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Remue-ménage cosmique.

I Introduction

     Nous allons aujourd'hui plonger dans un univers si fantastique que l'on pourrait croire qu'il s'agit du monde fantasmagorique du rêve. Mais hélas une fois de plus, tout ce qui va être révélé ici, aussi incroyable que cela semble, n'est que l'exposé d'une stricte vérité qui du reste, est mise encore sous le boisseau par ceux-la mêmes qui auraient dû avoir la mission de nous en faire part. En effet, les médias n'arrêtent pas de nous noyer sous des flots d'informations négatives (accidents, catastrophes, guerres, génocides, crimes, agressions, viols, pollutions, arnaques, etc... ), mais dès qu'il s'agit de révélations mettant en cause notre orgueil et notre hégémonie, c'est le silence total, au plus haut niveau, alors que ces révélations elles-mêmes seraient susceptibles de créer les conditions d'unification des humains de la planète Terre, et cependant nos dirigeants eux, pour la plupart, s'ingénient à "diviser pour mieux régner" et à ériger tous les barrages physiques et psychologiques qui nous séparent.

II La genèse de l' affaire.

     Nous présenterons aujourd'hui quatre volets qui posent des interrogations insolubles aux scientifiques qui ont bien voulu les étudier. (voir ensuite l'article "La Lune championne de l'orthogonalité" qui complète parfaitement ce dossier)

a) Manifestations objectives dans le Cratère Vitello.



    En Août 1967, la sonde américaine "Lunar orbiter V" a photographié (Ref. NASA 67-H-1135) à l'intérieur du cratère Vitello sur la Lune, situé à l'extrémité sud de la Mer des Humeurs et diamétralement opposé au célèbre cratère Gassendi (ce dernier lui même étant criblé de rainures ayant des formes géométriques très étonnantes) deux pistes d'inégales longueurs laissées par deux objets ayant respectivement environ 5m et 25m de large et brillamment illuminés par le soleil, ce qui empêche notablement d'en voir, en détail les contours . Le site ci-dessous, découvert par S. Rouat, nous a été proposé par l'internaute Julien Scordia :

http://nssdc.gsfc.nasa.gov/imgcat/html/object_page/lo5_h168_2.html

    On y découvre l'image 1 ci-dessous:



    En sectionnant une partie de l'image, on découvre mieux les deux mobiles:



    Mais, il est cependant aisé de constater que le petit mobile qui a tracé la piste la plus longue, est sorti d'un cratère en remontant son versant intérieur pour poursuivre sa trace sur l'autre versant sur près de 700 m . Comment une masse de près de 500 tonnes a-t-elle pu quitter l'intérieur d'un cratère pour aller ensuite, sur une pente ne dépassant pas les 25 degrés, se promener sur une si longue distance en laissant un tracé aussi large qu'un chemin de servitude (environ 5m) alors que la Lune n'a aucune activité volcanique reconnue susceptible de provoquer une telle expulsion ?

    D'ailleurs on constate que le fond à gauche de ce cratère est parfaitement jonché de structures blanchâtres ayant des formes géométriques remarquables surprenantes, qu'un meilleur grossissement fait par des spécialistes (ce que nous ne sommes pas) devrait mettre très bien en évidence.

    Et que dire alors de l'autre mobile bien plus colossal qui est en forme de tronc de cône et flanqué d'un appendice triangulaire parfaitement centré sur son côté gauche et qui lui confère ainsi un axe de symétrie remarquable et une notoire impossibilité de rouler naturellement ?

    Comment ce mobile, (dont la masse devrait s'approcher de celle de la célèbre pierre "Hadjar el Gouble" de Baalbeck présentée dans la page d'accueil de ce site) a-t-il pu donc se déplacer en laissant sur près de 500 m, une piste, de la largeur d'une route nationale ( environ 25 m) et qui présente des structures ressemblant parfaitement à des empreintes de chenilles?

    Notons l'explication pour ce cas de la revue Science et vie de Mars 1968 N° 606 page 71 : "Un gros bloc vient de débouler creusant un long sillon. Providentiellement un lunar Orbiter V a pu le photographier".

    Voilà une information très fantaisiste, qui a pour but , selon nous bien sûr, de "noyer le poisson", car comment peut-on prouver que ce bloc gigantesque "a glissé" juste au moment où la sonde passait (les mots "vient de débouler" sont bien écrits) ? A-t-on surpris un nuage de poussière ? Il n'y a pas d'atmosphère dit-on sur la Lune pour le tenir en suspension. Il y avait certainement des dizaines d'années ou plus que ce bloc avait bougé ? Et pourquoi la revue n'a-t-elle pas jugé bon de montrer l'autre mobile, juste à côté, sorti d'un autre petit cratère? Évidemment les deux mobiles ne pouvaient pas avoir "déboulé" en même temps de deux endroits différents...! et il était bien préférable alors de n'en montrer qu'un seul. Voir l'image 2 ci-dessous:

    Mais si nous analysons attentivement les bords gauche et droit de la première image n°1 précédente, on ne peut manquer d'être surpris par des formes géométriques très structurées de blocs très blanchis et soit parallèles, soit orthogonaux. On peut même y voir tout à fait à droite une sorte d'étoile jouxtant un bassin presque carré. (voir l'image suivante hélas un peu déformée par l'agrandissement:)



    Le 04/12/04, grâce à notre ami Christian Macé, le Maître es exploration du Web, nous avons pris connaissance d'un super site scientifique intitulé : "Qui est déjà sur la Lune ? " et dont voici l'adresse:

http://www.geocities.com/CapeCanaveral/Launchpad/4629/plan.htm

    Toutes nos félicitations aux concepteurs de ce site.

    Nous pourrions alors citer encore d'autres cas de modifications structurelles sur le sol lunaire comme par exemple ce cratère Linné situé dans la Mer de la Sérénité d'une douzaine de km de diamètre, soigneusement relevé par de nombreux observateurs (dont le fameux Flammarion) et qui en 1867 avait complètement blanchi et disparu, comme nivelé par une gigantesque entreprise. D'ailleurs voici deux autres cratères dont les bords semblent être, de nos jours, entrain de subir un rabotage systématique par des "pelleteuses" en forme de X ou de E. Voir l'image 3 ci-dessous:



    On peut toujours mettre ces "érosions" caractérisées du sol lunaire au crédit du hasard, comme l'ont fait sans hésiter certains observateurs qui préfèrent avoir leur conscience en paix et dormir le soir sereinement. Mais cela sera-t-il encore possible après ce que nous réserve notre troisième volet ?

b)Nivellements caractérisés sur l'astéroïde Eros.



    Le 14 février 2000, la sonde américaine Near se satellisait à 355km environ de l'astéroïde 433 Eros, un rocher d'environ 33 km de long dont la masse volumique est de 2,4 gramme par cm3 et dont on nous dit bien que les instruments de la sonde y ont noté la présence de plusieurs types de roches dont du pyroxène et de l'olivine des minerais à haute teneur en fer.

Analysons voulez-vous ques images d'Éros prises par la sonde en question et extraite du site :

http://near.jhuapl.edu/iod/archive.html
sur la page :

http://near.jhuapl.edu/iod/20000217a/index.html


    On découvre ceci :



    Mais regardons de plus près :



    On découvre alors qu'il existe de nombreuses zones d'une blancheur notoire inexplicable, et on decrouvre ici des rayures ayant des barres parallèles coupant à angle droit un axe central. Mais il semblerait que cette blancheur cache parfois (comme le montre la flèche de gauche de la photo précédente et avec une loupe bien sûr c'est encore mieux) des formes très régulières (sortes blocs parallèles et orthogonaux)

    Nous aimerions connaître l'explication des spécialistes sur la nature du phénomène qui est à l'origine d'une telle érosion du sol de cet astéroïde, où rappelons le, il n'y a sur Eros, ni air, ni eau, ni vent, ni volcan, etc..

    Nous avons trouvé cependant une tentative d'explication de quelques spécialistes en vulgarisation astronomique :

    En Avril 2000, la revue "Ciel & Espace" dans son n°359 publiait d'excellentes photographies de ce rocher, et en voulant commenter ces rayures insolites du cratère précédent, elle nous dit ceci : " Dès le 14 Février cette image du pôle d'Éros a montré des détails d'une trentaine de mètres . On y voit en particulier, à l'intérieur d'un gros cratère de 6 km de diamètre, des rainures parallèles qui sugèrent la présence de strates . C'est l'indice que l'astéroide est issu d'un corps différencier bien plus important ".

     Donc si nous savons lire entre les lignes, cela signifie qu'Éros ne peut qu'être qu'un fragment d'un beaucoup plus gros rocher, détruit probablement par une collision gigantesque avec un autre corps céleste, et cela aurait été la raison de la présence de ces strates géologiques sur Éros. Le problème est que ces prétendues strates paraissent d'une fraîcheur inouie. A vous de juger tout cela...

    De plus, la présente sur Éros de nombreux cratères indiquerait une probable ancienneté de ce rocher, qui étant donnée sa petitesse pose donc bien des problèmes.

     Il existe ainsi des dizaines de photos d'Eros présentant ces zones extrêmement blanchâtres où l'on pourrait aller de suprise en surprises

    Par exemple regardons la photo suivante :


    En haut à droite de l'image, nous observons un complexe de structures ayant des segments à supports parallèles et orthogonaux et tout cela juxtaposé avec des trous parfaitement alignés.

    Voyons maintenant cette autre image d'Eros :

    

    Il ne nous reste qu'à attendre aussi que l'on nous explique la nature du phénomène capable que créer dans l'espace, sur un rocher en forme d'haricot plein de rondeurs, une topographie aussi structurée.

    Au mois de Décembre 2000, la revue "Ciel & espace", a sorti son n° 367, en spécifiant qu'il était "exceptionnel", car il représente, nous dit-on le "journal du siècle en Astronomie". Cependant à la page 88, une photo d'Eros prise le 26 Octobre 2000, à 7 km d'altitude, par la sonde américaine Near, (qui, la revue le précise surtout bien, a réalisé des prises de vue avec grand un luxe de détails), mais, où l'on ne voit, chose surprenante, qu'un terrain presque uni sans aucune des rainures et anomalies extraordinaires relevées plus haut et qui pourtant font partie de "ce luxe de détails" que nous aimerions bien voir de plus près. Voir l'image suivante:



     A vous d'en tirer les conclusions judicieuses qui s'imposent.

    D'ailleurs voilà pourtant une autre image bien plus signficative , que celle qui précède :


Il y a aussi ces fameux blocs tout blancs, nommés "boulders" qui se dressent verticalement sur le sol uni d'Eros :

<

    Le 18 Fév. 2001 notre ami, Christian Macé nous a permis de mettre la main sur l'image suivante d'Eros où l'on voit des nombreux autres boulders qui semblent parfaitement verticaux et bien taillés :



    Voici d'ailleurs, une autre photo plutôt parlante :



    Toutes ces photos d'Eros, nous le savons, sont consultables sur le site :

http://near.jhuapl.edu/iod/archive.html

    Autre photographie d'Eros en date du 2/05/2001.

    Les nombreuses photos d'Eros , disponibles sur le site précédent, vous permettront d'en savoir un peu plus, mais terminons notre éventail, par la photo suivante, où nous avons placé des flèches pour mieux localiser certaines structures significatives.



    En effet si vous scrutez le bout de la flèche n°1, vous apercevrez une structure très insolite en forme T, qu'il faudrait surtout bien analyser, tant elle est surprenante, ainsi que d'autres structures qui se trouvent en bout de la flèche n° 2, un complexe très extraordinaire de structures où règnent un bassin étrange ayant des angles droits et jouxtant un ensemble de blocs insolites presque cachés hélas par l'ombre formée dans grand cratère.

    En suivant la crête supérieure du paysage, les flèches 3 et 4 montrent aussi très nettement deux formations insolites formés de blocs très structurés avec bords apparemment parallèles. Le rocher en bout de la flèche n° 5, lui, par la projection de son ombre au sol, nous montre qui a une forme très géométrique.

    Il y a bien plus à voir dans cette image (comme certains bassins rectangulaires ou presque carrés, rainures parallèles etc...), que nous vous laissons le soin de découvrir par vous même . Des agrandissements fidèles et un traitement informatique, faits par des spécialistes pourraient s'avérer, ici , très utiles pour révéler, enfin, ce que l'on nous cache depuis des lustres. Avis aux amateurs.

    Le 8 mai 2001 nous avons reçu du spécialiste en traitement photographique :Yves Vaillancourt  l'agrandissement suivant :



    Il est donc curieux que cette structure très insolite ci-dessus, n'ait jamais été montrée en 3D par la Nasa et les médias spécialisés si avides d'images chocs. Un grand merci donc à Yves Vaillancourt pour sa remarquable contribution à notre découverte d'Eros.

    Voir aussi sur cette affaire d'Eros notre article suivant :

http://artivision.fr/lettreouverteCe.html

Prolongement révélateur en date du 05/04/01.


    En Avril 2001, cette même revue "Ciel & Espace" , publiait dans son n° 371 une nouvelle photo de d'Eros (certes un peu moins simpliste que celle du n°367, montrée plus haut ), où l'on aperçoit cependant, page 30, tout de même, quelques timides boulders, à peine décelables, alors que cette revue aurait pu sans problème choisir au moins l'une des deux photos précédentes, à notre humble avis, bien plus explicites. On dirait que les rédacteurs ne tiennent pas à recevoir un courrier trop gênant au sujet des anomalies caractérisées que nous avons détectées sur Eros. Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez :



Prolongement surprenant en date du 22/05/01.


    La revue bien connue "Science & Vie", nous présente dans son n° 1003, d'Avril 2001, en plus d'un article très remarquable philosophique et scientifique de 2 pages, ayant trait au "hasard dans l'univers", article qui nous interpelle souverainement, il y a aussi un article plus court concernant l'arrivée le 12 février 2001 de la sonde Near sur Eros . Mais comme pour la revue "Ciel & Espace" précédente, les images qui nous sont présentées ici, (pourtant tirées nous dit-on de près de 160 000 photos prises par Near) sont d'une consternante banalité. Pas de blocs rectangulaires brillants verticaux, (les fameux boulders vus plus haut), pas de complexes blanchâtres où règnent des rainures parallèles ou orthogonales si ce n'est quelques cratères alignés:Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez:



    ou encore quelque cratères carrés justement remarqués cependant par la revue:Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez:



    Quant à la roche blanche, dont il est question dans le texte précédent, elle est si insignifiante dans le cercle jaune qu'une loupe permettrait à peine de l'apercevoir.

    Nous avons cependant repéré sur une photo présentée par cette revue un assortiment de bassins ou d'ombres portées ( nous n'osons pas les qualifier de cratères ) curieusement formés et ayant des caractéristiques géométriques surprenantes: Voyez vous même la photo ci-dessous et jugez:



    En conclusion nous avons encore noté, ici que les images qui posent vraiment problème sont soigneusement encore écartées à la vue du grand public.

    

Autre nouvelle :


       Si vous jetez un coup d'oeil sur le site de l'ami Christian Macé :

http://ovnismace.unblog.fr/2007/04/01/le-mystere-des-spheres-de-pierre/

Vous y découvrirez cette très étrange sphère. Mais regardez plutôt vite, où elle se trouve :


Photo NASA de l'astéroïde EROS :
au fond du cratère, une sphère de pierre
.
    Bien sûr les détrateurs endurcis auront vite fait de nous dire que sur Terre, on peut trouver des blocs de roches qui ressemblent à des sphères, quand on les regarde d'en haut, et qu'il n'y a pas de quoi en faire un plat.

    Mais voyons-voulez vous plus loin... :

    Le dimanche 25 février 2001, nous avons reçu le message suivant :

De : SAÜQUERE
À : fred.idylle@wanadoo.fr
Objet : Et Eros ?...

     Bonjour,

    J'aime beaucoup vos différents sites et je partage entièrement votre quête.
Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi la sonde Near fut rebaptisée Near-Shoemaker le 26 mars 2000 ... ?

    Si ce n'est de l'humour, en tout cas la Nasa ne manque pas d'arrogance non ?
L'ivresse du succès lui a peut-être fait perdre toute prudence...
Si vous avez le temps, allez donc jeter un oeil sur les images d'Eros.
http://nssdc.gsfc.nasa.gov/planetary/near.html et
http://near.jhuapl.edu/iod/archive.html
    Celle que je vous adresse est la plus évidente mais pas la plus étonnante, loin de là.



    Si les photos de la Lune et celles de Mars vous ont interpellés, cette fois je suis sûr que, comme moi, vous tomberez à la renverse.

    Pour ceux qui souhaitent en savoir un peu plus sur l'aventure de la sonde, sa mise en orbite le 14 février 00, la perte mystérieuse de son spectromètre le 13 Mai 00, et son atterrissage inespéré le 12 février 01 :

http://www.geoman.net/actualite/index.cfm?CurrentPage=1&Lang=FR&Cat=NEAR&Select=3

Amicalement,
Roch


    

Dernière nouvelle :


    Le 30/05/2001, nous avons reçu de notre ami internaute Philippe Solano, tirée du site:

http://near.jhuapl.edu/iod/20000503/index.html

    la même remarquable photo d'Eros, précédente prise le 03/05/2000 par la sonde Near, où l'on voit au fond, d'une petite excavation, une forme très bizarre et très structurée, que les sceptiques auront bien du mal à justifier, par l'explication habituelle d'une érosion naturelle issue de phénomènes dont l'existence dans la région reste problématique. L' agrandissement de Philippe nous donne ceci :



    Notons en plus, que cette forme surprenante, qui présente des blocs verticaux à bords parallèles. D'après Roch Saüquere Directeur de la revue Top Secret http://www.topsecret.fr, selon les commentaires de la NASA : ce rocher blanc au fond du cratère devrait mesurer 45 mètres . Faut-il encore y ajouter, 45 m, pour le bloc fin qui se déboîte en dessous ? Aux spécialistes de répondre !!

Nous attendons vos suggestions...

    Mais le 29 Mai 2010, nous avons alors eu le privilège de recevoir du Service de Création de l'entreprise dont url est placée à :

http://service-creation-site-internet.com

la structuration en 3D suivante :


    Puis aussi les autres vues suivantes :




    Et en tenant compte du relief et du bassin dans lequel est placée la structure, on a aussi :


     Merci donc, mille fois, au Webmaster de cette entreprise, d'avoir accepté de nous structurer en 3D, cette surprenante image d'Eros.

Autre prolongement surprenant en date du 23/04/01.


    La revue bien connue "Science & Vie Junior", nous présente dans son n° 139 d'Avril 2001, sous le titre "le voyage fantastique", toute l'épopée de la sonde Near, partie de la Terre le 17/02/96 pour descendre en douceur le 12/02/01 sur notre désormais fameux astéroïde Eros. Mais en page 29, cette revue nous révèle également, que le 27/06/97, Near a frôlé à 1210 km de distance un autre astéroïde vaguement sphérique nommé Mathilde et d'environ 60 km de diamètre donc qui est bien plus gros qu'Eros. On nous dit alors, que ce rocher est terriblement noir, mais paradoxalement, on nous présente un corps céleste dont une partie est d'une brillance incroyable qui tranche avec le bord effectivement très somb re d'un énorme cratère dont voit presque la moitié sur la photo. Mais en dépit de cette blancheur gênante (sans doute voulue, comme pour certaines photos d'Eros pour éblouir et cacher des détails révélateurs), nous avons repéré cependant, en bas à droite de l'image, des structures tout à fait insolites ayant des blocs à formes géométriques caractérisées, et nous ne placerons pas cette fois de flèches, ni de bulles explicatives, pour vous laissez le soin de trouver, par vous même, toutes les formes bizarres qui surgissent sur Mathilde à la suite d'une minutieuse observation. (voir l'image de Mathilde ci-dessous)



    Il ne reste qu'aux passionnés surfeurs du Web de dénicher d'autres photos de "Mathilde", encore plus significatives. Pensez cependant à nous mettre au courant, de vos merveilleuses découvertes.

c) Formation géométrique insolite sur Mercure

.

    Le Mercredi 12 Avril 2000, nous avons justement enregistré sur Tempo dans l'émission "Les mystères du cosmos" le volet relatif à Mercure et alors que le film se déroulait, nous avons remarqué une zone extrêmement lumineuse dans ce décor plutôt grisâtre. Après quelques recherches, nous avons réussi à capturer cette image qui est proprement insolite.

    Analysons donc cette image extraordinaire: Tout à fait en haut vers le milieu, on voit dans un petit cratère, deux traînées blanches formant une croix magnifique, attenante à une structure en équerre qui est grise en son centre. Cette structure très blanche se prolonge bizarrement en longueur, hélas en dehors de la photo et on n'en voit que les bouts, sur la droite, de deux pics parallèles qui émergent à peine du bord du cadre.

    Puis plus bas, vers le milieu de l'image, c'est le toute la partie centrale du cratère a subi un nivellement surprenant, où pullulent des plate-formes rectangulaires et des segments à supports parallèles ou orthogonaux.

    Dans un petit cratère plus bas, il impossible de ne pas voir, la structure en escalier parfait qui traverse diamétralement tout ce cratère. D'ailleurs si vous jetez aussi un coup d'œil dans les environs, vous y trouverez encore bien d'autres structures très insolites dont certains sceptiques diront encore que ce sont des effets d'optique ou des défauts de la transmission photographique car Mercure, nous dira-t-on, est un astre mort, n'ayant plus d'activité volcanique, et très brûlant, quand il reçoit les rayons du soleil et très froid dans le cas contraire. Donc, il ne peut y avoir d'érosion de cette nature. Pourtant la blancheur notoire (qui est la révélation d'un récent remue-ménage sur son sol), et les caractéristiques géométriques de cette érosion, sont bien analogues à ce qui se passe sur le sol lunaire. Nous attendons avec impatience, les théories classiques sérieuses ( non bâclées par des pseudo-scientifiques ) capables d'intégrer ces faits hors normes, jamais encore relevés dans les revues et médias spécialisés. Voir l'image insolite n°2, ci-dessous:

 

d) Miranda:L'impossible satellite d'Uranus.



    Du 3 au 7 novembre 1986 s'est tenu à Paris, un congrès de Planétologie auquel la revue "Science et Avenir" a consacré un numéro spécial n°61 hors série fin 1986. Mais citons plutôt le préambule de l'article de Mr Pascal Lee de la page 14 qui est très significatif au sujet de l'incompréhension totale des scientifiques concernant le phénomène planétaire de Miranda, petite lune d'Uranus, photographiée en début d'année 1986:

     "Pour les astronomes, la plus petite lune d'Uranus représente un véritable miracle: Sur sa surface est réunie la quintessence des curiosités géologiques rencontrées sur les planètes. Reste à expliquer pourquoi ? Voir l'image n°1, incroyable de Miranda, ci-dessous:


    Sur tout le congrès, la belle ombre de Miranda aura plané. Même si ce sujet de conversation devait à tout prix être évité, la mystérieu se lune d'Uranus laisse perplexe : Miranda est taboo !.. On se souvient en effet des extraordinaires clichés transmis le 24 Janvier 1986 par voyager-2 . Passé à moins de 29000 km de Miranda, avec une vitesse proche de 72000 km/h, la sonde avait pu enregistrer au prix d'une subtile manœuvre de pivotement compensatrice , une magnifique mosaïque de huit scènes (paysages) couvrant l'ensemble de l'hémisphère austral. La résolution spatiale des meilleures , images obtenues a atteint 600 m, soit une finesse qui n'avait encore jamais été obtenue au-delà de Mars. Nous avons ainsi découvert un monde tout à fait différent de ce qu'on présumait. On imaginait volontiers, avant l'arrivée des "Voyager", Miranda comme une classique boule de glaces et de roches, criblée de cratères et sans signe d'activité importante. Or les astronomes se sont trouvés en présence de terrains extrêmement variés, contrastés, présentant des structures complexes, évoluées, qui témoignent d'une histoire très mouvementée. Même les plus imaginatifs sont surpris. Les géologues distinguent aujourd'hui sur ce monde une dizaine de types de terrains différents. Ils parleraient plutôt "d'unités géomorphologiques " que l'on peut en fait regrouper selon deux catégories principales, avec d'une part des surfaces anciennes cratérisées, émoussées, bosselées et d'autre part des terrains cannelés de sillons parallèles et serrés, moins cratérisés..
."

    Donc nous avons bien noté les termes de "miracle" de "conversation à éviter", de "perplexe", de "taboo", (On se demande d'ailleurs pourquoi? Faut-il faire absolument le silence sur les phénomènes que l'on ne comprend pas ? Si c'est cela l'esprit scientifique...? Alors vous comprenez maintenant la raison de l'existence notre notre site Web ARTivision qui dénonce ce genre d'attitude) et surtout on trouve aussi l'expression : "Même les plus imaginatifs sont surpris" ce qui veut dire en clair que "la réalité dépasse de très loin la fiction même la plus imaginative".

    Ainsi pour terminer résumons que Miranda présente d'une part, des terrains anciens n'ayant pas bougé depuis un temps immémorial, et d'autre part, des surfaces qui correspondent à des modifications plus récentes très insolites, qui dessinent de vastes figures aux contours très nets renforçant le contraste avec la toile de fond ancienne . Certaines figures sont en forme d'ovales très allongés et dont les structures évoquent incontestablement des champs de courses de chars romains à la "BEN HUR".Voir l'image n°2, de Miranda, ci-dessous:


     D'autres encore présentent des formes étonnantes d'une structure anguleuse tel le désormais célèbre "chevron" situé au pôle Sud .Voir l'image n°3 de Miranda, ci-dessous:

 
    La seule explication scientifique trouvée de nos jours pour justifier une telle fantaisie de relief sur Miranda est toute aussi incroyable en elle même : Miranda serait une planète ressuscitée, c'est à dire qu'elle aurait volé en éclat à la suite d'une violente collision, mais ses morceaux au lieu de se disperser dans l'espace se seraient agglomérés de nouveau pour former dans le désordre, ce puzzle sphérique que nous avons découvert, montrant à sa surface des "grumeaux" provenant des entrailles de son incarnation intérieure.(sic)

III Conclusion



    Nous ne souscrivons pas évidemment à cette explication hallucinantee, qu'aucune simulation informatique n'est venue, on s'en doute, confirmer. Et nous sommes contraint ici de donner enfin après les nombreuses énigmes évoquées sur notre site, une explication qui, seule à notre gré, peut expliquer toutes ces transformations cosmiques, vues ci-dessus :

    Il y a plus de 12000 ans, une civilisation très avancée, "l'Atlantide" a pris naissance sur Terre. Mais elle a été balayée par un gigantesque cataclysme et son continent a sombré dans l'Océan Atlantique. Cependant, il y a eu des rescapés priviliégés (comme toujours dans ces cas là) qui se sont installés sur notre satellite et aussi quelque part "ailleurs" (que nous préciserons ultérieurement..... Voir dès lors, après le 17/09/2000, "l'extraordinaire expédition de l'Amiral Richard E. Byrd" ). Ils possédaient en effet , déjà à l'époque, des moyens de locomotion plus modernes que les nôtres ( A ce sujet, voir par exemple à titre documentaire, la "lecture" d'Edgar CAYCE n° 2157-1 du 27 Mars 1940) et ils doivent donc utiliser actuellement comme nous, des minerais et des métaux pour évoluer. A cet effet, ils " ratissent tout naturellement probablement à l'aide d'engins automatiques téléguidés ", les sols des "gros cailloux planétaires" ainsi que le sol de la Lune pour se procurer les matériaux qui leurs sont utiles.

    Voilà donc une thèse qui n'a rien de magique (comme celle que l'on nous propose pour résoudre le cas précédent si insolite de Miranda) et qui a aussi le mérite de résoudre bien d'autres énigmes qui nous environnent (qui sont évoquées en partie sur le site d'ARTivision), même si cette thèse casse notre orgueil démesuré, qui veut que notre civilisation soit la seule, depuis l'histoire de l'humanité, qui ait atteint le développement scientifique et technique connu actuellement. Quant à savoir pourquoi ces Atlantes ne prennent pas contact avec nous...? Cela fait l'objet d'un autre débat, qui nous préoccupe tout autant, et que nous ouvrirons sans doute ultérieurement. Voir aussi au sujet de l'Atlantide notre article:

http://perso.wanadoo.fr/artivision/bimini.html


IV Prolongement révélateur.



    Le 22/11/2000, nous avons enregistré sur la chaîne "Tempo", une émission qui parlait des "Mystères du Cosmos" et nous avons capturé quelques images de certains satellites d'Uranus, dont nous présentons directement ci-dessous, deux clichés, dont le premier concerne Obéron et le deuxième Titania:

  


     Nous découvrons d'abord sur Obéron, ces traînées et plaques brillamment toutes blanches caractéristiques d'une "manipulation cosmique du sol" inexplicable dans ces lieux si reculés de notre système solaire, mais on y voit surtout presque au centre de l'image, une excavation à formes géométriques surprenantes que l'on aurait bien du mal à attribuer au résultat d'un choc météoritique

.     Sur Titania nous apercevons des "failles gigantesques" mais celle de droite, a de plus, de quoi nous surprendre par son point de départ particulièrement formé de versants rectilignes se coupant en des angles géométriques notoires connus et très nets.

    Les images suivantes sont tirées de la revue "Ciel & Espace" 340 de Septembre 1998 et concernant Ganymède le plus gros satellite de Jupiter:

  


    L'explication de la revue sur ces deux images précédentes est assez surprenante pour que nous ne nous privions pas du plaisir de vous la transcrire:

Première image de gauche : " Bolides en rafale : une comète happée et brisée par le champ gravitationnel de Jupiter, s'est sans doute abattue sur Ganymède pour laisser cette chaîne de treize cratères, baptisée "Enki Catena" "

Deuxième image de droite: "Ganymède, un océan formé d'une croûte, mélange de glaces et de silicates. Cette croûte n'est qu'une succession de terrains sombres , très fracturés, et de terrains brillants plus jeunes, séparés de façon assez nette par des bandes claires; On cherche encore à comprendre dans le détail, les mécanismes de cette transformation ".

    Vous avez bien lu, on ne connait pas encore les mécanismes de formation de ces structures: Quant à la comète qui se brise en heurtant le sol, et cela, en créant une succession rectiligne de cratères imbriqués, dont le dernier en haut est presque carré..."Bravo Super-Hasard, tu nous combles de joie...".

     D'ailleurs si vous voulez bien voir ce site d'Enki Catena , vous pouvez vous reporter aussi à même la revue plus récente Ciel & espace n° 400 de Septembre 2003, où l'on trouve en page 46 l'explication suivante: " Enki Catena, une série de treize cratères, forme une chaîne à la surface de Ganymède. Elle résulte de l'impact d'une comète déchiquetée en au moins treize morceaux sous l'effet du champ gravitationnel jovien, peu avant sa collision".

    , Vous avez noté nous l'espérons le ton affirmatif de cette explication où il est toujours question de la comète morcelée en 13 morceaux à l'approche de Jupiter et morceaux qui ont bien voulu se précipiter sur Ganymède en ligne droite parfaite pour donner ces cratères à formes géométriques très structurées et où , si on les analyse à la loupe, on voit pulluler les angles droits. Comme vous le voyez, en cinq ans donc aucun progrès n'a été fait pour tenter une approche plus logique de l'explication de l'édification de cet exceptionnel site de Ganymède. A vous donc de juger...

    Mais dans ce même n° 400 spécial Ciel & espace nous trouvons toujours en page 46, en n° 2 une surprenante photo de Callisto ce satellite de Jupiter, où nous lisons le commentaire suivant de l'auteur Azar Khalatbari de l'article en question: " Ce bassin formé de cercles concentriques est un ancien cratère de 1400 km de diamètre. Des impacts plus récents ont bombardé cette vieille structure et apparaissent sous de forme de cercles clairs recoupant les bords du bassin. Parmi les lunes de Jupiter, Callisto est celle qui présente la surface la plus ancienne".

    Analysons cependant en détail ce site de Callisto :

  

    Il n'est pas nécessaire d'être infographiste expérimenté pour détecter dans cette photo de Callisto des étrangetés phantasmagoriques qui ne peuvent même pas laisser de marbre le plus innocent des novices :

    La flèche n°1 nous dirige en effet vers une sorte hexagone structuré à l'intérieur de cette zone extrêmement lumineuse que l'on prétend être un cratère météoritique (en forme de cercle clair est-il dit, alors qu'il s'agit là d'une blancheur éclatante tout à fait hors pair). Un météore qui creuse un cratère en forme de hexagone, ...quelle merveille...

    Mais jetez donc maintenant de plus un coup d'oeil au bout de la flèche n°2, où l'on aperçoit aussi des bassins et blocs très géométriques noyés hélas dans cette blancheur surprenante.

    Nous vous laissons aussi le soin d'analyser à la loupe les bizarreries en bout de flèches n°s 3, 4 et 5, pour finir par cette espèce de croix de Malte éclatée en bout de la flèche n° 6 et dont la luminosité est toute aussi extraordinaire.

    Cette blancheur notoire, si étrange qui couvre cette sorte de croix, pourrait bien être d'une part, en première hypothèse, le résultat de ce que nous appelons, on le sait, un "remue-ménage cosmique" (une sorte de nivellement et de re-structuration des éléments du sol de Callisto) ou d' autre part, en seconde hypothèse, cette blancheur surprenante sur cette sorte de superbe croix, pourrait aussi être le résultat d'une manipulation photographique de la NASA et de ses sbires pour cacher des formes géométriques trop caractérisées. Noublions pas cependant , que ce "ou" peut être aussi "inclusif" , c'est à dire que les deux hypothèses peuvent parfaitement se juxtaposer effectivement.

    Alors messieurs les spécialistes en trois D, vous avez du pain sur la planche, pour nous émerveiller encore un peu plus en reconstituant en relief ces structures exceptionnelles de Ganymède et de Callisto...comme on n'a bien voulu le faire pour le relief de Mars. (Mais la "Forteresse" elle, a été oubliée évidemment)

    Le 7/12/03 nous avons reçu de notre ami Frendelvel (http://membres.lycos.fr/frendelvel/) l'adresse du site présentant ces données du Caslisto:
http://www.cosmiclight.com/galleries/jupiter-moons.htm
et l'ami Frendelvel nous dit alors:

    Voici donc une image bien plus nette car elle est tirée directement de la NASA :

    Cette photo est accompagnée du texte :

Credit: JPL and NASA

   Low-resolution color data were combined with a higher resolution mosaic to produce this infrared composite image of a pair of ancient multi-ringed impact basins on Callisto. The region imaged is on the leading hemisphere of Callisto near 26 degrees north, 142 degrees west, and is almost 1,400 kilometers (860 miles) across. North is toward the top of the picture and the Sun illuminates the surface from the east. Dominating the scene is the impact structure, Asgard, centered on the smooth, bright region near the middle of the picture and surrounded by concentric rings up to 1,700 kilometers (about 1,050 miles) in diameter. A second ringed structure with a diameter of about 500 kilometers (310 miles) can be seen to the north of Asgard, partially obscured by the more recent, bright-rayed crater, Burr. The icy materials excavated by the younger craters contrast sharply with the darker and redder coatings on older surfaces of Callisto.


    Et voici une modeste traduction certainement perfectible.

    "Des données colorées en basse résolution furent combinées avec une mosaïque de la plus haute de résolution pour produire cette image infrarouge composite de deux anciennes cuvettes d'impact à anneaux multiple sur Callisto. La région présentée se situe sur ll' hémisphère présenté de Callisto autour du 26 ° de latitude Nord , et du 142° de longitude ouest , et a presque 1 400 kilomètres (860 miles) de large . Le Nord est en haut de la photo et le Soleil éclaire la surface par l'Est. Dominant la scène apparaît la structure d'impact, Asgard, , centrée sur la zone lumineuse et plate près du milieu de l'image et entourée par des anneaux concentriques jusqu'à 1 700 kilomètres (près 1,050 miles) de diamètre. Une seconde structure en forme d'anneau avec un diamètre de près 500 kilomètres (310 miles) peut être vu au nord d' Asgard, partiellement masquée par le cratère à rayons brillants plus récent, Burr. Les matériaux glacés exhumés par les cratères plus récents contrastent fortement avec le revêtement plus rouge et plus sombre des surfaces plus anciennes de Callisto."

    J'ai annoté l'image ci-dessous :

    La structure en hexagone pourrait donc mesurer pas loin de cent kilomètres.... Je dirais peut être 80 kilomètres, à vérifier.. .

    Je rajoute un agrandissement du cratère hexagonal assez impressionnant:


Bien amicalement
José
    Nous remercions vivement l'ami José pour sa remarquable participation à cet article.

    Sur ce dernier agrandissement, on voit que "l'hexagone" ressemble plutôt ici à des ruines immenses, caractérisées vers l'avant de l'image par de nombreuses structures en forme de blocs orthogonaux . A vous de juger.

Mais dès le 8/10 /03 nous avons aussi reçus de l'ami Yves Vaillancourt l'image suivante:


A vous de juger tout cela.

    Le 30 Juin 2002, nous avons reçu de l'ami Joël Baran le " Maître ÈS Exploration inspiré ", du Web, tiré du site :

http://www.cassiopaea.org/cass/moon.htm 


cette surprenant vue de la Lune où apparaît une piste nettement rabotée d'une largeur d'environ 1,7 Km et d'une longueur pouvant atteindre approximativement 29 km

.
 


    Cette piste se termine vers la gauche par un angle droit en opposition très nette avec le bord rectiligne du contrefort montagneux. D'ailleurs cette photo possède bien d'autres étrangetés comme par exemple cette structure en forme F, traversant la piste (voir flèche N°1) ou ces blocs surprenants (voir la flèche n° 2). On nous dira bien sûr, qu'il s'agit d'illusions d'optiques dues à l'écrasement de la photo. Malheureusement les coordonnées du lieu de cette photo n'ont pas été révélées et les spécialistes qui possèdent de bons clichés de la Lune et qui voudraient en savoir plus sur cette fameuse piste auront bien du mal à la localiser. Il n'empêche que cette trouée rectiligne dans le sol lunaire ne peut aucunement, à notre avis, être mise au compte d'une météorite qui aurait rasé tangentiellement, il y a des milliers d'années, le sol de notre satellite. Alors c'est quoi?...

    N'est-ce pas, encore une fois là, une raison d'imaginer un remue-ménage cosmique imputable aux Dieux , dont notre site ARTivision s'évertue dès sa création à vous faire découvrir les traces de leur passage sur Terre et dans son environnement ? (A vous de juger)

    Mais cette rainure n'aurait-elle pas aussi, la même origine que celle ci-dessous visible sur une photo d'Apolo16 sur les bords de la Mer Imbrium ? Les spécialistes n'ont certainement pas manqué de l'apercevoir et malgré notre mauvaise photo, on voit qu'il s'agit bien d'une trouée rectiligne gigantesque qui traverse montagnes et vallées. Quand va-ton nous en parler dans les médias dits sérieux, (Ciel&espace- Science&Vie etc...) et nous montrer de meilleurs clichés avec les détails que soulignons ci-dessous, hélas, bien mal, par manque de moyens , et détails qui mériteraient d'être agrandis comme il faut ?

Prolongement révélateur de circonstance en date du 30/06/04

.      Le 14/06/04 l'ami Christian Macé le Maître es exploration du Web, nous transmettait l'adresse suivante:

http://www.nasa.gov/mission_pages/cassini/multimedia/pia06064.html

qui nous présente l'astéroïde Phoebé , satellite de Saturne, filmé autour du 11 juin 2004, par la sonde américaine Cassini Huygens lancé le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride.

      Disons de suite que le premier site, nous dit que "that Phoebe may be an ice-rich body coated with a thin layer of dark material." autremendit un morceau de glace couvert d'une fine couche de roche sombre.

     Mais quand vous aurez analysé en détail la photo suivante, vous verrez que cette affaire de glace ne tient pas debout.

     Voici donc la photo en question, où nous avons placé quelques flèches grossièrement dessinées, car nous n'avons pas de logiciel performant pour vous présenter cela d'une manière plus académique.



     D'abord disons qu'il y aurait beaucoup à découvrir dans cette surprenante image et nous invitons les internautes curieux, à en agrandir certaines partie, pour mieux la décortiquer.

     Voyons cependant ce qu'il y a au bout de nos fléches numérotées:

- Au bout de la flèche n° 1, nous distingons des structures plutôt floues ( mais ceci n'est-il pas délibérément voulu) montrant des blocs carrés et des traces nettement à angle droit. Voyez d'ailleurs les cratères au-dessus et à gauche du bout de la flèche où sans contestation possible apparaissent aussi des bords rectilignes orthogonaux.

- Au bout de la flèche n°2, nous distinguons quatre points lumieux placés en carré et juxtaposés eux mêmes à un bloc surelevé à la forme bizarre où pullulent encore les angles droits.

- Super ce cratère en forme de trapèze au bout de la flèche n°3.

- Au bout de la fleche n° 4, on distigne un feu d'artifice de lignes issues d'un même point et surtout une magnifique rainure à bord parallèles.

- Au bout de la flèche n° 5 apparaît certes d'une manière floue, une sorte de bassin rectangulaire, mais qui est noyé dans une blancheur notoire qui a été souvent constatée sur certaines régions de la Lune et de Mercure et etc... et même sur l'astéroïde Eros, qui lui n'est pourtant pas fait de glace. Mais, selon nous, cette blancheur caractérisée, n'a rien à voir avec le reflet de la glace, comme la Nasa le prétend, mais c'est un dispositif de camouflage pour noyer de luminosité, les structures trop géométriques sous-jacentes. (Voir nos paragraphes plus haut sur Eros et sur la Lune dans notre article "Adieu Concorde.. et rebonjour la Lune")

- Quant au bout de la flèche n° 6 , on voit encore de blocs surélevés à formes géométiques remarquables et toujours d'une blancheur caractérisée.

- Voyons maintenant au bout de la flèche n° 7 où en analysant avec soin le relief environnant, où l'on trouve des bassins à bords orthogonaux et même une sorte de croix en relief formée de blocs se coupant nettement à angle droit.

- Arrêtons voulez-vous cette brève analyse, sur les éléments que nous présente la flèche n° 8, où l'on trouve sans discussion possible deux bassins dont les bords inférieurs gauches sont coupés très exactement à angle droit, et en ce qui concerne les structures blanchâtres, comme en bien d'autres endroits, on y trouve des blocs très géométriques orthogonaux.

     Evidemment, on pourrait en dire bien plus sur ce surprenant Phoebe, mais on peut déjà se poser la question que, si cet astre est de glace comme on le prétend, d'où vient alors cette si grande luminosité de cet astéroide si éloigné de notre Soleil, qui ne devrait lui expédier, somme toute, qu'une pâle lueur à peine visible ? A vous de juger.. !!

Autre photo de Phoebé


     Dans son n° 1043 d'Août 2004, la revue "Science&vie", nous présente en page 77, une superbe vue de Phoebé, où nous notons les caractéristiques suivantes:



     Bien que selon nous le dispositif de camoufflage soit encore ici très efficace, on arrive tout de même à distinguer quelques anomalies un peu floues où figurent des formes rectangulaires et des blocs parallélépipédiques. Suivez donc le bout de la fléches 1 (à gauche) où apparait une sorte de bassin sombre bizarre ayant deux petits blocs blancs à l'intérieur et ce bassin est lui même entouré d'autres blocs plus imposants très structurés.

     Au bout de la flèche 2, apparaît un sorte de H déformé où se justaposent de curieux petits disques et vers le bas nettement une sorte de L.

     Au bout de la flèche 3, "la prétendue glace", nous offre un festival de blocs très géométriques, qu'un sceptique caractérisera de naturels, car pour lui la glace pourrait bien prendre des formes les plus insolites. Seul un très bon logiciel capable de supprimer les flous et de mettre en exergue les formes sous-jacentes présentes, pourrait nous aider à juger en la circonstance. Mais hélas ce genre de logiciel est plutot réservé aux spécialites ( militaires et autres) qui veulent repérer des éléments flous de photos aériennes.

Autre curiosité en date du 9/07/04 concernant Titan.


     En effet, extrait du site http://www.nasa.gov/mission_pages/cassini/multimedia/pia06064.html, l' aimable internaute Christian Macé, nous a fait découvrir ces 4 images du satellite de Saturne Titan (5150km) ( plus gros que Pluton ( 2280km ) et même que Mercure (4960 km) ) filmé en début juillet 04, par la sonde américaine Cassini Huygens lancée le 15 Octobre 1997 de Cap Canaveral Air Force Station, en Floride :

 

     Comme vous l'avez sûrement remarqué, ce qui surprend grandement sur ces les premières photos de Titan, c'est le point extrêmement lumineux que l'on aperçoit au bas de la planète, et, vu sa grosseur  ce point correspond, en fait à un disque superbement lumineux gigantesque.

     Si nous isolons le globe de couleur bleue et que nous l'imprimons un peu agrandi,


en mesurant alors aproximativement le diamètre de ce globe sur notre papier, nous trouvons 52mm et pour le diamètre du disque lumineux, nous trouvons environ 3 mm. Une simple proportion nous permet alors d'en déduire que le diamètre réel en km du disque lumineux serait environ: (5150 x 3 )/52 = 297, 11... km , que nous arrondissons à 300 Km, vu l'imprécision de nos mesures.

     Il va s'en dire que ce disque extrêmement lumineux d'environ 300Km de diamètre, va poser un gros problème aux astronomes et à ceux qui ne connaissent pas la théorie des ouvertures polaires , que nous avons mise en exergue, très audacieusement dès 17 Septembre 2000, dans notre article placé à :
http://artivision.fr/Byrd.html

et nous parions que la Nasa va encore évoquer à ce sujet la présence de glace polaire, comme vous venez de le découvrir plus haut, pour expliquer la présence de traînées blanchâtres très lumineuses sur Phoebe.

     Mais attendons, que cette sonde s'approche davantage de Titan pour mieux appréhender tout cela. Souhaitons cependant que les photos trop compromettantes ne soient pas camouflées vite fait et bien fait.

     Cependant dés le jour suivant, la Nasa diffusait cette photo surprenante de Titan:



     Mais que peuvent bien signifier ces taches brillantes qui s'étalent au sommet la montagne du bas de l'image? Encore de la glace, n'est-ce pas, Messieurs de la Nasa ?

     En voici un modeste agrandissement:



     Il n'est besoin d'être un infographiste de tatent, pour s'apercevoir que ces structures très lumineuses et insolites présentent, ne serait-ce qu'au bout de nos fléches 1 et 2, des blocs parfaitement orthogonaux formant parfois des bassins carrés et comme d'habitude certaines structures trop géométriques semblent floues, comme si elles avaient éte occultées par un voile caractérisé. A vous de juger, et évidemment, des analyses plus précises s'imposent, si l'on a le matériel pour le faire, ce qui n'est pas notre cas.

     Et comme pour Phoebe, on se pose encore la question d'où vient alors cette si grande luminosité de cette partie de Titan, corps céleste si éloigné de notre Soleil, qui ne devrait lui expédier, on le sait qu'une très pâle lueur à peine visible ?

Prolongement révélateur en date 27/08/04.


     La première tentative d'explication de ce disque brillant de Titan, nous vient de la revue "Science&vie" n° 1043 d'Août 2004.

Découvrez vous, même ce qu'on en dit :


     Vous constatez donc que l'on qualifie ce disque superbement brillant de Titan de "champs de nuages de méthane", ce qui diffère peu "du petit nuage Blanc", que l'on avait soi-disant repéré, sur Neptune en Aout 1989 et qui brillait encore plus.(Voir notre article à Byrdsuite.html)

     Décidément ces scientifiques ont de la suite dans les idées, comme ceux qui pendant des siècles, ont affirmé que c'était le Soleil qui tournait autour de la Terre.

     S'il s'agit vraiment "de nuages de méthane", ce dernier a dû être chauffé à blanc et ionisé sous forme de plasma, par un phénomène naturel inconnu, pour nous fournir une luminosité d'une telle intensité, car ne l'oublions pas, à peine 6 pour cent de la lumière de notre Soleil, arrive dans ces contrées reculées.

     Affaire à suivre donc de près. Et...désormais, c'est à vous de juger en toute connaissance de causes ...

Prolongement révélateur en date du 21/12/04

    La revue Science&Vie Junior n°184 de Jan.05 nous présente ce qu'elle intitule comme "les dernières images du système solaire".

    Nous notons alors cet entrefilet explicatif : " Bel hiver pour les astronomes! Ils viennent de recevoir des images toutes fraîches prises dans le système solaire. Et elles sont pleines de surprises. Le gros caillou en forme de patate, plein de creux et de bosses, c'est Phobos, la plus importante des deux lunes martiennes (11 km d'un bord à l'autre). Cette photo, la plus nette jamais obtenue, a été prise par la sonde européenne Mars Express en août dernier, lors d'un survol à 200 km. Elle révèle notamment des cannelures à l'origine encore inconnue. Quant à la jolie planète bleue, c'est Uranus (à 2,9 milliards de km du Soleil) vue par le télescope Keck à Hawaï. Sa couleur provient du méthane présent dans l'atmosphère. Mais la nouveauté, ce sont les petits points blancs sur la droite de la photo. Il s'agit de nuages associés à de terribles tempêtes: les vents y souffleraient à 400 km/h! Une surprise pour les chercheurs car, jusqu'à présent, ils trouvaient Uranus désespérément calme, presque ennuyeuse... FN."

et voici les images:

  


      Dans notre justement "lettre ouverte à cette revue Science&vie junior", nous avons déjà analysé les caractéristiques surprenantes de ce satellite de Mars Phobos. La photo présentée ici est en effet d'une netteté remarquable et nous y notons en plus des "cannelures inexplicables" dans l'état actuel de la science, une structure tout à fait insolite au bout de la flèche rouge n° 1. Notons surtout la luminosité hors norme de cette structure encore plus inexplicable que ces cannelures. D'autre part, à moins d'être un cratère d'effondrement, celui que nous notons au bout de flèche rouge 2, montre, d'après les cannelures parallèles qui le traversent, qu'il ne peut en aucune manière être un cratère d'impact météoritique, si cher aux astronomes pour expliquer les crevasses sur un corps planétaire. Nous attendons les explications plus adéquates...

      Quant à la photo toute aussi surprenante d'Uranus qui n'a pas, chose étrange, souvent fait la une des journaux spécialisée, (c'est la première fois que nous la voyons), nous notons aussi au bout de la fléche rouge, la présence d'un gigantesque disque extrêmement lumineux qui n'a rien à voir avec les trainées bleuâtres voisines, soi-disant qualifiées de nuages, reliés à des prétendues tempêtes.

      Précisons que même pas 5% de la lumière de notre soleil, n'arrive dans cette région si reculée et qu'en plus, cette extraordinaire image ne vient pas d'une sonde spatiale envoyée dans la région, mais simplement du télescope Keck à Hawaï. Bravo donc aux spécialistes qui ont su nous obtenir sur Terre, une image d'une telle qualité d'une planète si lointaine.

     L'explication ne serait-elle pas encore celle que proposait Marshall B.Gardner dès 1920 et explication que nous avons mise en évidence dans notre article:
http://artivision.fr/audelaGrandNord.html ?

Autre prolongement révélateur en date du 03/08/05

      Le 29/07/05, nous avons eu le grand plaisir de recevoir de notre ami canadien Michel G. la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Michel G........
To: FRED IDYLLE
Sent: Friday, July 29, 2005 10:10 PM
Subject: lune creuse

     Bonsoir Fred,
     Ici Michel,
     Une lune de Saturne serait creuse d'après la NASA.

     Bizarre, non.....?      Elle s'appelle Hypérion .

     Pour en savoir plus tu vas sur le site interstars.net, puis tu vas à l'adresse :



     Vois donc en PS, ce qu'on en dit.

     De plus, il semble que le parc YELLOWSTONE soit en pleine activité depuis 3 jours. En effet, une dizaine de tremblements de terre ont secoués la région depuis 3 jours. Il faut savoir que le parc de YELLOWSTONE n'est qu'un seul et même volcan distribué sur 3 états états-unien. A quand l'éruption.... d'un super-volcan de plus de 10.000 kilomètres carré?

     Ici nous vivons à la limite de la sécheresse depuis le printemps et plus de 130 feux de forêts ont ravagés le Québec.

     Encore merci pour ton site qui me fait encore espérer que l'être humain va enfin se réveiller.

      Amitiés de Michel, d'un pays froid qui se réchauffe plus vite que prévu.

PS :

Hypérion, une lune toute creuse!

Par Pascal , posté le Mardi 12 juillet 2005 à 23:56

     Cassini, une fois de plus, vient d'affiner nos connaissances sur le système de lunes de la planète aux anneaux. La sonde américaine a pris une série de clichés de l'étrange Hypérion. L'image montre des cratères, qui donnent une apparence d'éponge au satellite. Les scientifiques estiment que la densité de la lune est de seulement 60% de celle de l'eau, ce qui impliquerait que son intérieur soit vide!

     Ces deux nouvelles images d'Hypérion sont les meilleures de cette lune glacée, de forme irrégulière. En effet, ce satellite n'est absolument pas de forme sphérique comme on peut le voir sur cette vidéo. Les premières estimations de la NASA montrent que la mystérieuse lune a une densité environ égale à 60% de celle de l'eau! Ainsi, plus de 40% de son coeur serait composé de vide! Prises depuis une distance de 815 000km à 168 000km, la résolution est d'environ 1km par pixel. Le meilleur est à venir puisque le 26 Septembre 05, la sonde passera à seulement 510 km du satellite!

     En période estivale, rien de tel qu'une petite pensée à ce gigantesque glaçon cosmique...




Fin de citation
     Et voici notre réponse en date du 30 Juillet 05.

----- Original Message -----
From: fred.idylle
To: Michel G.........
Sent: Saturday, July 30, 2005 4:21 PM
Subject: Re: lune creuse ......Merci mille fois

     Cher ami du Grand Canada.

      Rebonsoir des Tropiques.

     Merci pour ces dernières informations.

     ....Je vois sur la photo d'étranges stuctures de formes bien géométriques et j'espère que le 26 Septembre qui vient, elles ne seront pas purement et simplement camouflées. 

     En ce qui concerne hypérion , c'est en effet un petit satellite de Saturne aux formes irrégulières (350 km x 234 km x 200 km) qui a une rotation instable et chaotique. Qu'il soit creux, cela ne me surprendrait pas du tout, mais vu sa petite taille, ce doit être un complexe minéralogique criblé de grottes, d'excavations, et de tunels profonds creusés par des engins automatiques. Rien à voir avec Io ce satellite de Jupiter et qui est couvert de volcans crachant, lave et soufre sur toute la planète. Il fut filmé par Voyager 1 , le 4 Mars 1979. J'en ai récemment parlé d'une manière transcendante ( par Soria) dans mon article Byrdsuite.html .

    Hypérion, me semble être une structure très criblée de crevasses et très déchiquetée pour un simple rocher.

   J'ai agrandi certains coins d'Hypérion, et je crois y découvrir de très nombreuses anomalies géométriques bien nettes :



     Hélas je n'ai pas la chance de posséder le logiciel qui permettrait de reconstituer le relief sousjacent appararaissant sous des zones floues de cette image. Ces zones floues (voir surtout le bas de la photo), étant bien sûr volontairement surexposées de lumière par les "sbires caviardeurs" de la Nasa et du gouvernement américain complice.

     Ce logiciel est évidement hors de prix, et est réservé, sans doute, aux spécialistes et aux militaires, qui cherchent à découvrir au sol, des structures camouflées dans des photos prises d'avion ou par des satellites espions.

En attendant, bonnes vacances et à bientôt si le Temps le permet.


 Amitiés tropicales
 Fred

Prolongement révélateur spécifique en date du 24/02/06.


     Le 22/02/06, nous avons eu le bénéfice de recevoir de nôtre ami de longue date, Christian Macé, le message suivant :

----- Original Message -----
Sent: Wednesday, February 22, 2006 4:42 PM
Subject: Curieux satellite de Saturne "Telesto"... Photo...

Cher Fred, bonjour
 
Je viens de mettre en ligne sur mon blog OVNIS ces infos :
 
Le curieux satellite de Saturne "Telesto"...
 
La photo est admirable et curieuse...
 
 
Mes Amitiés,
Christian Macé


     Christian, nous a alors présenté le site :


où l'on découvre la photo suivante:



     Nous vous invitons donc à bien regarder les étrangetés qui fleurissent à la surface de ce lointain corps celeste, et étrangetés qui s'apparentent d'ailleurs à celle que nous avons rencontrées, plus haut, sur EROS.

     Pour en savoir plus, lisons ce que l'on nous en dit sur le site en question :

Smooth Surface of Telesto
February 14, 2006
Full-Res: PIA07702

The Cassini spacecraft passed within a cosmic stone's throw of Telesto in October, 2005 capturing this shot of the tiny Trojan moon.

Telesto (24 kilometers, or 15 miles across) appears to be mantled in fine, icy material, although a few craters and some outcrops and/or large boulders are visible. Its smooth surface does not appear to retain the record of intense cratering that most of Saturn's other moons possess.

The image was taken in polarized green light with the Cassini spacecraft narrow-angle camera on Oct. 11, 2005, at a distance of approximately 14,500 kilometers (9,000 miles) from Telesto. The image scale is 86 meters (283 feet) per pixel.

The Cassini-Huygens mission is a cooperative project of NASA, the European Space Agency and the Italian Space Agency. The Jet Propulsion Laboratory, a division of the California Institute of Technology in Pasadena, manages the mission for NASA's Science Mission Directorate, Washington, D.C. The Cassini orbiter and its two onboard cameras were designed, developed and assembled at JPL. The imaging operations center is based at the Space Science Institute in Boulder, Colo.

For more information about the Cassini-Huygens mission visit http://saturn.jpl.nasa.gov . The Cassini imaging team homepage is at http://ciclops.org . <

Credit: NASA/JPL/Space Science Institute


Fin de citation

     Nous en faisons la traduction plutôt libre suivante et (nous invitons vivement les spécialistes de ce type de texte de rectifier nos imperfections. ) :

     La sonde Cassini passa à la vitesse d'un rocher cosmique aux abords de Telesto en octobre 2005, cette minuscule lune faisant partie des lunes de Trojan de Saturne. (Note du Wevmaster : Une lune de Trojan est un satellite normal d'une planète occupant les points L 4 ou L 5 de Lagrange équilatériaux d'un système de primaire-lune. Ils sont ainsi appelés par analogie avec les asteroïdes de Trojan , qui occupent les poins L 4 et L 5 points du soleil - système de Jupiter)

     Telesto (24 kilomètres de diamètre) paraît être recouvert d'un revêtement, de matériaux glacés où l'on distingue peu de cratères et cependant quelques gros rochers (boulders). Sa surface lisse ne s'apparente pas aux configurations cratérisées qui caractérisent les autres lunes de Saturne. (Note du webmaster: voir Hypérion plus haut) .
     L'image fut prise en lumière verte polarisée par la caméra à angle réduite de Cassini le 11 Oct 2005,  approximativement à la distance de 14 500 kilomètres de Telesto.

     L'échelle de l'image correspond à 86 m par pixels.
     La mission de Cassini-Huygen est un projet coopératif de la NASA, de L'Agence Spatiale Européenne et de L'Agence Spatiale Italienne. Le JLP, qui est un département de l' Institut de Technologie de Californie à Pasadena, gère cette opération pour la mission scientifique Directorial de la NASA à Washington, D.C.
     La sonde Cassini et ses deux caméras à bord furent conçues, développées et assemblées au JPL. Le traitement d'images fut organisé par l'Institut Scientifique Spatial de Boulder à Colo.

     Pour plus d'information concernant la mission de Cassini-Huygens prière de visiter le site :

.

     La page relative à l'équipe du traitement d'images de
Cassini est placée à :

.
     Site d'origine : NASA/@@JPL/Espace de l'Institut Des Sciences.


      Plaçons sur l'image quelques flèches de repérage pour mieux cerner ces etrangetés de Telesto :



      Si nous regardons au bout des flèches, nous voyons :

Flèche n°1 : Un rocher bien linéaire (un boulder), qui devrait mesurer près de 400 m de haut, se dresse verticalement sur le bord du cratère. Nous aimerions connaître la théorie qui expliquerait une telle formation dans un lieu où il n'y a pas d'air pour provoquer une érosion quelconque et on voit mal une météorite en s'écrasant au sol, provoquer une telle structuration du relief.

Flèche n°2 : une curieuse formation blanchâtre "ressemblant" à un A penché, et où bien sûr, figurent des blocs à bords parallèles et orthogonaux.

Flèche n°3 : structure encore plus insolite avec des blocs aussi à bords paralléles et orthogonaux. Il faudrait pouvoir augmenter le relief et baisser sur la luminosité, de tout cela pour mieux se rendre compte. Nous ne sommes pas équipés, hélas, pour ces transformations.

Fleche n°4 : Cette immense zone totalement noyée dans une lumière éclatante, comme si notre Soleil était à deux pas de là, (n'est-ce pas ?), est la caractéristique d'un système de camouflage notoire, qui est voulu pour faire disparaître des structures trop compromettantes, dont on voit d'ailleurs quelques élements flous certes, mais bien sous-jacents. Voici d'ailleurs le même dispositif de camoufflage, vu plus haut sur Eros :



     Malheureusement lorsqu'on agrandit un peu, les structures deviennent floues et il nous faudrait un logiciel qui permettrait de reconstituer le relief appararaissant sous des zones flous et logiciel qui est certainement hors de prix et surtout réservé aux spécialistes et aux militaires qui cherchent à découvrir des structures camouflées dans des photos prises d'avion ou par des satellites espions. A bon entendeur salut.

Autre prolongement révélateur concernant Mars en date du 30/11/06 .


     Le 22/09/06 , nous avons reçu de l'aimable l'internaute ZGEForce, l'adresse d'un site qui nous montre les dernières réalisations en 3 D des paysages Marstiens.

     Pour voir tout cela, il faut se rendre sur le site :


     La première observation que nous pouvons faire, c'est que l'on nous montre une fois de plus le fameux visage de Cydonia filmé en fin Juillet 1976 par Viking1.


     Notons en passant que sur cette photo, au bout de la flèche 1, manque justement hélas ce que l'on appelle généralement "la forteresse" et qui est bien moins explicable que le visage. Subsiste cependant juste à coté les deux gigantesques fossés rectilignes parfaitement perpendiculaires

     Nous repérons aussi pour la première fois, au bout de la flèche 2, deux blocs parfaitement alignés suivant leur longueur sur une surface en pente douce d'un monticule d'environ 2 km de large.

     Et voici ce qu'est devenu le visage après la reconstitution en 3D :


     Voir alors à ce sujet alors notre commentaire sur notre page d'accueil.


   Dommage pour la "forteresse" et pour elle, pas de 3 D,
elle est passée ici, une fois de plus,
à la trappe et pour cause....
   Pour l'internaute qui rentre pour la première fois
dans notre site, nous la plaçons en vignette sur la gauche.


     Mais la photo qui a le plus retenu notre attention est celle-là :


     Il y aurait beaucoup à dire sur cette extraordinaire photo. Nous y avons placé seulement 5 flèches montrant des endroits où figurent (selon nous, bien sûr) des structures phénoménales semblant être artificielles. Nous vous laissons le soin d'en découvrir davantage.

     Mais analysons, seulement voulez vous, ce qui figure au bout de la flèche 1 vers le bas du côté gauche de l'image. On y trouve, un peu agrandi, cela :


     La flèche 1, nous conduit vers un contrefort montagneux percé à sa base semble-t-il de trous équidistants. Sur une plateforme en avant de ces trous se dressent deux blocs en forme de pavé droit. Sur la gauche hélas un peu tronquée figure l'entrée d'une gigantesque grotte. Juste au dessus, on découvre avec la flèche 2 une région d'une blancheur inouie qui semble envelopper des blocs orthogonaux et un trou carré. Cette blancheur est aussi liée à deux blocs très géométriques que nous indique aussi cette flèche 2.

     La fléche 3 conduit directement à une sorte boyau pénétrant exactement entre deux blocs montagneux formant une sorte de V . Au dessus, il y a encore une plateforme d'une blancheur si vive qu'elle semble aussi cachée des structures trop génantes.

      Quant à la flèche 4, son bout nous présente une sorte de large amphithéâtre où pullulent des contreforts ayant des angles droits notoires.

     Arrêtons ici notre survol de cette surprenante image. Voyez vous même, les structures que présentent les 4 autres flèches de ce paysage martien.

     Les détracteurs n'y verront évidemment que des choses, tout à fait naturelles, jusqu'au jour (pas trop lointain, nous le sentons), où les progrès de l'informatique mettront à la portée de tout un chacun un logiciel puissant capable de re-structurer les zones floues d'un paysage, où sont sous-jacententes des formes géométriques notoires. Et alors la Vérité jaillira du puits, où on a voulu l'enfermer. A bon entendeur salut ...

Autre merveille martienne en date du 02/12/06.


     Le 1er Décembre 2006, nous avons reçu de l'aimable internaute Roland M, le message suivant :

----- Original Message -----
From: Roland M.....
To: idylle
Sent: Friday, December 01, 2006 10:53 AM
Subject: Mars... encore !

          Bonjour Fred,
     Encore une photo étonnante de Mars:

     Si vous avez un instant, examinez l'image ici :



     C'est une photo prise par la sonde Mars Global Surveyor (Nasa) en Septembre dernier.

     Il y a des explications sur le caractère prétendument naturel des formations en terrasses observées ici, et des dunes disposées en étoiles autour de chaque monticule. Explications capillo-tractées, à mon avis: la régularité des anneaux autour des collines est trop grande pour être naturelle. L'espacement entre les anneaux est trop régulier.

     Cela ressemblerait plutôt à des carrières, où le matériau aurait été méthodiquement extrait, couche par couche, par des engins de terrassement.

     En tout cas, rien que par sa beauté, cette photo vaut le coup d'être vue.

Cordialement,

          Roland M.......


     Merci donc à Roland pour ce paysage sompteux très artistique, mais si nous regardons en plus sur le vaste plateau du bas à gauche, on découvre ceci qui "s'apparente" à un immense champ de ruines où les angles droits foisonnent


Encore un petit plus en date du 3/12/06


     Le 02/12/06, nous avons reçu aussi de Roland M., la missive suivante :

----- Original Message -----
From: Roland M.........
To: idylle
Sent: Saturday, December 02, 2006 11:52 AM
Subject: Re: Mars... encore !

          Cher Fred,

     Suite à mon précédent mail concernant le "5 couché" dans la région de Cydonia,



  

      J'ai retravaillé une image en couleur récupérée sur le site de l'ESA. Je vous envoie le résultat, ainsi que les 2 autres images que j'avais intégrées dans mon mail: Le 5 en noir et blanc, et la situation géographique.

     Cette structure paraît trop régulière pour être artificielle.

            Cordialement,

          Roland


     Fin de citation

     Nous remercions une fois de plus Roland M pour son importante contribution aux recherches astro-archéologiques d'ARTivision.

Prolongement en date du 06/05/07 : Autre étrangeté en provenance de Saturne.

       De nombreux aimables internautes nous ont fait part de la découverte d'une étrange formation hexagonale au Pôle Nord de Saturne.



      On peut découvrir cette image, entre autres, sur les sites :



       Cette forme hexagonale au pôle de Saturne est en effet très surprenante. Le Webmaster d' ARTivision ne sait vraiment pas quoi penser au sujet de cette structure très géométrique. On dirait une bouche (qui s'ouvrirait et se fermerait ) d'un animal type oursin. Mais certains cristaux ne nous montrent-ils pas cette forme hexagonale à profusion au sein de leur structure ? Et ne dit-on pas aussi que ces cristaux auraient parait-il une organisation intime s'approchant du vivant ? Alors pourquoi la structure stratosphérique de certaines planètes n'obéirait-elle pas aux mêmes loi qui gèrent l'organisation de ces cristaux ? Que de merveilles, nous réserve encore la Nature !!!...

       Mais justement ce 23/10/10, pendant que nous parlons de Saturne, il serait ici aussi utile de rapporter, de notre article Roselune.html notre paragraphe VIII intitulé : Quand Cassini Huygens, nous photographie l'impossible satellite de Saturne : Japet (Iapetus en anglais) (paragraphe en date du 13/10/2010).

     Début de citaton :
     " En nous présentant Japet (qui avait été photographié par Voyager 2 en Août 1981), lors de son Sixieme tirage en 1994, les auteurs de l'ouvrage "Constellation et Planètes" sous la forme cartographiée stylisée :



, étaient loin de s'imaginer que ce satellite allait plus tard étonné, (au sens le plus fort du terme), toute la communauté scientifique, car il présente une caractéristique unique dans le système solaire.

     On savait déjà, que ce satellite, à peu près en forme de noix, avait un diamètre d'environ 1460 Km et, comme on le voit sur la photo, qu'il avait un hémisphère orienté dans le sens de son mouvement autour de Saturne aussi noir que du charbon (nommée Cassini Régio), et qui ne reflétait à peine 5% de la Lumière, tandis que l'autre hémisphère était blanc comme de la neige sale et réfléchisait 50% de la lumiére reçue.

     Mais voyons donc maintenant, comment officiellement, en 2005, on voyait cette affaire de Japet :



     Notre modeste traduction pourrait donner :

" Japet une lune de Saturne montre un ceinturon exorbité . 7 Janvier 2005


(Source : Jet Propulsion Laboratory )

     Images renvoyées par les caméras de Cassini de la NASA lors de survol à la Saint-Sylvestre de Japet, satellite de Saturne (tuss oeil-APP-eh) montrent des caractéristiques étonnantes à sa surface, qui alimentent chaudement les discussions scientifiques, sur leur origine, .

     Une de ces caractéristiques est une longue crête étroite qui se trouve presque exactement sur l'équateur de Japet, et qui le divise en un hémisphère sombre et qui atteint 20 kilomètres d'altitude (12 miles). Cette crête s'étend sur 1 300 kilomètres (808 miles) d'un côté à l'autre, le long de son équateur. Aucune autre lune du système solaire n'a une aussi surprenante caractéristique géologique. Par endroits, la crête est composée de montagnes. En hauteur, ces montagnes rivalisent avec l' Olympus Mons sur Mars, et sont environ trois fois la hauteur du Mont Everest, ce qui est surprenant pour le si petit corps qu'est Japet. Mars est presque cinq fois la taille de Japet."


Fin de la traduction.

     Mais voyons cela de plus près :


    Puis rapprochons nous, un peu plus :



     ...Et en couleur c'est encore plus beau :



     Pas mal n'est-ce pas, ce bourrelet de 20 kilomètres de hauteur, et autant de largeur...

     ...Enfin en stylisation complète, tout est imaginable :



...Et alors même l'affaire de cratères alignés, peut s'expliquer aisément...



     Les Dieux , qui ont su téléporter une lune autour de la Terre, et raboter génialement Miranda, comme on l'a vu plus haut, n'ont sans doute eu, pas grand mal à construire et placer Japet aux alentours de Saturne... n'est-ce pas !!"

Fin de citaton.

Prolongement astro-archeéologique en date du 12/11/2010.

     Le 13/10/2010 nous avons reçu de notre grand ami artiste peintre du Canada la missive suivante :

----- Original Message -----.
From: DD JULIEN
To: Fred IDYLLE
Sent: Wednesday, October 13, 2010 7:20 AM
Subject: Re: Du nouveau sur ARTivision....


      Excellent Fred.

     Avez-vous lu cette page sur les sphères semblables à Japet retrouvées en Afrique ?

     En voici un modèle :


     Pour en savoir bien plus allez SVP à :



     Sans commentaires puisque cette affaire est tout à fait extraordinaire, voici une modeste traduction de l'article concerné :

      .Il y a quelques années, Michael Cremo et Richard Thompson ont publié un recueil volumineux d'exemples frappants a ajouter à l'histoire de "la connaissance archéologique perdue" dans un ouvrage intitulé historique "Forbidden Archaeology" (L'archéologie interdite) . En voici un passage caractéristique :

"Au cours des deux derniers siècles, les chercheurs ont trouvé des os et des artefacts montrant que des gens comme nous ont existé sur la Terre, il y a millions d'années. Mais l'établishment scientifique., a ignoré ces faits remarquables, parce qu'ils contredisent le point de vue dominant des origines de l'homme et de l'Antiquité. Cremo et Thompson, nous exhortent à repenser notre compréhension des origines, de l'identité, et du destin de l'homme. "Forbidden Archeology", prend en compte l'une des composantes les plus fondamentales de la vision scientifique du monde moderne, et nous invite à faire un premier pas courageux vers de nouvelles perspectives (nous le soulignons ici).... ".

  

     Un des exemples les plus remarquables dr l'eventuel existence d' objets anciens publiés par Cremo et Thompson est constitué de centaines de "petites sphères munies de rainures" extraites de mines en Afrique du Sud. Selon Roelf Marx, conservateur du Musée dee Klerksdorp en Afrique du Sud, où certaines de ces sphères sont habritées :

"Les sphères sont un mystère complet. elle semblent faites de main d'homme, mais au moment de l'histoire de la Terre, où elles ont été enfouies dans les couches rocheuses, aucune vie intelligente, n'existait. Ce n'est jzmais rien de tel au paravant. (Jimison 1982 ). ".



     L'un des arguments les plus convaincants montrant que ces surprenantes sphères sont artificielles, c'est qu'elles présentent un ensemble de trois rainures parallèles autour de leur équateur (voir ci-dessus), et cela s'ajoute et la dureté tout aussi remarquable de la matière (actuellement inconnue) qui les constitue.

     Mais, voyons ce que nous dit encore une fois, Roelf Marx:

"...Elles ont été trouvées dans le pyrophyllite, et extraites des mines près de la petite ville de Ottosdal dans le Transvaal occidental. Ce pyrophyllite (Al2Si4O10 (OH) 2), est un minéral secondaire assez doux avec un indice de seulement 3 sur l'échelle de Mohs, et a été formé par une sédimentation qui s'étend sur environ 2,8 milliards d'années. D'autre part les sphères, ont une structure fibreuse, enveloppée d'une coquille très dure, qui ne peut être rayée, même par l'acier`. "...

     En fait, le pyrophyllite est un minéral créé par le métamorphisme de sédiments primitifs, à température modérée et à des profondeurs d'enfouissement de plusieurs miles. Le plus étonnant, qui est un fait incontesté., (en raison de la haute spécificité de la date des couches de roche pyrophyllite dans lesquels ces sphères été trouvées), est donc leur âge extraordinaire de 2,8 milliards d'années.
     Quelle qu'en soit le mode de formation, (qui s'inscrit dans les un temps comprenant deux tiers de l'histoire de la planète Terre, dans cette couche roches métamorphiques très anciennes), cela s'est produit quand les plus hautes formes de vie sur Terre, étaient uniquement des algues rouges et bleu-verte. Question : Comment donc, il se fait que des centaines artefacts métalliques structurés et apparemment intelligemment conçus, plus durs que l'acier, puissent se retrouver, dans une telle couche de roche profonde, littéralement en miles en dessous l'Afrique du Sud ?

     Mais, ce n'est pas la partie la plus remarquable de cette histoire.

     D'autres images de ces mystérieuses "sphères métalliques" au Musée de Klerksdorp révèlent une encore plus étonnante et exacte ressemblance que nulle autre approche que celle de la sonde Cassini dont les gros plans ont montré pour le huitième satellite de Saturne satellite, nommé Japet :



vCes détails remarquables incluent non seulement la même "crête équatoriale", mais aussi la présence d'un bassin d'entrée circulaire (voir ci-dessous)! :



     Ce gros plan illustre l'ampleur de ces étonnantes analogies de 3-milliards-d'années, par rapport à leur beaucoup plus grand "cousin" distant de plus d'un milliard miles.

     Comment une telle étonnante similitude puisse se produire naturellement ?



     En gardant à l'esprit que "Forbidden Archeology" a été initialement publié en 1993, mais que les gros plans de Cassini, ne nous sont parvenus qu'en ce que Janvier 2005 , - ceci exige un parallèle inquiétant beaucoup plus qu'une désinvolte expression telle que " c'est juste une coïncidence".

     En fait, il y a dans cette découverte surprenante, la potentialité d'une "quatrième explication", relative à Japet. Mais, ce n'est pas une explication que l'on peut accepter facilement.

********


Sources :

Livres :

-"Les Faits maudits" de George Langelan Enclyclopédie Planète (1967).

- "La Lune et ses défis à la science" de A. Nahon (MontBlanc 1973).

- "Ils n'étaient seuls sur la Lune" de G. Léonard (Belfond 1978).

Remarque: L'ouvrage de Phillipe Lheureux paru en Novembre 2000, intitulé "Lumières sur la Lune" : Le grand doute publié aux Editions Carnot 10, Quai Jean-Mermoz 78 CHATOU, apporte carrément "de l'eau à notre moulin", et déclenchera, nous l'espérons vivement, une utile et souveraine prise de conscience que notre Cosmos est beaucoup plus "étonnant" que l'on ne le pense habituellement.

Revues :

- "Planéte" n°41 Aout 1968.
- "Science et Avenir" Hors série n°61 de Nov 1986.
"Ciel & Espace"n°359 d'Avril 2000.
- "Science et vie Junior" Hors série n°28 d'avril 1997.
- "Ciel & Espace" n°367, dit numéro exceptionnel, de Décembre 2000.

     Si vous voulez plonger dans d'autres mystères planétaires, cliquez s.v.p sur les articles d'ARTivision ci-dessous :

http://www.artivision.fr/match.html
ou http://www.artivision.fr/mars.html
ou http://www.artivision.fr/myslune.html
ou http://www.artivision.fr/mercure.html
ou http://www.artivision.fr/Nasajury.html
ou http://www.artivision.fr/Nasatangible.html
ou http://www.artivision.fr/Nasatangiblesuite.html
ou http://www.artivision.fr/lettreouverteSA.html
ou http://www.artivision.fr/lettreouverteSVJ.html
ou http://www.artivision.fr/lettreouverteCe.html
http://www.artivision.fr/lettreouverteMHetFR3.html
ou http://www.artivision.fr/Gille.html
ou http://www.artivision.fr/RoseC.html
ou http://www.artivision.fr/Roselune.html
ou http://www.artivision.fr/Terresym.html
ou  http://www.artivision.fr/unplusdansespace.html
ou http://www.artivision.fr/Ameriquechocretour.html



     Article mis en page le 20/07/99 et revu le 25/10/2001 , puis le 13/02/03, puis le 10/09/03, puis le 12/09/03, puis le 22/09/03, puis le 15/10/03, puis le 07/11/03, puis le 15/11/03, puis le 19/12/03, puis le 01/03/04, puis le 04/03/04, puis le 07/03/04, puis le 30/06/04 le 02/07/04 puis 09/07/04 , puis le 16/07/04, puis le 22/08/04, puis le 28/08/04, puis le 31/08/04 , puis le 04/12/04, puis le 21/12/04, puis le 02/06/05, puis le 03/08/05, puis le 24/02/06 , puis le 26/02/06, puis le 30/11/06, puis le 02/12/06 puis le 03/12/06, puis le 06/05/07 , puis le 17/04/08, puis le 21/04/08, puis le 30/05/2010, puis le 23/10/2010, puis le 12/11/2010, puis le 26/01/2011.

IDYLLE Fred



Pour tout contact avec ARTivision : fred.idylle@wanadoo.fr


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