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Quand le vocable "Terre inconnue", revêt une importance jamais atteinte,
dans notre histoire contemporaine.


I Introduction.

      Le 06/10/2010, nous avons eu le plaisir de recevoir de notre ami canadien Sébastien C...., infatigable patrouilleur du Web, cette courte missive suivante qui vaut cependant son pesant d'or.

----- Original Message -----
From: Sebas C
To: fred.idylle@orange.fr
Sent: Wednesday, October 06, 2010 9:11 PM
Subject: Hubert Wilkins.

          Bonne journée Fred .



         Et voici donc les images qui nous concernent ici :



Puis surtout:

Disons dès maintenant que SARASOTA, est une ville de la Floride, placée comme l'indique la carte suivante :


II Genèse de l'affaire.


     Traduisons, à peu près, le contexte des deux dernières images :

Mardi 31 Décembre 1929 : SARASOTA HERALD : Au Cœur de la Socièté : Téléphone n° 2855 Page 7

Wilkins trouve une terre inconnue.

MONTÉVIDÉO. Uruguay 31 Dec.(AP)

     Les premiers effets des vols au-dessus de l'Antarctique du Capitaine Sir George Hubert Wilkins, furent révélés ici aujourd'hui par des annonces qu'il avait découvert auparavant une terre inconnue dans sa dernière expédition au-dessus de la calotte polaire glacée.

     A cet effet, le service radio gouvernemental annonça la réception d'un messagge en provenance du Vapeur Melville, qui véhicula l'explorateur jusqu'à l'île de la Déception, qu'il utilise comme tête de pont. Aucun détail ne fut transmis.


      Fin de la traduction.

      Pour bien comprendre l'importance de cet entrefilet, reprenons voulez-vous, quelques passages de notre article en date du 17 Mars 2006 :

http://www.artivision.fr/docs/affaireWilkins.html

   " Wilkins retourna en Antarctique pendant la période 1928-1930 avec l'aide financière de William Randolph Hearst. Wilkins et son pilote Ben Eielson ont fait leur premier vol historique d'avion au-dessus de l'Antarctique en 1928. Pendant une coupure en 1929, Wilkins était un passager à bord du Graf Zeppelin (Graf Zeppelin) pendant son voyage autour du monde. Wilkins a rendu compte des aspects techniques du vol des Zeppelin. Le 30 août 1929, après exécution du vol de Zeppelin, Wilkins s'est marié avec Suzanne Bennett, une actrice australienne. Ils s'étaient rencontrés à New York pendant une réception honorant Wilkins et Eielson après leur vol au-dessus de la mer arctique. Le couple n'a eu aucun enfant pendant leurs vingt-neuf années de mariage...

.....     Or, comme vous le voyez clairement, rien de saillant n'a été dévoilé dans cet historique sur cette expédition de 1928 en Antarctique.

      Mais cependant Amedeo Giannini , qui a écrit le livre "Mondes au delà des pôles" , paru en 1959, prétend que le Capitaine Sir George Hubert Wilkins, aurait fait une importante découverte le 12 Décembre 1928, dans l'Antarctique.

     Et, à une date qui restait à déterminer, le journal "San Francisco Call" de cette époque, a transcrit une interview exclusive de l'explorateur dont les révélations avaient été faites auparavant à l'Université de Santa Clara.

      Mais en plus Amedeo Giannini dans son livre, a précisé avec insistance encore ceci :

" La découverte mémorable, le 12 Décembre 1928, d'une terre jusque là inconnue, au-delà du Pôle Sud, découverte faite par le capitaine Sir George Hubert Wilkins, exige que la science revise la conception qu'elle s'était faite depuis 400 ans du profil sud de la Terre : Dumbrova explorateur russe."

     Puis il a ajouté même : "Les organes de presse montrèrent des photographies de l'explorateur australien, le Capitaine Sir George Hubert Wilkins "

      Il va s'en dire que nous n'avons pas pensé, une seconde que Amedeo Giannini, ait pu inventer tout cela avec tant de détails précis, surtout à l'époque, où l'on ne plaisentait pas sur la rigueur morale.

      Il nous fallait donc absolument retrouver au moins un élément, "des organes de presse", auxquels il a fait allusion avec tant de clarté.

     Le seul problème qui subsistait, et hélas il était très génant, c'est qu'à l'époque où Amedeo Giannini a écrit son livre, on ne se preéocupait pas des détails concernant un journal. Il suffisait de le nommer pour être satisfait. C'est comme si, lors d'un événement de Mai 68 en France, nous disions simplement dans un texte quelconque, que Paris Match en avait parlé sans rien préciser de plus. Cela est vraiment dommage, car nous avons pensé que si l'on arrivait à trouver au moins le San Fransisco Call en question, qui pourrait imaginer l'impact que cela ferait sur les recherches d' ARTivision, et de bien d'autres sites, concernant l'affaire des ouvertures polaires.

     Il est à remarquer cependant, que le San Fransisco Call, qui nous polarisait , (le mot est parfaitement adapté n'est pas?) ne serait certainement pas daté du 12 Décembre 1928, date où a lieu la découverte de Wilkins, mais sans doute de l'année suivante, car il faut laisser à l'explorateur le temps de revenir de son périple pour en faire ensuite un compte rendu à l'Université. L'année de parution du journal devrait donc être 1929, sinon 1930. Une telle découverte ne devait pas, en effet, rester logiquement longtemps cachée."

     Fin de citation.

     Il semblerait alors que le communiqué présenté ci-dessus venant du Saratosa Herald, correspond bien à un des éléments "des organes de presse", que nous souhaitions découvrir plus haut. Il y en a certainement d'autres du même genre à trouver, et nous disons déjà, merci à tout internaute qui aurait la grande opportunité d'en découvrir. Mais, faisons déjà ici une très grande ovation à l'ami canadien Sébastien C..., qui vient de découvrir ce superbe entrefilet de fin Déc.1929 du SARASOTA HERALD.

     Il est à remarquer que ce communiqué arrive plus d'une année (près de 380 jours), après l'exploit réalisé par Wilkins au pôle sud et que grâce à l'assiduité de ses recherches, notre amie Meriten..., nous a fait découvrir le 15 Avril 2009, que le supposé explorateur russe Dumbrova, était en fait un explorateur roumain du nom de Constantin DUMBRAVA (1898-1935), qui dès 1927, avait participé à une expédition roumaine à Angmassalik au Groenland...Puis il a écrit plusieurs articles qui sont parus en Roumanie, en France et aux Etats-Unis. Il a aussi épousé une américaine et s’est installé à New-York. Nous avons contacté, plusieurs fois, l'Ambassade Roumaine à Paris, à son sujet, mais nous n'avons hélas jamais reçu de réponse. La courtoisie n'est sans doute, plus à la mode ces temps-ci, dans les milieux diplomatiques officiels, n'est-ce pas !

     Bien sûr les irréductibles détracteurs, diront encore que l'expression "terre inconnue", ne signifie pas grand chose, sinon un territoire où l'on n'a jamais mis le pied, comme une montagne de glace ou même une grande faille de même nature ..etc...

     Pour ARTivision, ( et l'avenir dira bien vite qui a raison), on ne peut qualifier de terre inconnue, des zones immenses, au froid glacial,(autour de - 50 °C), où chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses notoires et renommées.

Rappelons aussi l'important paragraphe de notre article précité :

     Début de citation :

c) Quand le "San Francisco Chronicle", confirme que Sir George Hubert Wilkins a bien découvert une terre nouvelle en Antarctique...

     Parmi les documents reçus, il y avait bien un, du "San Francisco Chronicle" , daté du 18 Novembre 1930, dont voici l'image :



     Et en fin de colonne, nous découvrons bien la petite phrase hors norme suivante :

"He made the first airplane flight in the Antarctic in 1928 and he was the first to discover new land from an airplaine" que nous pourrions traduire par "Il réalisa le premier vol en aéroplane dans l'Antarctique en 1928, et il fut ainsi, le premier à découvrir une nouvelle terre ".
     Notons que pour éviter les répétitions, nous avons traduit " from an aeroplane" simplement par "ainsi ".

     Mais revenons à cette affaire d' une terre nouvelle. Si le terme était au pluriel (new lands) certains détracteurs, diraient vite qu'il s'agit de kilomètres carrés de banquise et de déserts neigeux qui sont effectivement des terres vides et inexploitées. Mais le journaliste, dit "to discover new land". Comme cela aurait été plus clair, s'il avait écrit : "to discover a new land". N'empêche que nous sommes ici invités à traduire "à decouvrir une terre nouvelle" en gardant l'article qui pose problème. Et on ne peut alors que se demander, comment peut-il exister une terre nouvelle dans une région toujours glacée et neigeuse à perte de vue, et où la température descend souvent en-dessous de 50 degrés C ?

     Fin de citation.

    Mais il est peut-être aussi très utile, de replacer ici pour le novice qui entre pour la première fois dans ARTivision par cet article, les étranges propos identiques évoquant l'affaire du célèbre explorateur américain Byrd qui en, 1933, s'est exprimé tout à fait comme le journal Sarasota du 30 Décembre 1929, cité ci-dessus, en utilisant le même vocable de "terre inconnue", ou mieux, il dit "territoire inconnu ".

Début de citation :

XXX Quand BYRD, nous offre un court voyage dans le temps, en 1933 (Paragraphe en date du 23/09/10).


    Le 21 Septembre 2010, nous avons reçu du grand ami canadien Sébastien C......, la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Sebas c ..
To: fred Idylle
e Sent: Thursday, September 16, 2010 11:11 PM
Subject: Une affaire importante concernant Byrd en 1933 à :

http://news.google.ca/newspapers?id=Dw8yAAAAIBAJ&sjid=G-QFAAAAIBAJ&pg=1256,499070&dq=beyond+the+pole+south&hl=en

        Amitiés
        Sébastien


    Pour le cas où ce site disparaîtrait brusquement, voici le document en question :


    Mais extrayons de cet article, le passage suivant et soulignons en rouge les mots qui nous interpellent:


Traduisons alors grosso modo ce passage :

       " Il ajouta qu'il espérait faire 10 fois aussi bien que son vol effectué lors de son précédent vol en Antarctique, quand il partit de sa base au Pôle Sud et qu'il y retourna.

"Je suis sur le point de tenter cette fois, de voler au-dela du pôle ". Byrd dit " car là se trouve une zone non répertoriée. Je crois que, aussi longtemps qu'il existera un aussi vaste territoire inconnu de l'homme sur la face du globe, nous allons devoir l'explorer. Nous allons vivre dans une époque de glace, et chercher un nouveau continent et dans le même temps nous mettre au service de 10 à 12 branches de la Science."

    Byrd qui a volé au dessus du pôle, 4 ans auparavant, dit qu'il était plein d'espoir en compagnie de ses amis explorateurs de fournir à la science quelques uns des liens manquants dans le déroulement des faits. "


    Fin de la traduction.

    D'abord précisons que nous n'avons pas trouvé dans nos dictionnaires, le terme unchared, et nous en avons conclus, qu'il devait s'agir du mot uncharted (inexploré), que nous avons plutôt traduit par les mots non répertorié..

    Il nous faut maintenant analyser soigneusement le passage en question, tout en sachant que Byrd était un militaire, et donc qu'il était astreint à une obligation de réserve absolue, surtout en ce qui concerne, ce qui ne pouvait être considéré que comme un Secret d'Etat de la plus haute importance qui soit.

    La question qui se pose ici, et qu'il faut creuser encore est : " Comment peut-il exister en Antarctique, un vaste territoire, surtout "inconnu", alors que chacun s'attend à n'y trouver, à perte de vue, que des étendues glacées et neigeuses très caractérisées ?"

    Il y a aussi l'expression "au-delà du Pôle" qui fait penser à une contrée bien à part et qui n'a pas les mêmes particularités que celle que l'on trouve autour du Pôle...

    Il y a aussi cette affaire de "liens manquants", que Byrd évoque, et qui, à notre avis, ne doivent pas s'appliquer à des zones très arides, vraiment austères et plus que désertiques.

    Rappelons ici un autre texte plus récent, où Byrd s'est exprimé d'une manière tout à fait analogue :

    En effet Byrd s'exprime en Janvier 1956 dans le n° du Selection du Reader's Digest, dans un article intitulé "Retour à l'Antarctique", que nous avons le privilège de possèder :

  

      Et voici aussi une image de la première page de l'article en question :


      Et en page 10, on trouve surtout :


      Dans cet article, il nous parle de l'expédition de 1947-1948 nommée "Opération High Jump", qui fut l'expédition polaire de loin la plus importante qui ait jamais été réalisée, et Byrd nous fait la déclaration inouïe suivante :

     " Pour la première fois, nous possédions une image assez nette de la configuration du continent austral, mais il subsistait au-delà du pôle , une région aussi vaste que les États-Unis, entièrement inconnue, et dont il n'existait aucune carte".

   Évidemment, Byrd ne parle pas de la découverte d'une quelconque végétation, mais vous avez bien noté le terme "au-delà" et non "autour" du pôle. Le même raisonnement utilisé plus haut et concernant des étendues glacées et neigeuses très caractérisées, s'applique donc aussi ici. Or, dans ce texte, nous sommes en 1956 (mais là, on le sait, Bryd évoque l'opération High Jump de 47-48), et il reprend pratiquement la même phrase. Ce qui prouve qu'il n'a pas, en 1933 pu explorer à sa guise, le territoire inconnu évoqué.

    Rappelons aussi que dès 1929, donc effectivement 4 ans avant 1933, il avait survolé le Pôle Sud, et participé alors à une incroyable émission de radio dont l'extraordinaire reportage, nous est fait par l'écrivain célèbre (auteur du "Triangle des Bermudes") Charles Berlitz  (qui ne semble pas pourtant vouloir trop se plonger dans cette théorie de la Terre creuse, qu'il connaissait alors probablement ), et qui nous transmet ce reportage, aux pages 164 et suivantes de son livre "Sans Trace " publié chez Flammarion en 1978:

  

    Voir ce reportage inoui, à la fin de notre article :

http://www.artivision.fr/docs/RaymondBernardouvrageTC.html

    Fin de citation.

    Enfin pourquoi ne pas reprendre ici toujours pour le novice cette incroyable affaire de l'Oasis de Bunger ou de "Bunguer" (qui prouve bien que l'on nous cache l'essentiel concernant l'Antarctique), et affaire présentée à notre article Byrd.html :

    Début de citation :

 L'oasis de Bunger :

     En Février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du Pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de "l'Oasis de Bunger"(dont nous présenterons plus bas la version la revue "Science & Vie" de 1960).

     Nous lisons dans le livre de R. Bernard : " Le capitaine David Bunger de la Marine Américaine, en mission avec son hydravion pour " l'opération High-Jump " de 1946 à 1947 avait quitté la base de Shackleton près de la Côte de la reine Marie dans la Terre de Wilkes, et volait vers l'intérieur du continent antarctique quand il aperçut une région sans glace, avec de lacs de plus de 4km de long aux multiples couleurs et entourés de murailles de glace. Le capitaine Bunger posa son appareil sur l'un de ces lacs et aperçu que l'eau était plus chaude que dans l'océan des environs. Comment expliquer la présence d'une telle oasis en plein Antarctique, qui bénéficiait de températures plus clémentes comme-ci comme au pôle Nord, cette oasis se trouvait aussi dans la dépression polaire sud ? Ce territoire sans glace d'environ 600 km carrés représentait une trop grand étendue pour être affecté par une source de chaleur volcanique. Les courants de vents chauds en provenance de l'intérieur de la Terre par l'ouverture proche, expliqueraient davantage cette anomalie."
  

     En Mars 1960, justement nous l'avons déjà évoqué, la revue "Science et Vie" dans son n° 510, nous présentait un événement extraordinaire, qui, chose bizarre, à notre connaissance, n'a plus jamais été repris par la suite dans les colonnes de cette revue, à savoir le fait que les savants soviétiques ont pu visiter, ce que la revue appelle l' "Oasis" de Benguer .( Notez bien l'écriture du mot avec un "u"de plus et notez surtout les guillemets qui prouvent que le rédacteur de l'article ne pense pas qu'il puisse s'agir d'une véritable Oasis ), 500 km carrés, nous dit-on pourtant, de sol complètement libre de glace, une température de 25° (voisine donc de la température moyenne de notre île de la Guadeloupe), des lacs et des cours d'eau, une maigre végétation de lichens et de mousse des oiseaux de plusieurs espèces. Notez aussi la prétendue explication qui, devrait capable de nous faire croire, qu'une température plus basse que -80 degrés, peut passer d'un coup à plus +25 degrés par uniquement la présence de barrages naturels et l'action adoucissante de l'océan (Voir la photo du "Science et Vie" 510):)


  

    Notons cependant que cette oasis de "Bunger", (sans "u" cette fois) est bien mentionnée page 29, dans le paragraphe "les vallées sans glace" du "Que Sais-je" n° 1249, édité en 1967 par "les Presses Universitaires de France", concernant l'Antarctique, sans aucune mention de la température qui y règne.
   

     Voilà donc, que l'on apprend dans une revue comme "Science & Vie" (qui se veut sérieuse), qu'il existe bien, au pôle Sud, une zone "paradisiaque", où certains milliardaires n'auraient pas hésité une seconde pour aller s'y s'installer, en transportant par hélicoptère bien sûr, tout le nécessaire, et pour y couler des jours paisibles, sans la présence des curieux. Mais, rien de tout cela, ne nous a jamais plus été montré, à notre connaissance, depuis, dans cette revue. A vous de juger.

        R. Bernard révèle  de même, cependant, qu'un journal de Toronto " The Globe and Mail " ( mais nous n'avons pas pu hélas en déterminer le n° exact et surtout la date de parution), publia une photo d'une vallée verdoyante, prise en vol par un aviateur dans l'Arctique, vallée qui devait probablement se situer dans ce même territoire visité par Byrd au-delà du pôle en Février 1947. (Peut-être qu'un aimable internaute qui aurait la chance inouie de posséder ce journal, pourrait nous en faire une copie. Merci encore d'avance.)

    Fin de citation.

III Conclusion.

    La découverte de ce super entrefilet du Sarasota Herald, confirme, à plus d'un titre, les autres documents et déclarations d' ARTivision. Nous en découvrirons certainemant d'autres bientôt, car le "Temps des Révélations est bien arrivé" , et rien ne pourra désormais rester encore longtemps caché.

        A bon entendeur salut !

IV Prolongements révélateurs concernant le vocable "unknown land".

      Comme nous l'avons dit, d'autres documents seront découverts progressivement concernant cette affaire de "Terre inconnue" découverte par Byrd. Bien sûr le Secret d'État, joue ici au plus haut niveau, et pour noyer le poisson, on ne parlera que de packs, de baies, de péninsules, de pics, de monts, de détroits..etc..formés de blocs de glace et d'étendues neigeuses. Nous ne traduirons donc de ces textes (que nous a envoyés l'ami canadien Sébastien C...), que les passages où subsistent le terme terres inconnues :

      En effet déjà en 1939,(année qui nous est chère, puisque nous y avons pris naissance) sur le site :

http://news.google.ca/newspapers?id=9sANAAAAIBAJ&sjid=Tk0DAAAAIBAJ&pg=3189,2337818&dq=byrd+to+explore+unknown+land&hl=en

,on pouvait lire ce communiqué où le titre mentionne : "Byrd va explorer une Terre inconnue"


      Puis, il y aussi en 1947 cet article, page 6, du site :

http://news.google.ca/newspapers?nid=Fr8DH2VBP9sC&dat=19470206&printsec=frontpage

, où il est écrit en titre : " Les nouvelles découvertes de Byrd en Antarctique, rendent les cartes actuelles désuettes pour certaines zones".


      Nous ne traduirons pas cet article qui utilise des descriptions banales, destinées à noyer le poisson, mais nous retiendrons surtout la phrase finale " In all, admiral Byrd estimates the expedition's planes have already sighted 100.000 square miles of this unknown continent..."

"Finalement l'amiral Byrd a évalué que l'expédition aérienne a déjà mis en évidence, 100 000 miles carrés de ce continent inconnu". Comme vous le voyez, ici, on parle de continent inconnu, et non plus de terre inexplorée ou inconnue.

     Un continent comme c'est surprenant n'est ce pas !!!

     Mais il y a mieux encore :

       En effet sur le site :

http://news.google.ca/newspapers?id=UIIhAAAAIBAJ&sjid=eosFAAAAIBAJ&pg=930,6964374&dq=lee+van+atta&hl=en

, l'ami Sébastien C...., nous a fait découvrir ceci :



     Nous n'avons reproduit qu'un partie de cet article et aussi nous avons souligné en rouge les termes qui ici, nous interpellent.

     Traduisons, à peu près, le titre et les paragraphes en quetion :

Byrd prédit qu'un huitième Continent sera trouvé dans les régions Antarctiques

Par Lee Van ATTA
Participant à l'expédition de Byrd dans l'Antarctique.

"L'amiral Richard E Byrd a exprimé l' intuition que son expédition, puisse dans les quatre semaines suivantes, faire " La plus grande découverte du 20 siècle "- soit : un huitième continent."

     Plus bas en parlant du capitaine George J. Derek Officier de la Marine US de 43 ans accompagnant Byrd en Antarctique, Lee Van ATTA nous dit :

"Si alors il trouve que les eaux sous glace de la mer de Walddel séparent la terre de James Ellsworth du reste de l'Antarctique, ainsi un huitième continent pourra être ajouté aux cartes du monde, et Byrd croit fermement qu'une telle découverte est possible."

      Il est clair que le début de cette dernière phrase est totalement confus et incompréhensible, mais seule la croyance affirmée de Byrd nous intéresse ici : un huitième continent pourra être ajouté à la cartographie mondiale, après son expédition. Mais que signifie donc tout cela !!

      Précisons d'abord ce que l'on découvre au sujet des continents sur le site :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Continent#Comparaison.html


     Comme on le voit, il a bien 7 continents, mais et l'Antarctique est déjà un des 7. Alors comment se fait-il que Byrd parle d'un huitième continent qui existerait encore en Antarctique ?

     La seule façon de comprendre ce langage tout à fait énigmatique, (voulu sciemment par Byrd, et qui a autorisé Lee Van ATTA à l'utiliser), est d'admettre, une fois pour toutes, que Byrd, ayant déjà, à plusieurs reprises pénétrer, (en quelques milliers de km) dans l'ouverture polaire sud (il l'a fait aussi pour celle du nord), est certain cette fois, avec la puissante armada de l'opération "High Jump", de pouvoir démontrer définitivement l'existence de ce continent, qui s'étend à l'intérieur de la Terre. Point Barre.

     Mais on le sait, il rencontrera une résistance hors normes et il s'en retournera hébété, au point de parler ensuite, de manière ambigüe, de menaces voilées et peu explicites, envers les USA, venant des deux pôles. Voir nos articles :

http://www.artivision.fr/docs/euxnousail.html

http://www.artivision.fr/docs/ByrdDeseret.html

http://www.artivision.fr/docs/ByrdMercurio.html



     Mais, qui fut donc ce Lee Van ATTA, qui savait tout ? C'est maintenant , qu'il faut chercher des éclaircissements supplémentaires, n'est-ce pas ...!

    C'est à vous qu'il appartient désormais, de juger tout cela, documents à l'appui...


     Article mis en page par Fred Idylle , le 10/10/10, (date remarquable, facile à retenir, n'est ce pas ! ), et revu le 18/10/10, et revu le 20/10/10, et revu le 21/10/10, et revu le 26/10/10, et revu le 09/02/2011, et revu le 09/05/2013, et revu le 10/05/2013.

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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