernant cette affaire de Terre creuse serait d'emporter dans l'espace environ 10 litres d'eau ou plus, afin de constituer, dans ce milieu sans pesanteur, une belle boule d'eau, que l'on mettait en giration sur elle même, et là,  je serais curieux de voir, si, aux deux poles d'abord, on ne verrait pas deux petits vortex se former, et puis après, en son centre si il n'apparaîtraît pas un vide notoire Les astronautes ont peut-être fait déjà cette expérience, qui est restée évidemment ultra-secrète et vous allez voir plus bas pourquoi !! 

............................................. reste coupé............................

         Idylle Fred

     Article mis en page le 17/09/2010 , puis revu le 20/09/2010, puis revu le 21/09/2010.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

Retour à la page d'accueil