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Avant-propos
L'article qui va suivre est de notre ami Roch Saüquere, directeur de la revue "Top Secret :http://www.topsecret.fr ", revue que nous avons à plusieurs reprises mentionnée dans nos pages. Il nous fait aujourd'hui l'honneur de nous envoyer cet article qui s'insère dans la droite ligne des interrogations du site ARTivision.

Un grand merci donc Roch Saüquere pour son aimable participation culturelle à notre site.

 


Ces « Dieux » qui nous regardent

1/ Introduction

     Lequel d’entre nous, alors qu’il était enfant, n’a-t-il pas regardé défiler les nuages dans le ciel pour y reconnaître des formes ? Qui ne s’est jamais amusé à voir ici un mouton, ici un dragon, là un visage à l’expression inquiétante ou protectrice ? Nous avons tous fait cela n’est-ce ? Et pour certains d’entre nous ce fut peut-être l’occasion d’un premier contact complice en même temps que dubitatif avec le ciel et l’infini inconnu.

   Aujourd’hui le marketing cinématographique, qui a compris plus de choses qu’il n’y paraît, utilise encore ces visages confondus avec les nuages pour mieux nous inciter à aller voir leur film.

    Je pense notamment à l’affiche du « Roi lion » de Walt Disney, et à celles de « Belphégor », mais bien d’autres publicités, que je vous invite à repérer désormais par vous même, utilisent ce procédé.

 image 01a 

image 01b

   Nous pouvons en déduire au moins une chose : les publicistes qui aiment à travailler sur la fibre inconsciente des consommateurs sont convaincus que les visages dans le ciel sont vendeurs.

   Et si, derrière ces comportements d’enfants, si derrière ces affiches publicitaires, se cachait une Vérité qui dépasse notre imagination et dont nous gardons le secret au plus profond de nous même ?

   Le « hasard » a voulu que mon attention se porte sur ce phénomène. J’en suis arrivé à penser qu’il existe bien là un mystère, mystère malheureusement ignoré du milieu de l’ufologie. Un phénomène pourtant étroitement lié aux apparitions d’ovnis, et qui nous conduit à la frontière d’une dimension inconnue, comme nous le verrons à travers cet article.

2/ Les Dieux antiques ont-ils vraiment existé ?

   De toute la hauteur de sa civilisation technique, notre époque nous a appris à regarder le monde avec rationalité, et à considérer avec mépris toutes les mythologies anciennes et leur chapelet de Dieux géants probablement naît de cette naïve observation des cieux.

    Ce serait pourtant une grave erreur de croire si vite que nos ancêtres étaient uniquement des êtres superstitieux à la crédulité facile. La plupart des vieilles civilisations nous ont rapporté l’existence de Dieux géants habitant le ciel, et certaines se sont même échinées à bâtir des statues immenses à leur effigie. Les initiés prétendent que la seule trace matérielle de ces êtres gigantesques appartenant à la première race humaine, laquelle avait un corps éthéré, sont les sculptures colossales de Bâmiyân, une ville au nord-ouest de Kaboul.

 

Photo 02Bamiyan

    Contrairement à ce qu’affirment les archéologues officiels, les statues ne représenteraient pas des Bouddhas érigés par les moines bouddhistes, mais des êtres d’une civilisation ancienne et mystérieuse. Les moines se seraient en fait contentés de les découvrir en arrivant sur les lieux, et les auraient alors maquillées avec du plâtre afin de leur donner l’apparence de Bouddhas. Nous pouvons voir les traces de ce rafistolages sur les photos.

Photo 02Bamiyanrafistol

   Un autre élément semble nous faire pencher en faveur des traditionalistes : c’est l’absence de visage sur ces « Bouddhas » qui faisait dire aux observateurs qu’on avait rasé les faces de ces personnages pour effacer les preuves de leur véritable identité.

    De tout cela, nous le savons, il faut aujourd’hui parler au passé, car les hommes ont définitivement détruit ces œuvres admirables. A la lumière des récits de la tradition, nous concevons alors encore plus pourquoi la disparition de ces monuments est une perte considérable pour l’humanité. Mais ces géants éthériques ont-ils réellement existés dans le lointain passé de notre planète ?

   Nous retrouvons également leur trace sur les parois de nombreuses grottes à travers le monde.

 

Photo 02a

   Cette fresque découverte dans une grotte australienne, datée officiellement de l’an 3000 avant notre ère, peut cependant relever d’une époque encore plus lointaine. On y découvre trois personnages flottant dans les airs, sans jambes, et dont les yeux énormes semblent fixer l’observateur de façon obsédante.

   Il existe d’autres fresques de ce type et notamment celle de Jabbaren, dans le massif de Tassili en Algérie, au sud du Hoggar. Ce vestige remonterait à 8000 ans.

 

Photo 02b

    On y découvre un personnage massif de six mètres de haut avec une tête ronde. Son corps est également dépourvu de jambe et sa silhouette épaisse semble transparaître à travers des nuages. Là encore, notons le détail intéressant de son œil unique qui fait face à l’observateur, et semble indiquer une identité non humaine. Les faces de Bâmiyân présentaient-elles une particularité similaire ? On retrouve sur un autre site du Tassili, à Séfar, une fresque où de nombreux êtres de petite taille lèvent les bras vers un être gigantesque planant dans les airs, et à l'aspect nettement non humain.

    Un autre élément notable de l’histoire nous ramène encore à ces êtres Ethérés. Il s’agit de l’œil d’Horus omniprésent et qui voit tout. Je me demande si ce symbole, qui exerce toujours une grande fascination sur nous, n’est pas également l’émanation de ces visages dans le ciel dont on ne voit bien souvent qu’un seul œil, présent et presque hypnotique. Les anciens initiés avaient-ils la faculté, aujourd’hui perdue, de voir ces êtres étranges sans le support des nuages ou de la photographie ? Mon enquête m’incline à le penser. Mais vous en aurez une meilleure idée par la suite.

3/Témoignages historiques

   Toutes ces fresques, toutes ces sculptures nous paraissent d’un âge bien lointain qui ouvre la porte à toutes sortes de spéculation, je vous l’accorde. En apparence, elles ont d’ailleurs bien peu à voir avec les ovnis. Rapprochons-nous donc dans le temps, et voyons s’il existe des témoignages plus récents de ces apparitions fantastiques. Justement, au XIX° siècle, Eliphas Lévi, le rénovateur de l'occultisme parle de visages apparus dans le ciel. Il écrit :

« Sous le règne de Pépin le Bref, des phénomènes fort singuliers se montrèrent publiquement en France. L’air était plein de figures humaines, le ciel reflétait des mirages de palais, de jardins, de flots agités, de vaisseaux les voiles au vent et d’armées rangées en bataille. L’atmosphère ressemblait à un grand rêve. Tout le monde pouvait voir et distinguer les détails de ces fantastiques tableaux. Etait-ce une épidémie attaquant les organes de la vision ou une perturbation atmosphérique qui projetait des mirages dans l’air condensé ?

Les imaginations étaient pleine de ces merveilleusement fictions lorsque apparurent les mirages du ciel et les figures humaines dans les nuées. On confondit les rêves avec la veille et plusieurs personnes se crurent enlevées par des êtres aériens ; il ne fut bruit que de voyages au pays des sylphes, comme parmi nous on parle de meubles animés et de manifestations fluidiques. La folie gagna les meilleurs têtes et il fallut enfin que l’église s’en mêlât. »

    Eliphas Lévi doit-il ce texte à un trop plein d’imagination, ou s’est-il basé sur des témoignages authentiques ? Je rappelle qu’à l’époque où il écrivit ces lignes, on ne parlait pas encore des vagues de soucoupes volantes, et encore moins du phénomène des abductions si répandues aux Etats-Unis.

LEGENDE PHOTO 03a: Photographie de la navette spatiale lors de la mission STS 03. Ne dirait-on pas la vision d’une armée en marche dont parlait Eliphas Lévi ?

 

LEGENDE PHOTO 03b : Photographie de la navette spatiale lors de la mission STS 03. On croit reconnaître une scène de bataille avec différents personnages.

LEGENDE PHOTO 03c : D’autres textes relatent encore l’apparition d’anges dans le ciel.

4/ World Trade Center

  Toujours plus près de nous, peu après le drame de l’attentat du World Trade Center, les mails ont commencé à circuler sur le Web, accompagné de différentes images des tours en flammes et annonçant en titre : « Le Diable était là ! » De fait, sur les photos, nous avons pu voir, dans la fumée, la formation d’un visage à différents moments de la tragédie.

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    Les images parlent d’elles-même… Alors, hasard ou réalité ? En fouillant dans mes archives, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir ce même visage, photographié 11 ans auparavant, juste au-dessus de la statue de la liberté. Encore une drôle de coïncidence qui n’a pas manqué de me troubler.

LEGENDE PHOTO 04.liberté.jpg :

Cette photo a été prise par un couple de touristes de passage à New York en juillet 1990.

    Evidemment, jusqu’à présent je n’ai rien prouvé. Je sais que n’importe quel scientifique me répondra que l’imagination humaine étant ce qu’elle est, l’acuité visuelle une grande source de confusion, les rêveurs de mon espèce finiront toujours par voir ce qu’ils veulent dans les nuages. Certes, pour avoir été dupe de mes propres yeux à plusieurs reprises, je sais bien qu’il n’y a rien de plus traître que la vision. De même, il n’y a rien de plus simple que de trouver une forme précise dans un nuage. Et l’imagination aidant, même une forme complexe reste assez facile à élaborer.

    J’aurais beau faire remarquer à ce scientifique cartésien qu’il s’agit toujours, soit de visages humanoïdes avec un œil ou deux yeux au maximum, soit de visages extraterrestres de type reptilien, et jamais de voiture, ou d’objet manufacturé, celui-ci me répondra toujours la même chose, à savoir que je finirai toujours par voir dans un nuage ce que je veux y trouver ! Et il aura raison.

   Cependant, en diriez vous autant si je vous montrais la même chose sans les nuages ? Oui, un visage dans un ciel uni ? La même chose, peut-être même mieux dessiné encore, avec plus de détails, un visage apparaissant presque en 3D… ? Et si je répétais cette prouesse non pas dix fois, mais cent, commenceriez-vous à douter de vos certitudes ? Et si je vous les montrais aussi sur des vidéos ?

    Naturellement vous pourriez croire que ces documents sont truqués. Dans ce cas, après avoir lu cet article jusqu’au bout, partez à votre tour à la recherche de ces visages étranges. Et lorsque vous aurez constaté par vous même la réalité de leur existence aberrante, lorsque vous aurez fait pour ainsi dire « connaissance », lorsqu’ils se seront présentés à vous, alors vous ne verrez peut-être plus jamais le monde de la même façon. Et vous saurez que finalement nous ne sommes pas si seul au monde, et qu’il existe effectivement une autre dimension dans l’univers, quelques chose aux possibilités plus grandes encore que n’en offrait votre propre imagination… Vous saurez alors qu’ils sont là, qu’ils adressent perpétuellement des messages à votre subconscient, et que vous avez enfin le moyen de les débusquer et de les voir en toute conscience. Mais est-ce bien ce qu’ils veulent ?

5/ Ils sont là, autour de nous.

    Ceux qui ont vu le film « le docteur Patch » avec Robin Williams, se souviendront d’un scientifique, interné volontaire dans un hôpital psychiatrique. Cet homme colérique demande « Combien il y a de doigts ? », en brandissant quatre doigts devant le visage des personnes qu’il interroge. Celui qui a le malheur de lui répondre « Quatre » se fait aussitôt insulter sans autre explication. Un peu plus tard dans le film, le docteur Patch parvient enfin à conquérir la sympathie du personnage, et ce dernier lui livre alors son secret. « En fait, dit-il, il faut répondre « HUIT ». Car pour toute chose, il faut s’habituer à regarder au delà les apparences ». Lorsque Patch regarde alors derrière la main du personnage, sa vue trouble lui montre effectivement « Huit » doigts. C’est un peu le même exercice que nous allons effectuer à présent pour voir ce qui se passe parfois au-delà des apparences. Vous souvenez vous de ces vieux Péplums, dans lesquels apparaissaient les Dieux de l’Olympe, occupés à regarder les hommes à travers un miroir où dans l’eau transparente d’une vaste fontaine ? A notre tour d’oser regarder l’envers du décor…

Zone de recherche

   Avant de nous lancer, nous devons délimiter le périmètre de nos recherches. En effet, bien que l’on puisse parfois les apercevoir sur la photo d’un simple paysage, j’ai remarqué que ces êtres fantastiques préféraient apparaître lors d’événements spectaculaires. Sans doute ont-ils à cœur de toucher le subconscient d’un maximum de personnes. Ils sont en effet toujours présents lorsqu’ils savent que les images seront diffusées partout dans le monde, et qu’ils seront donc vus par une grande partie de l’humanité. Ainsi, peut-on les découvrir sur le célèbre film de Zappruder, exactement au moment des tirs sur le président Kennedy. On les aperçoit aussi très souvent sur les photographies prises par Hubble. Et là, d’une dimension extraordinaire, ces visages translucides semblent veiller comme des pères et des mères à la création des nébuleuses.

    Quel autre type de documents est-il encore susceptible d’être regardé par le plus grand nombre ? Et bien nous voilà revenus au sujet qui occupe tout particulièrement le site d’Artivision : ils apparaissent en effet très fréquemment sur les documents d’ovnis !

Description des entités

    La plupart du temps, vous ne verrez au mieux que les contours d’un visage, avec les yeux, le nez, les lèvres et même les oreilles. Ces êtres fantastiques ont presque tous le crane rasé. J’ai remarqué qu’il était très difficile de leur attribuer un sexe. Bien que beaucoup paraissent masculins et virils, certaines figures sont androgynes. Je n’ai encore jamais repéré une femme « femme ». Cette question du sexe reste donc encore à définir. Sur la même photo, il arrive que plusieurs personnages soient présents. Ces êtres étant parfaitement éthériques, ils peuvent se superposer sur différents plans et l’un pourra paraître immense tandis que l’autre semblera petit. Le plus souvent ils sembleront fixer l’objectif mais d’autres fois leur attention sera focaliser sur l’ovni.

Comment les repérer

    Pour repérer cette présence, il faut regarder l’image en prenant du recul. Parfois il faut regarder dans un coin de l’image, d’autre fois il faut avoir une vision global de l’ensemble. Dans tous les cas nous devons détacher totalement notre attention de l’ovni. Avant toute chose, en présence d’une nouvelle photo d’ovni, nous devons rechercher les yeux de ces entités en arrière plan. Ce sont généralement leurs yeux qui apparaissent le plus clairement à l’image. Parfois il n’y a d’ailleurs rien d’autre qui soit visible en dehors de leurs yeux ouverts et hypnotiques. Téléchargez les photos sur votre disque dur pour plus de confort lors des manipulations. Il est en effet parfois utile de pouvoir agrandir une image. Je vous rappelle que toutes ces images ne sont évidemment pas truquées, et que j'en ai comme ça des dizaines d’autres... Pour les premières photos, j’ai choisi de vous présenter un double modifiée afin de vous aider. Prenez cependant le temps de rechercher ces visages sur les photographies non modifiées.

 

Photo 05a

    Sur cette photo vous constaterez la présence d’un œil brillant tout près de l’ovni. Cet œil semble regarder fixement. Est-ce un problème de pellicule ? agrandissez cette zone et regardez attentivement à gauche de cet œil. Vous découvrirez l’œil droit de l’entité, à peine visible mais en tout point identique. En prenant du recul, vous aurez alors presque la possibilité de voir le contour un peu plus sombre de son visage.

 

Photo 05amodifiée

 

    J’ai dessiné les contours des traits apparents de l’entité afin d’être sûr que nous voyons bien la même chose.

 

Photo 05b

    Cette seconde photo laisse également apparaître des yeux et peut-être même le début d’un contour de visage. L’entité nous fait face. Elle est située juste au-dessus de l’ovni. Ce visage est de type androgyne. Pas tout à fait humain. Est-ce une figure de type reptilien ?

 

Photo 05bmodifiée

Remarquez bien ici le parfait dessin des yeux. D’autres yeux sont visibles en bas de la photos. A vous de les trouver.

 

Photo 05c

    Voici la photo d’un ovni qui passe au-dessus d’une maison. Ici, les yeux ne sont pas visibles. Est-ce à dire qu’il n’y a pas d’entité ? Une observation attentive de l’image vous permettra de remarquer une différence de ton presque imperceptible et formant le contour d’un visage.

 

Photo 05c modifiée

    Je me suis contenté d’assombrir la photo. A présent le visage apparaît très clairement. On devine même l’emplacement des yeux, du nez et de la bouche. Ce pourrait-il que la pellicule ai gardé l’empreinte d’une photo précédente. Le fait que ce type d’anomalie apparaisse très fréquemment m’incline à penser que non. Remarquez que le crane du personnage semble encore rasé.

 

 

Photo 05d

   Cette image est tirée d’une très célèbre vidéo d’un ovni approchant le Concorde lors d’un vol expérimental. De nombreux personnages figurent en arrière plan autour de l’avion. On les voit apparaître, tourner la tête et disparaître, ce qui donne encore plus de réalité à leur présence. Voici une copie d’écran de la vidéo sur laquelle j’ai placé deux curseurs. Vous n’aurez pas de mal à distinguer un visage en formation et de face juste au niveau de la flèche. La main est posée sur la joue gauche d’une autre entités qui est de profil par rapport à l’objectif. Observez le contour de son œil.. A vous de trouver le troisième personnage qui se cache sous le Concorde. Notez une fois de plus l’absence de chevelure sur ces visages.

 

Photo 05e

Encore une copie d’écran vidéo. Cette fois il s’agit d’une vidéo prise sur le site de l’Aréa 51. La main vous désigne la présence d’un homme aux dimensions immenses. Vous remarquerez aisément le contour droit de son crane chauve. L’homme a visiblement les oreilles décollées. On devine sur son cou le col d’une chemise blanche.

 

Photo 05f

    Voici une magnifique photographie d’Hubble montrant la naissance d’une étoile. « Au-delà des apparences » de cette image se cache un être fantastique aux traits féminin. Son front est assez long, presque bombé, et il commence un peu en dessous de l'étoile brillante dans le coin supérieur gauche. Un peu en dessous encore, vous verrez les deux orbites de ses yeux assez sombres et assez grands, en amande. Notez le dessin parfait de son œil gauche. Puis plus bas, juste au-dessus du nuage de gaz, vous apercevrez son nez qui brille un peu. La narine droite est d’une rare netteté. Au niveau de sa bouche qui apparaît à peine, brille une petite étoile.

 

Photo 05g

   Cette photo est l’une des plus spectaculaire que je connaisse. Le visage fait face à l’objectif. Il remplit carrément toute la photo. Essayez d'abord de repérer son œil droit en haut sur un axe à 45° par rapport à la pointe de la soucoupe, puis son nez légèrement à droite de la pointe de l’ovni, et enfin sa bouche avec ses petites lèvres fines qui serpentent juste à droite de la soucoupe. Une fois qu’il vous sera apparu comme une évidence, vous ne pourrez plus vous détacher de son regard un peu triste. Cherchez son œil gauche puis le contour de son visage reptilien... La partie droite de ce visage est visible, tandis que sa partie gauche est presque confondue avec le ciel.

 

Photo 05gmodifiée

    Pour vous aider, je me suis contenté d’obscurcir simplement la photo. Cette fois vous ne pouvez plus ne pas voir le résultat.  Les plus attentifs auront remarqué l’autre visage très visible bien que plus petit, dans l’angle inférieur droit.

 

6/ Parabole.

   Voici une parabole qui collera parfaitement à ce présent article. Elle a été écrite par un rédacteur du périodique scientifique Futurum qui la confia à Erich von Daniken, lequel l’utilisa dans son livre « Mes preuves ». J’espère qu’ils ne m’en voudront pas si j’en reprends ici quelques extraits.

« L’attaché de presse du laboratoire Biolabor PAI-X-217 n'avait pas exagéré en qualifiant d’inouïe l'expérience à laquelle il m'avait incité à assister en un lieu tenu secret. Il était entendu que je devais arriver trois jours avant le début des opérations. Le ciel était parfaitement clair quand ma voiture atteignit l’endroit convenu mais je n’aperçus aucune trace de ce genre de bâtiment qui signalent normalement la présence d’un laboratoire. Je croyais déjà m’être trompé de chemin lorsqu’en arrivant au faîte d’une colline je découvris à mes pieds une immense vallée. Pas un seul bâtiment, pas une usine à perte de vue. Rien que la route toute neuve sur laquelle glissait ma voiture dans un silence presque absolu. Toute l’étendue de cette vallée était surmontée d’une coupole de verre : un amphithéâtre, une cathédrale de verre. (…)

Un jeune savant m’expliqua alors ce qui allait se passer. Conformément à un programme minutieusement établi, on allait commencer par préparer sous la double coupole, à partir de différents produits chimiques, un mélange identique à celui où étaient apparues sur Terre les premières molécules organiques. (…)

Mon accompagnateur me dit alors avec satisfaction qu’allait maintenant s’amorcer la formation de premières molécules. Ces gens-là ne manquaient pas de cran : dans le cadre de la plus grandiose des expériences jamais réalisée par des chimistes, ils s’apprêtaient à reconstituer le processus de l’apparition de la vie sur la Terre.

« Moi, je veux bien, répondis-je. Tout ce que je demande, c’est d’en ressortir vivant, moi aussi ! »

Vêtu d’une combinaison blanche comme moi-même, les hommes de science prélevaient de temps à autre des échantillons du mélange qu’ils examinaient ensuite sous des microscopes électroniques. Tout se déroulait conformément à leur attente : certaines molécules commençaient à s’assembler pour former des chaînes d’acide aminés, or c’est ainsi qu’avait débuté la vie sur notre planète, comme me l’expliqua mon guide en regrettant que les choses se soient alors passé beaucoup trop lentement. Il n’était, cette fois, pas question que les expérimentateurs attendent pendant des milliards d’années le résultat de leur entreprise, et ils étaient justement en train de se demander comment accélérer le mouvement.

J’ignore au bout de combien de temps ils décidèrent, pour provoquer l’accélération souhaitée, d’incorporer à leur mélange quelques millions de molécules de protéines orienté à gauche -la seule variété dont ils disposaient, d’ailleurs, observa mon mentor. (…)

Sur quoi il ajouta qu’ils avaient à présent de bonnes chances de parvenir à leurs fins.

La nouvelles se répandit bientôt parmi les présents comme un feu de brousse, que se formaient des chaînes d’ADN qui se dédoublaient activement, et les savants s’administrèrent mutuellement de joyeuses tapes dans le dos : des cellules, des chaînes entières de cellule étaient en train de s’associer pour former des êtres vivants de structure simple. Cette satisfaction unanime n’était troublée que par le fait que tout se déroulait trop lentement au gré des participants. Les savants se mirent alors à discuter avec véhémence, au point que leur discussion prit par moment l’allure d’une véritable dispute. Ils procédèrent enfin à un vote à main levée dont ressortit une nette majorité.

Mon informateur m’expliqua que la victoire avait été remportée par les généticiens, qui s’apprêtaient maintenant à provoquer la mutation de toute une série de cellules en leur incorporant un code héréditaire bien défini. Ces spécialistes étaient certains de pouvoir ainsi susciter l’apparition d’espèces bien déterminées. Ils allaient tout d’abord déclencher la création de structures vivantes à coquille dure, puis celle d’organismes capables d’augmenter la teneur en oxygène du mélange initial et enfin celle d’êtres vivants qui se multiplieraient dans les plus brefs délais à des millions d’exemplaires. Ils étaient convaincus de pouvoir reproduire ainsi toutes les espèces dont ils avaient des échantillons d’ADN en laboratoire. Fasciné, je continuais d’observer la suite des événements à travers la paroi de verre. J’avais l’impression d’assister à un miracle. (…)

Je vis tout à coup d’innombrables formes vivantes surgir du mélange initial. Le temps que dure la projection d’un film de trucage, je vis apparaître un merveilleux paysage primitif. Des plantes jaillissaient du sol, entre lesquelles rampaient et gambadaient des animaux. Des bras métalliques articulés extrayaient parfois certains animaux de ce zoo fabuleux. Comme je lui en demandai la raison, mon mentor, lui-même fasciné, me répondit rudement : « vous voyez bien qu’ils sont défectueux. » J’exultais d’avoir été le seul journaliste invité à assister à cette expérience sans précédent. Je tenais le reportage de ma vie ! (…)

Il s’agissait maintenant de créer une vie intelligente, à même d’instaurer l’ordre au sein de cette anarchie foisonnante et de s’assurer la domination sur les espèces inférieures. Mais comment allaient-ils procéder ? « Aucun problème, répondit mon interlocuteur, nous allons prendre la plus évoluée de ces créatures et lui incorporer simplement l’équipement génétique de nos propres cellules pour obtenir enfin des êtres à notre image. »

Cette étape se déroula plus rapidement et plus facilement que ne l’avaient espéré les savants qui triomphèrent à nouveau quand apparurent les créatures à leur image. Tout allait devenir beaucoup plus simple, à présent, me dit mon accompagnateur, car le comportement de ces nouveaux êtres était connu à l’avance. On savait à priori qu’ils réagiraient par le plaisir ou la douleur aux mêmes stimuli que leur propres créateurs.

C’es nouveaux « produits » entreprirent alors d’organiser le chaos environnant. Ils se mirent également à se multiplier avec allégresse et en masse. Voici quelques image qui subsistent, dans ma mémoire, du film de cette création : je vis naître la vie communautaire, se créer les premières infrastructures sociales, apparaître une activité artistique. Certains groupes se mirent ostensiblement à faire bande à part pour s’adonner à la recherche scientifique.

Les savant en cotte blanche souriaient à leur « propre image ». Ils manifestèrent cependant quelque inquiétude en observant des hommes jeunes et vigoureux, revêtus de tenues uniformes, et marchant ensemble, au pas cadencé. Tout comme leur créateurs, les créatures se préparaient à faire la guerre. (…)

J’ai oublié de mentionner que nous pouvions, au moyen de microphones, entendre tout ce qui se disait sous la coupole. (…)

Ce qui les tracassait, c’était leur origine. Ils voulaient savoir comment ils étaient apparus, d’où ils venaient, qui les avait crées, où ils vivaient autrefois, qui les avait implantés dans ce monde. (…) faute de réponse aux questions qui les tourmentaient, les créatures échafaudèrent d’innombrables théories sur leur propre origine. Après de longues disputes, l’idée finit par s’imposer que chaque espèce s’était probablement constituée à partir d’autres espèces et que la plus forte avait, dans chaque cas, triomphé des autres et avait survécu. De bons esprits ne manquèrent évidemment pas d’affirmer l’impossibilité de ce schéma, les différentes espèces n’ayant jamais pu se croiser entre elles, comme on peut le vérifier dans tous les cas. On balaya ces objections en affirmant que le processus invoqué avait duré si longtemps que la chose avait dû être possible à certains moments. (…)

C’était drôle de voir ces êtres intelligents, artificiellement créés en vase clos par des chimistes et des généticiens, affirmer que leur apparition et leur évolution étaient seulement imputables au hasard d’une longue évolution. (…)

Au moment où la discussion semblait close, l’un des participant déchaîna un tumulte assourdissant en demandant si des êtres intelligents n’avaient pas, de l’extérieur, collaboré à la création. Les autres répliquèrent qu’il fallait posséder un sacré culot pour saper ainsi dans ses fondement la position du chef-d’œuvre de la genèse. Il faut reconnaître que ces produits d’une expérience ne manquaient pas de prétention !

Bien que je ne fusse qu’un simple observateur, partie non prenante au déroulement des opérations, j’éprouvai quelque compassion à l’égard des savants qui avaient transpiré sang et eau, pendant si longtemps, pour mener leur expérience à bonne fin et qui se voyaient à présent dénier tout mérite. Gonflés d’ingratitude et bouffis d’orgueil, les produits qu’ils avaient fabriqués niaient tout simplement l’existence de leurs créateurs.

Comme n’importe quel journaliste, j’aurais aimé savoir si ce scénario se terminait sur un happy end, mais je compris pourtant la décision du responsable quand il décida de mettre fin à l’expérience. »

 

7/Conclusion.

    Certaines questions s’imposent également aux créatures que nous sommes. Ces êtres qui sont visibles sur les photographies, lorsque nous regardons au-delà des apparences, ne sont-ils pas nos créateurs, absorbés par une expérience qui dépasse notre entendement ? Ne sont-ils pas les créateurs des phénomènes lumineux que nous appelons ovnis, et qui viennent parfois comme les « bras métalliques articulés » de la nouvelle ci-dessus, prélever des échantillons sur la Terre, ou nous livrer quelque message important ? Les ovnis et leurs pilotes ne sont-ils pas l’instrument idéal qu’ils ont choisi pour entrer en contact avec nous ?

    Si tel n’est pas le cas, et si les deux phénomènes sont totalement indépendants l’un de l’autre, ces êtres gigantesques ne sont-ils pas le véritable mystère sur lequel nos regards devraient se focaliser ? Qui sont-il en effet ? Sont-ils les formes pensées de l’humanité enfermées dans la voûte atmosphérique ? Sont-ils l’âme de nos morts hantant les cieux ? Nous savons qu’ils sont de nature éthérique, que leur taille peut varier à l’infini, qu’ils peuvent se superposer les uns aux autres, apparaître, disparaître, changer d’expression même. Sont-ils les Dieux anciens délaissés et se penchant toujours sur le sort de l’humanité ? Quelles sont leurs intentions à notre égard ? Charles Fort croyait que nous étions la propriété d’autrui. Ces êtres fantasmagoriques seraient-ils nos propriétaires, présents et narcissiques au point de s’immiscer jusque dans nos films grand public. Tout ceux qui souhaitent aller de surprise en surprise devraient louer la cassette vidéo du film de Robert Zemeckis « APPARENCE » avec Harrison Ford.

    Ils constateront qu’un de ces mystérieux visages apparaît lors de l’ultime image du film, au moment du fondu au noir. Le spectateur ne peut absolument pas se rendre compte de la chose, cependant un œil exercé s’en apercevra tout de suite. Le visage est parfait, il apparaît presque en 3D. Il faudrait savoir si la production a repéré cette forme subliminale ou si elle a fait exprès de la placer ici, alors qu’une telle image n’a pas réellement de lien avec le film. Si tel est le cas, il faudrait savoir pourquoi ? pour nous livrer quel message ? Un visage…sur fond de cimetière…

    Cependant s’il ne s’agit pas d’une volonté de la production, alors nous saurons une chose nouvelle sur ces étonnantes entités. C’est qu’elles agissent délibérément, dans l’intention de nous laisser des messages à plusieurs niveau de lecture. En effet, quelle ironie que de se manifester « au-delà des apparences » dans un film qui porte précisément ce nom : « Apparence » et dont le vrai titre en anglais est encore plus explicite : « What lies beneath »

    Beaucoup me prendront pour un illuminé après la lecture de cet article. Mais je sais aussi que les autres ne lèveront plus jamais les yeux au ciel de la même façon…

 

LIENS

Un autre site existe et qui parle du phénomène. Une vision assez sombre du réel ;

Autre dimension http://www.multimania.com/humain/

 Enfin pour vérifier par vous même tout ce qui vient d’être dit, rien ne vaut la cueillette de photos d’ovni.

Vous trouverez celles-ci en quantité sur les sites :

http://communities.msn.fr/ovniphoto

http://site.voila.fr/ovni_photo

 

  Pour tout contact au sujet de cet article : SAÜQUERE

Article mis en page le 28/09/01, puis revu le 16/05/05, puis revu le 07/06/08.

Fred Idylle

Pour tout contact : fred.idylle@orange.fr

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