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Robert Charroux : le Sinbad
des temps modernes.

I Introduction.

    Le 27/09/06 , nous avons découvert dans nos dossiers un article du grand voyageur Robert Charroux intitulé "Toute l'histoire du monde sur des pierres gravées", et article inséré dans le n° 300 spécial de Nostra magazine du début Jan.78 :

    Il se trouve que ce sujet passionnant avait déjà été abordé dans notre page placée à :

http://www.artivision.fr/docs/archeologiecensure.html

et nous allons donc ici en dire un peu plus.

    Auparavant pour bien éclaicir les idées, il nous semble judicieux de transcrire ici, une lettre d'un certain Mr J.C. de la ville La Rochelle, parue dans le n° 498 de Nostra, du 22 au 28 Oct 1981.

" L'authenticité des pierres gravées d'ICA

    Je voudrais apporter un point de vue différent de celui de Pierre Bec au sujet des pierres gravées d'Ica . Je suis convaincu de l'authenticité de la découverte et de l'antiquité des pierres, et aussi de la probité du docteur Javier Cabrera Darquera (le découvreur des pierres).

1 °) On connaît les sites où ont été découvertes les pierres : le journal péruvien « La Prensa », en 1975, et précédemment, le préhistorien Herman Buse ont établi qu'en 1961 le rio Ica, abandonnant son cours, vint saper les collines désertiques du village d'Ocucaje (près d'Ica) ; les eaux entraînant le sable des collines ont mis à nu une nécropole, d'où les huaqueros (pilleurs de tombes) d'Ocucaje exhumèrent des pierres gravées.

    Le professeur Alejandro Pezzia Assereto, conservateur du musée d'Ica, a écrit dans son livre édité en 1968 (Ica y el Peru Precolombino. Tomo I. Arqueologia de la provincia de Ica) qu'il était apparu, depuis 1961, sur le marché, un grand nombre de pierres gravées, qu'on trouvait particulièrement dans les gisements cachés sous le versant des collines des haciendas Ocucaje et Callango, dans la vallée du rio Ica.

2°) En 1975, "Mundial" un journal de Lima, publia des "révélations" concernant les pierres gravées.

     "Mundial" publiait les "aveux" de deux paysans, Basilio Uchuya et Ima de Aparrana, qui déclarèrent avoir gravé toutes les pierres du docteur Cabrera, même celles trouvées par le docteur Cabrera lui-même, même celles trouvées avant leur naissance à eux, Uchuya et de Aparrana. Car cela est attesté, il y a des siècles qu'on trouve des pierres gravées à Ocucaje.

    "Mundial" a publié, toujours dans le même numéro, 15 photos de Basilio Uchuya dans ses œuvres. Or, ce faussaire qui avait gravé des centaines de pierres ne put être photographié qu'avec une seule pierre trafiquée, toujours la même, représentant un monstre ridicule.

    Uchuya fut "invité" par les reporters du "Mundial" à graver cette pierre de 30 cm de diamètre environ, avec un dessin facile, primaire. II ne put venir à bout de « sa » tâche qu'en deux jours !!! De plus, c'est un travail bâclé, un travail de mauvais gribouilleur. On ne peut manquer de comparer la rusticité, la puérilité du dessin même avec les magnifiques sujets des pierres authentiques du docteur Cabrera dont celle publiée dans NosTra n° 492 est un exemple parfait.

    Or, chose plus étrange encore, "Mundial" ne publia aucune photo qui aurait pu montrer un atelier de gravure, ni pierres en réserves, ni outils à graver, ni loupes !!!

    Uchuya n'a jamais exhibé le moindre plan de dessins qu'aurait pu lui donner le docteur Cabrera, qui lui aurait servi de pièce à conviction afin de le confondre...

    On peut aisément conclure que lors de l'enquête des reporters du "Mundial", il n'existait pas deux pierres fausses à Ococaje, ni ailleurs. Et on peut ajouter enfin que les reporters de "Mundial" ont avoué avoir payé Ima de Aparrana.

3°) II est établi de tout temps qu'on trouve des pierres gravées dans la région d'Ica :

- C'est le jésuite espagnol, Pedro Simon, qui fait mention pour la première fois, en 1626, de ce qu'il nomme "les piedras gravées de l'Ica", dans son nlivre (Noticias Histoncales).

- A Ica, fut ouvert, en 1940, le Museo Arqueologico de Carlos Belli ; on pouvait y voir de nombreuses pierres découvertes, par Carlos Belli lui-même, à Ocucaje en 1909.

- En 1960 et 1966, le professeur Santiago Agurto Calvo, architecte, ex-recteur de l'université nationale du génie civil, découvre des pierres gravées très nombreuses, dans des tombeaux précolombiens d'Ocucaje.

- En 1961, le livre de Hans Dietrich - Dusselhof et Sigwald Linné (L'Amérique précolombienne), fait mention des galets gravés et des tombeaux d'Ocucaje, de même que le préhistorien Herman Bose, en 1965, dans son livre (Introduction au Pérou).

- En 1966, le professeur S. Agurto Galvo et le professeur A. Pezzia Assereto fouillent le cerro (colline) Max Ohle de l'Hacienda Ocucaje et découvrent des pierres gravées.

    Enfin, de 1966 à 1973, le docteur Javier Cabrera Darquera, comprenant l'intérêt primordial des pierres gravées, en amasse une collection qui s'élève à 10 000 pierres, laissant les plus anodines aux nuaqueros d'Ocucaje.

4°) On peut constater que la grande presse péruvienne ("Dominical", "El Comercio", "La Prensa") n'a pas soutenu les contempteurs.

    On lit, en particulier, le 5-02-1975, dans "La Prensa" : "La première conclusion, suite à l'examen de ces pierres et à la confrontation des objets considérés comme authentiques avec ceux faits par les Uchuya, fut que la comparaison n'était pas possible. Les symboles des premières sont extrêmement compliqués par rapport au caractère fruste de ceux qu'on grave actuellement."

5°) Quant à l'âge des pierres, quel est-il ? Difficile de répondre.

    Une expertise faite par un chimiste-minéralogiste de Pisco, Maurice Hochschild, a précisé qu'une fine patine d'oxydation naturelle couvre les incisions elles-mêmes.

6°) Pour conclure laissons la parole au docteur Cabrera Daquera ; on lit dans son ouvrage "El Mensaje de les piedras grabadas de Lea" : "En dépit de mon insistance pour que soient étudiées et protégées les pierres d'Ica, la mafia du mensonge a trouvé un alibi pour se mettre à l'abri : actuellement, on peut graver des pierres et on a réussi à ce que les paysans en gravent d'autres en présence de personnes néophytes en la matière, de façon qu'elles puissent certifier que toutes les pierres gravées d'Ica sont de fabrication récente...".
J.C. (La Rochelle)        
NOSTRA :

    Notre collaborateur ne tranchait pas de façon catégorique. II affirmait. simplement avoir rencontré sur place des paysans qui gravaient des fausses pierres. II semble, comme souvent, que la vérité soit à mi-chemin des positions extrêmes. II existe, c'est évident, des faux ; ce qui ne signifie pas que toutes les pierres d'Ica sont des copies. II en est certainement d'authentiques dont la finesse et les détails paraissent impossibles à imiter.
"

Fin de citation.

    Par ailleurs dans l'article du collaborateur Pierre Bec de Nostra paru dans le n° 492 en question, le Dr Cabrera lui explique :"Vous avez vu Ochuyo , sa femme a menti bien sûr. Comprenez...Ochuyo ne peut pas reconnaître qu'il a trouvé les "grabadas" dans les tombes , ou dans ses champs; S'il le fait , il se rend coupable de pillage car tout ce qui est mis au jour doit être remis à l'Instituto Nacional de Cultura sous peine de graves ennuis...il préfère me faire passer pour un faussaire plutot dque d'avoir des ennuis avec la police"

    A vous donc de juger déjà cela !

II Genèse de l'affaire.

    Entrons donc maintenant dans le vif du sujet et rendons hommage ici à notre Sinbad des temps modernes Robert Charroux, né Robert Grugeau le 7 Avril 1909 à Payroux et qui nous a quitté le 24 Juin 1978 à Vienne en France. Il a été l'un des premiers à lancer en France la théorie des anciens astronautes encore appelée le néo-évhémérisme et thèse toujours contestée par les archéologues officiels.

    Cet article de Nostra fait suite au livre de Robert Charroux intitulé "L'énigme des Andes" paru chez Robert Laffont paru en Octobre 1974. Cette thèse sur les pierres gravés d'Ica, fut aussi exposée magistralement dans le Paris Match 1335 en Déc. 74 sous le titre : Les pierres d'Ica : formidable ou "Bidon" ?, paru sous la plume de Robert BARA.

    Et voici donc le texte de R. Charroux paru dans le n° 300 de Nostra:

Archéologie

Toute l'histoire du monde sur des pierres gravées


    Dans son dernier livre, "Archives des autres mondes" , Robert Charroux recense les derniers mystères connus de notre globe, les ultimes messages laissés par les "ancêtres supérieurs", dont les civilisations ont précédé les nôtres.

    Archéologue, éthnologue, écrivain, Charroux, depuis des années, est à la chasse des grandeurs et décadences passées. A leur manière ses oeuvres sont prophétiques de nos propres fins dernières. En compagnie de sa femme Yvette, il a parcouru toutes les routes du monde pour composer des ouvrages étonnants, comme "Le livre des mondes oubliés", et "Le livre des secrets trahis". Inlassablement il a suivi les pistes des villes englouties, des mondes perdus, du Népal à l'Egypte, du Mexique au Canada.

    L'une de ses plus extraordinaires découvertes il la fit en avril 1973 et il l'a racontée dans "L'énigme des Andes". C'était sa "rencontre" avec 15 000 pierres gravées, qu'un médecin péruvien, Javier Cabrera, avait réunies dans son musée personnel et secret à Ica. Pour Charroux, ces galets plats, de toutes tailles, racontent l'histoire du monde en ces territoires depuis 50 millions d'années. Les gravures représentent de grands sauriens de l'ère secondaire, mais aussi le reflet d'une humanité très avancée en chirurgie, en médecine et en géographie.


    L'auteur suppose que cette bibliothèque lapidaire constituerait les archives de nos grands ancêtres, et qu'elles furent réunies dans le souci de sauver ce capital de connaissances. Pour lui, ces peuples de l'Antiquité ne seraient autres que les Atlantes : les survivants à la "grande catastrophe" auraient atteint le Pérou.

    Une conjuration s'est vite déchaînée contre cette merveilleuse découverte d'Ica. On voulait prouver que le docteur Cabrera était un naïf, Charroux un faux archéologue et les pierres elles-mêmes une mystification. On affirmait que ces pierres avaient été fabriquées, récemment, par des paysans de la région. II fut facile d'obtenir les "témoignages" des gens d'Ica.

    « D'ou proviennent ces pierres? » demandèrent les enquêteurs. Elles avaient été trouvées dans les collines, dans les tombes d'Ocucaje.

    « Savez-vous que le délit de piller les tombes est sévèrement puni par la loi? » Menaces, intimidations, promesses décidèrent les paysans à déclarer qu'ils avaient eux-mêmes gravé ces pierres.

    Malheureusement pour les détracteurs de Charroux et du docteur Cabrera, dans un livre (qui se trouve actuellement à la Bibliothèque nationale) « Noticias historiales », écrit en 1626, un jésuite espagnol, Pedro Simon parlait déjà des « pierres gravées d'Ica ». Cette découverte remonte au moins à plusieurs siècles, d'après ce texte. II est donc prouvé qu'elles sont authentiques et non fabriquées pour les besoins de la cause. Mais pourquoi sont-elles apparues si tardivement? Voici la clef de l'énigme : en 1961 le rio Ica a abandonné son lit normal. Ses eaux ont déferlé sur les sables des collines d'ocucaje et ont mis à nu une nécropole. Plus exactement un sanctuaire où un peuple inconnu avait entreposé ses archives préhistoriques : plus de 10 000 pierres gravées jonchaient le sol.

    Les habitants du village proche trouvèrent ces pierres ornées de dessins fantastiques. Ils en transportèrent dans leurs pauvres maisons. Elles y seraient demeurées longtemps si le docteur Cabrera ne les avait enfin remarquées.

    Robert Charroux a survolé la Nazca gigantesque : « Dans la pampa, durant des centaines de kilomètres, écrit-il, dessins, figures géomériques sillonnent le sol; les aviateurs peuvent en voir depuis l'équateur jusqu'au-delà des tropiques. Tout le long de la Cordillère des Andes, des tracés mystérieux, qu'on appelle des « pistas » en langue espagnole, des dessins énigmatiques, des théâtres immenses. Le monde est-il né là? s'interroge-t-il. Ce qui est sûr, c'est que la plusancienne civilisation connue a vu le jour sur la Cordillère des Andes et on croit pouvoir deviner que cette civilisation venait du ciel et fut apportée par des peuples du cosmos. »

    Ces gravures, ces textes insolites gravés dans les pampas du Pérou ne sont pas les seules curiosités qui ont sollicité l'intérêt de l'auteur des « Archives des autres mondes ».

    « Le globe terrestre, écrit-il encore, est un grand livre d'histoire et de géographie, où, depuis des milliards d'années, ont été écrites des aventures prodigieuses que le temps, les déluges, les saisons et les intempéries ont plus qu'aux trois quarts effacées ».

L'énigme des Andes


    Après avoir rapporté ce qu'il a appris sur la Nazca du Pérou dans « L'énigme des Andes », après l'avoir parcourue, auscultée, questionnée durant dix ans, Charroux a vu se compliquer le problème. II l'élargit aux dimensions de tout le continent américain dans sa dernière œuvre : « Des Nazca, dit-il, il y en a depuis les hautes terres du Canada jusqu'à la pointe de l'Amérique du Sud, sur quelque douze mille kilomètres. En cherchant on en trouverait aussi en Afrique, en Asie, à Malte, en Angleterre et en France.

    « Au Chili, comme au Pérou, on trouve de nombreux géoglyphes, ces dessins tracés à même la terre, soit en amoncelant des cailloux, soit par balayage du sable. Le désert d'Atacama, au Chili, s'étend tout le long de la côte Pacifique, sur le contrefort des Andes, sur une distance de 600 kilomètres : là s'étendait le vaste empire des Incas. II commençait en Colombie et se prolongeait jusqu'à la Patagonie. Dans ce désert de sable et de pierrailles, des hommes, il y a des milliers d'années, cultivaient la terre partout où ils trouvaient un point d'eau. Ces hommes du désert envoyaient des suppliques ou des remerciements au ciel en dessinant sur les collines des symboles magiques ou, ce dont ils avaient le plus besoin, des lamas, des oiseaux. »


Oiseau géant ressemblant à un colibri

    Un des plus importants géoglyphes de l'Atacama est le Curaca (le sorcier) de Cerro Unitas, entre Tarapaca et Huara. II est long de 120 mètres. Sa tête est surmontée d'une couronne à quatre dents ou de plumes. Des tempes et des joues partent huit grandes lignes parallèles symbolisant, sans doute, la nature sacrée et solaire du personnage. Le « sorcier » tient dans sa main droite un instrument qui peut être une fronde : le bras gauche serre une hache. Un autre géogiyphe de Cerro Unitas représente un être porteur d'une trompe. II rappelle les « hommes à trompe d'éléphant » gravés sur les roches du Yunnan, en Chine.

    Sur le versant occidental de Cerro Unitas on peut voir (très mal) un géant, dont la main droite indique la direction du Pérou. Son bras gauche brandit un bâton; un lézard est tracé sur son côté gauche. Si ce géoglyphe représente vraiment un géant, il serait intéressant de le rapprocher de ces envahisseurs, de très grande taille, venus de la mer, sur des radeaux, au début de l'empire des Incas. Sur le bord de la route allant d'Iquique sur le site dit Badaja dIquique, s'étale toute une zone de géoglyphes : les motifs sont des croix qui s'interpénètrent de façon à former des losanges parsemés de pierres qui reproduisent des oiseaux, des lamas, des flèches. Un berger, curieusement stylisé, tient dans chaque main un lama et un énorme oiseau. La colline la plus richement décorée de l'Atacama est le Cerro de Pintados. Un des motifs principaux est un troupeau de lamas gardé par un pasteur; un félin est gravé dans un cercle proche.

    En remontant vers le nord, on peut découvrir, près d'Arequipa, la « tapisserie » de la pampa de Siguas. Par bonne lumière, on aperçoit le géoglyphe sur la colline proche; les dessins apparaissent très nets. Un manuscrit du père jésuite Olica, daté de 1631, pourrait apporter un éclaircissement dans l'histoire du Pérou : « Tout porte à croire, écrit-il, que les Incas étaient une race étrangère . » Le jésuite s'étend sur le fondateur de l'empire: Manco Capac. Pour cela il s'est inspiré de Catari, qui était lecteur de quipos (ces cordelettes. à noeuds qui faisaient office de livres et d'aide-mémoire). Catari raconte qu'après le déluge universel, les premiers hommes qui vinrent en Amérique abordèrent à Caracas et s'y multiplièrent. C'est d'eux que descendaient les Incas, devenus souverains du Pérou. Ils furent persécutés par des peuplades de géants, venus sur des radeaux. N'ayant pas de femmes avec eux ils se livraient à des actes contre nature, et, en châtiment, Dieu les fit tous périr par le feu du ciel. Ces envahisseurs (dont l'histoire rappelle étrangement la punition de Sodome) auraient- ils une relation avec les géants de l'î1e de Pâques? L'existence de géants dans l'ancien empire inca éclairait, en tout cas d'un jour nouveau, le problème de la Nazca et des pierres d'Ica.

    Le roi Manco Capac est-il allé jusqu'à Ica pour y reconnaître son futur royaume, alors limité par les pistes de la Nazca ? Ces tracés avaient-ils pour but d'arrêter magiquement sa marche conquérante, ou bien de la guider vers le lac Titicaca, où devait s'accomplir sa mission? De la Cordillère des Andes, il a dû descendre vers Nazca, où il a trouvé, dans la montagne, un défilé menant au bord de ce lac, et à Chinchillzpi, où se trouvent les cavernes à peintures de Mazo Cruz, de Kelkatani et de Pizacoma. La Manco trouva les sanctuaires des plus anciens peuples des Andes : les Kollas, " fondateurs du monde" qui régnaient il y a 10 000 années, après être venus du Nord.

    Les géoglyphes se retrouvent partout dans le monde. Robert Charroux, après avoir étudié ceux de la Nazca, en a survolé en Californie, près de Blythe. « Dans ce désert, le plus étonnant est une effigie humaine de 56 mètres et des représentations animales.
    Chez les Indiens Navajos de cette même région, la tradition des géoglyphes est perpétuée, sur une échelle moins grande, mais avec plus d'art. Quand un Navajo est malade, sa famille va voir le sorcier de la tribu pour qu'il conjure les maléfices et chasse les mauvais esprits du corps du patient. Des dessins sont alors tracés sur le sable, en disposant sur le sol des couleurs minérales et végétales pulvérisées. Le motif est réalisé par plusieurs personnes suivant un formulaire que seul connaît le sorcier. Quand le dessin est terminé, on place le malade au centre, puis sorcier et assistants se livrent é des incantations rituelles et à des danses magiques. Ensuite le malade regagne sa case et le sorcier disperse le dessin dans le sable. »


    Aux Etats-Unis, dans le Wyoming et au Canada les peulpes anciens, ne disposant pas de déserts de sable, ont utilisé la technique des pierres rapportées pour y tracer des géoglyphes. Les dessins représentent des personnages, des tortues, le plus souvent des doubles cercles avec des rayons. Les archéologues leur ont donné le nom de médecine wheels (roues médecine) ou cosmic wheels (roues cosmiques). On les attribue aux anciens Indiens cheyennes, Arapaos, mais la tradition veut que, jadis un « petit peuple » ait habité dans les grottes sous ces roues de pierres. Les Indiens de la région disent que ces roues cosmiques existent depuis des temps immémoriaux. Ceux qui les dessinèrent ne connaissaient par le fer. Ces roues sont donc l'image du soleil et des astres.

    Dans le Wyoming, à flanc de la montagne Big Horn, se rencontre l'une des plus belles roues magiques. Elle a 24 mètres de diamètre et compte 28 rayons. Elle pourrait être un calendrier astronomique, ou une sorte de « centre cosmique » où se produisaient des échanges bénéfiques entre le ciel et la terre. Ce serait une « clinique » préhistorique. On peut aussi penser que ce « calendrier » servait à fixer les jours favorables pour certaines cérémonies rituelles. En Angleterre le temple de Stonehenge avait un but identique : « les coïncidences entre la roue de Big Horn et celle de Stonehenge sont tellement nombreu- ses, écrit Charroux, que certains archéologues ont envisagé la possibilité d'une migration des Celtes en Amérique du Nord. Cette hypothèse nous est familière depuis longtemps déjà, nous avons dit dans « Le Livre du mystérieux inconnu » notre quasi-certitude que les anciens peuples de l'Amérique venaient en majeure partie de l'Europe, qu'ils étaient des pré-celtes. Les traditions des Iroquois, des Hurons, recueillies par les jésuites, disent que les anciens initiateurs en Amérique du Nord étaient des hommes blancs, barbus aux yeux bleus, venus du côté où se lève le soleil, à travers l'océan. »

    Pour résumer son étude sur la Nazca, l'auteur retient cette explication : « Elle est un appel aux peuples de l'espace (les dieux de nos ancêtres, les extraterrestres de nos contemporains) dans lesquels avaient foi tous les peuples du monde antique. »

    En Colombie, Jaime Guterrez Elga, dessinateur industriel et archéologue, a découvert une glyptothèque aussi étonnante que cette d'Ica. II poursuit, à Bogota, des travaux sur l'origine de l'homme à partir des fouilles qu'il a effectuées dans la région. Ce sont des paysans, cette fois encore qui lui ont fourni la plupart des pierres qui constituent son merveilleux musée secret. Elles étaient enfouies sous une couche végétale. Quelques-unes proviennent de tombes. Les dessins de ces pierres lui ont permis d'établir une étrange théorie sur la filiation animale de l'homme : une certaine race humaine descendrait de la grenouille. Thèse extraordinaire mais qui n'étonne pas les biologistes : on sait, par exemple, qu'un test (celui de Brouha) rend possible de déterminer si une femme est enceinte par l'affinité génétique entre elle et la grenouille. De plus il y a une remarquable analogie de forme et d'évolution dans le foetus de l'une et de l'autre. Que nous descendions de batraciens n'est pas plus fantastique que de descendre d'un poisson comme le coelacanthe.

    Les gravures des pierres de Bogota prouveraient que les anciens Indiens d'Amérique estimaient que leur origine se situait dans la grenouille. Sur le disque « génétique » qu'a découvert Guterrez Elga, sont tracés, parallèlement, le dessin de la métarmorphose du têtard et celui de spermatozoïde humain. Sur le même site cet archéologue a trouvé des gravures consacrées à la grenouille et à sa manière de procréer. Comme si des êtres d'une civilisation inconnue du nord de Bogota avaient eu l'intention de nous léguer leurs connais- sances sur l'évolution de la race.

    Cette découverte prouverait que les anciens habitants de la Colombie, comme ceux du Pérou, pour connaître le développement de l'embryon, devaient posséder des instruments analogues au microscope électronique, et avoir d'incroyables connaissances en génétique, car le disque de Bogota reproduirait des images de gènes et de chromosomes.

    Et voilà remis en question le mystère des ancêtres supérieurs qui nous auraient précédé sur la terre en prenant soin, avant de disparaître, de nous laisser le témoignage de leur science.

III conclusion .

    Les découvertes du Maître initiateur Robert Charroux sur les contreforts des Andes et dans le reste du monde entier, nous démontrent sans ambiguité que le Passé de la Terre est beaucoup plus fabuleux qu'on ne saurait l'imaginer.

    Ce fabuleux passé se retrouve aussi dans les ouvrages de Lobsang Rampa (toujours très critiqué par les journalistes ignares), de l'ami Guy Tarade et aussi cela va de soi, ceux de Serge Hutin, d' Erich von Daniken, de Charles Berlitz, d'Andrew Tomas, de Brinsley le Poer Trench, ou encore de Maurice Chatelain (Ancien spécialiste de la NASA) ou de Pierre-Moatti (Ancien Préfet), de David Hatcher Childress , de Graham Hancock, et de bien d'autres...qui furent il n'y a pas si longtemps bien critiqués par les biens-pensants de l' intelligentsia universitaire. Tous ces auteurs, furent de puissants précurseurs préparant les Temps nouveaux et ce sont eux, qui ont d'abord assumé, hélas, les critiques et rires sarcastiques des détracteurs d'antan, qui désormais adoptent un profil bas, vis à vis des découvertes cosmiques, comme celles qu'ARTivision s'évertue à mettre en exergue. Ouvrez donc le bon œil, car le plus surprenant est à venir.

IV Hommage en 2009 à Robert Charroux pour le centenaire de sa naissance.


     Le 06/01/09, nous avons reçu de L'Office du Tourisme de Charroux (86), la missive suivante (Les couleurs sont de nous bien sür) :

----- Original Message -----
From: CNCPC
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, January 06, 2009 3:02 PM
Subject: Robert Charroux

        Bonjour,
    Je travaille pour l'Office de Tourisme de Charroux (86) et nous préparons un évènement autour de Robert Charroux. Je constate que vous accordez une place à son travail sur votre site, site qui semble bénéficier d'un large réseau de visiteurs. Vous semblez vous même être un connaisseur en matière de "Mystérieux Inconnu" et ufologie. Vous serait-il possible de m'aider dans ma collecte d'information concernant cet auteur, par exemple en diffusant cette annonce sur votre site :

    " L'Office de Tourisme de Charroux (Sud Vienne, Poitou-Charentes) organise en avril 2009, le Centenaire de la naissance de Robert Charroux.

    Au programme de cette manifestation: Exposition, conférences, projections, animations et publications. Nous recherchons des personnes, informations et documents permettant de contribuer à la bonne réussite du projet et à l'enrichissement de son contenu.

    C'est à la fois sa vie, son oeuvre et la résonnance de ses thèses à l'époque et aujourd'hui que nous souhaitons aborder.

    Pour toute information, merci de nous contacter par courriel à charroux@wanadoo.fr ou par voie postale à :

l'Office de Tourisme de Charroux
2, route de Châtain
86250 CHARROUX
    Il y a aussi le site :

Office de Tourisme de Charroux
www.charroux.fr
05.49.87.60.12


        Merci d'avance et meilleurs vœux 2009 . "


     Le site ARTivision se félicite d'apprendre l'existence d'une telle initiative qui va rendre un hommage très mérité à celui que nous avons qualifié de Maître initiateur dans la découverte du Passé de notre Terre, qui s'averre beaucoup plus fabuleux, qu'on ne saurait l'imaginer. Nous invitons donc les internautes qui ont en mains des documents spécifiques relatifs à ce grand voyageur, d'avoir la gentillesse de contacter l'Office de Tourisme de Charroux à l'adresse e-mail ci-dessus.

     Article mis en page le 07/10/06 , puis revu le 19/10/06, puis le 26/10/06, puis le 23/06/08, puis le 8/01/09.

IDYLLE Fred

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