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Les univers parallèles :
Peut-on y plonger vraiment ?

I Introduction.

       Il peut se faire que certains faits arrivés à des personnes pourtant très sensées soient si difficilement croyables que ces personnes nous les racontent après bien des hésitations pour ne pas passer pour des malades mentaux. Et il faut aller fouiller dans des revues spécialisées dans l'ésotérisme pour accéder à ces événements hors du commun. En tout cas ce n'est pas la peine d'aller consulter, pour l'instant, les publications dites sérieuses comme par exemple : "Le Monde" ou "La Recherche", pour les y découvrir. Ainsi donc, nous abordons aujourd'hui les contacts avec des univers parallèles qui a priori, vous allez vous en rendre compte, ne semblent pas seulement réservés au monde du rêve.

II Genèse de l'affaire.

      Cette affaire se déroule en deux volets :

Premier Volet :

     En 1977, nous avons enregistré à Paris, une émission intitulée "Histoires Extraordinaires" conduite par le regretté Lucien Barnier, chroniqueur scientifique à l'époque de France-Inter, que nous vous transcrivons intégralement en espérant que les protagonistes de cette affaire ou quelqu'un de leurs amis tombent sur ce site (et c'est là le rôle principal de l'Internet), pour nous en donner d'autres détails. C'était pendant l' hiver de 1967 au mois de Janvier que Mme Nathalie Nelson et son mari de Ste Cécile en Vendée qui habitaient alors une veille ferme au cœur de la forêt, ont décidé un dimanche d'aller faire un grand tour en voiture dans les environs. Madame Nelson raconte :

     " Nous avons roulé une bonne dizaine de km sur une route parfaitement connue, quand, tout d'un coup la brume qui régnait autour de nous et aussi les arbres de la forêt qui bordaient la route, ont disparu pour faire place à un paysage d'été avec des pelouses, des boutons d'or et des marguerites. Nous avons roulé un peu dans ce magnifique paysage, et nous sommes arrivés à un village, que nous ne connaissions pas, un village avec des maisons très anciennes sans crépis, avec des colombages de bois et des toits de tuiles qui paraissaient neufs et où se dressait une église dont, chose frappante, le clocher n'était pas terminé. Il y avait une luminosité extraordinaire un ciel bleu, pas un souffle d'air, les arbres immobiles et aucune vie, aucun animal , ni personne. Un signe de mort dans un paysage magnifique. Nous avons alors arrêté la voiture et nous sommes descendus. Nous avons marché pendant dix bonnes minutes, un quart d'heure peut-être , on a regardé, les maisons, les arbres, l'herbe qui avait une couleur verte absolument éclatante.

     Puis brusquement nous avons eu la même crainte : "Et si notre voiture n'était plus là ?", car cette route où nous avions pénétré, nous était totalement inconnue.

     On a rebroussé chemin et on a trouvé la voiture où nous l'avions abandonnée. Puis nous sommes repartis en voiture en se disant que nous allions au retour re-pénétrer dans ce village pour refaire le même périple et retraverser les mêmes petites rues. Mais en redémarrant la voiture, tout le froid paysage s'installa à nouveau, nous n' avons plus rencontré le petit village et seule la route givrée se déroulait de nouveau devant nous."


     Une précision nous est donnée par le rédacteur de l'émission : Mme Nelson a essayé de retrouver en vain, à plusieurs reprises ce mystérieux village et elle n'a pu trouver en fouillant les archives locales qu'un seul indice: Il existait bien à cet endroit une bourgade abandonnée mais vers les années 1500, bourgade qui a disparu sans qu'on sache exactement pourquoi ?

      Lucien Barnier, à qui le rédacteur demande si un tel témoignage ne relève pas de l'hallucination pure et simple, se déclare convaincu de la bonne foi du témoignage de Mme Nelson et s'avoue incapable d'en trouver une explication. Mais, il fait remarquer que ce thème est assez fréquent dans la littérature et en particulier dans la littérature anglaise :

     C'est l'histoire d'un médecin qui est parti à cheval visiter un malade dans un village qu'il connaissait bien et au bout de la route également brumeuse, il déboucha sur le village, mais la maison du malade lui était inconnue, et les gens parlaient une langue étrange. C'est donc, nous le voyons, une histoire assez semblable à celle qui précède et à une autre que nous dévoilerons ultérieurement dans le 2ème volet.

Le rédacteur passe alors la parole à Mme CHEST biologiste, de son état, participant à l'émission et qui nous dit : " J'ai d'abord pensé au début de l'histoire à un système de micro-climat qui se manifeste quelques fois dans une petite zone et qui peut faire passer cette zone sans transition de l'hiver au printemps. Mais dès qu'elle parle du "village" cela ne marche plus.

     Si l'on élimine l'hypothèse de l'hallucination, qui semble peu vraisemblable, puisqu'elle n'était pas seule et que son mari a vécu la même aventure qu'elle, je n'ai donc pas d'explication si ce n'est l'analogie que je pourrai faire avec le phénomène des trous noirs qui en astronomie sont des sortes vortex, des spirales tournant sur elles-mêmes où l'on constate que les relations spatiales sont extrêmement condensées et où le temps se contracte et où la matière des étoiles s'engouffre irrémédiablement. Le problème est d'en sortir. L'histoire de cette dame pose le problème de la réversibilité du temps et en tout cas d'un retour en arrière à une vitesse phénoménale peut-être même dépassant la vitesse de la lumière et c'est ce qui me fait penser à ce trou noir. En tout cas ce qui est remarquable, à mon avis, c'est qu'ils s'en sont sortis.
"

     Autrement dit Mr et Mme Nelson, ont eu beaucoup de chance de quitter ce village, car s'ils avaient cueilli ne serait-ce qu'une marguerite, que ce serait-il passé ? Pourraient-ils l'emporter dans leur voiture ? Cette fleur n'induirait-elle pas une vibration qui par résonance, les plongerait dans ce monde parallèle moyenâgeux et les ferait disparaître à jamais du notre et laissant sur le bord de la route leur seul témoin véritable, mais hélas bien muet : leur voiture ?

     Donc s'il vous arrive un jour, où vous vous promenez dans la campagne, une aventure semblable, réfléchissez avant de cueillir une fleur, même si sa beauté, vous y invite fortement.

Deuxième Volet :

     C'était le 10 Août 1901, deux respectables dames anglaises, Miss Charlotte Anne Elisabeth MOBERLY, Principale du collège St Hugh's Hall à Oxford et Miss Eleanor France JOURDAIN, Régisseur d'une petite école très renommée près de Londres :

  
se promenaient à Versailles dans les Jardins avoisinant le Petit Trianon qu'elles voulaient aller visiter. Il était environ 4 heures de l'après-midi. Elles avaient déjà parcouru longuement le château et se sentaient gagnées par la fatigue quand elles abordèrent les allées menant aux somptueuses « dépendances ».

     Elles aperçurent alors, à un moment donné, deux gardiens ou jardiniers à l'air sombre et préoccupé, vêtus d'une livrée verte et coiffés d'un tricorne.

     "- Il doit y avoir une fête costumée, une rétrospective des siècles de la monarchie, souffla Miss Moberly à sa compagne."

     Mais elles n'avaient pas le cœur à la joie. Au fur et à mesure qu'elles avançaient, une tristesse infinie les pénétrait; une tristesse dont elles ne parvenaient pas à déceler l'origine. Elles se risquèrent à demander aux deux personnes en habits verts, de leur indiquer le chemin du Petit Trianon.

- "Droit devant vous ! lança l'un d'eux d'un air bougon."

      Elles parvinrent à un kiosque rond d'inspiration chinoise et furent bien surprises, encore, d'y découvrir, confortablement assis, un homme vêtu d'un manteau ample, coiffé d'un chapeau à larges bords. Il se leva à leur approche et les dévisagea longuement. Il était laid à faire peur et l'expression de son regard était odieuse. Comme il s'apprêtait à ouvrir la bouche, elles furent saisies de panique, empoignèrent leurs jupes à pleines mains et détallérent à toutes jambes. Mais une voix, tout près d'elles, les arrêta :

     - Ce n'est pas par là Mesdames, mais par ici .

     Elles étaient, cette fois, en présence d'un parfait gentleman. Mais un gentleman vêtu à la mode du XVIIIe siècle. Il ajouta, en s'inclinant le plus civilement du monde.      - "Vous n'allez pas tarder à trouver la maison."

     Le ton rassurant ne parvenait pas à apaiser leurs angoisses. Elles avaient de surcroît, la sensation oppressante d'évoluer dans un décor qui n'avait rien de réel. Elles partirent, pourtant, dans la direction conseillée. Elles franchirent un pont suspendu, qui enjambait un petit ravin, aperçurent une petite cascade et un rocher couvert de mousse, et elles pénétrèrent dans un jardin en pente en haut duquel se dressait un "Petit Château Carré" (Le Petit Trianon ), Voyez donc l'image ci-dessous :



     Dans ce jardin, précise l'une d'elles, une dame blonde, vêtue d'une robe d'été à l'ancienne au corsage largement échancrée, était assise et dessinait. La dame n'était plus très jeune. Mais que de beauté, encore dans ses traits, que de prestance, de grâce et de distinction dans son maintien !

     Sa tête couverte d'un large chapeau blanc d'où s'échappaient en vagues soyeuses les boucles blondes de sa riche chevelure ; Il va de soit que leurs regards furent attirés par cette inconnue, altière et attendrissante tout à la fois qui fixait avec attention à bout de bras l'objet sur lequel de toute évidence, elle exécutait le croquis d'un bouquet d'arbres devant lequel elle restait plantée, comme en extase. Les deux Anglaises eurent tout le temps de la détailler. Puis elles la virent lever les yeux dans leur direction. Voyez donc l'image ci-dessous :


     Tout en elle exprimait une extrême mélancolie. Elle n'eut ni un sourire, ni un signe de tête pour ses visiteuses inopinées.

Celles-ci poursuivirent leur route. Elles tombèrent, ensuite, sur un palefrenier qui sortait d'une remise en faisant claquer la porte. Puis sur une femme qui criait "Marion, Marion" et tendait à une fillette qui accourue une tasse probablement de lait. Elles virent encore une charrue couverte de lierre; puis elles perçurent une musique de violons échappée, sans doute venant, des salons même du Trianon.

     Elles marchèrent quelque temps encore, et leur angoisse imprécise les abandonna d'un coup. Elles retrouvèrent tout leur bel entrain. La fatigue même était tombée; elles se moquèrent un peu de leurs frayeurs et échangèrent quelques plaisanteries. D'autres personnes les dépassaient ou les croisaient ; mais des c'étaient des personnages plus "rassurants" , cette fois, de leur époque. Miss Moberly et Miss Jourdain regagnèrent leur pays, mais au cours de visites ultérieures à Versailles elles constatèrent que les sentiers qu'elles avaient parcourus en Août 1901, n'existaient pas, des bâtiments qu'elles avaient vus intacts et apparemment habités telle la remise où étaient la femme et la petite fille, avaient disparu. Plus de gardiens ou jardiniers portant livrées vertes et tricornes, plus de kiosque, ni de pont sur un minuscule ravin, ni de cascade en miniature. Et elles constatèrent même avec stupéfaction que la façade du Petit Trianon vue le 10 Août était modifiée. Quant à la porte de la remise que le jeune homme avait claquée si bruyamment, elle était fermée par des verrous rouillés et couverte de toiles de d'araignée.

     Pourtant elles avaient bien conversé semble-t-il avec des personnages. Mais ceux-ci s'adressaient-ils vraiment à elles ?

     Miss Moberly et Miss Jourdain étaient de celles qui s'évertuent à revivre, au cours des soirées d'hiver les merveilles de leurs itinéraires de vacances. Elles lurent quantité d'ouvrages sur Versailles. Et leur cœur faillit s'arrêter quand elles tombèrent au détour d'une page sur un portrait de Marie-Antoinette. C'était la belle étrangère du perron et des arbres du Trianon. Elles fouillèrent fébrilement les bibliothèques, les cabinets de lecture et les archives, épluchèrent les récits et mémoires de tous les contemporains de Louis XVI, découvrirent d'autres estampes, images, et portraits... Au terme de leur chasse fiévreuse, le doute n'était plus permis: elles avaient bel et bien passé une demi-heure environ de leur vie dans un siècle révolu, elles avaient croisé la route et le regard de la souveraine guillotinée depuis plus d'un siècle.

      Elles apprirent aussi que l'homme laid qui les avait effrayées était le Comte de Vaudreuil, une victime de la petite vérole. Elles trouvèrent, même des lettres où il était question de la petite Marion et de la vieille charrue abandonnée contre un arbre et Miss Jourdain fut même capable de reproduire quelques notes de musique de l'air de violon entendu. Dix ans après leur promenade à Versailles, elles décidèrent de publier en 1911 sous deux pseudonymes cachant leur vraie identité, un livre intitulé "An adventure" .

     Des journaux aussi sérieux que Le Daily Telegraphe et le Times, en reproduirent d'abondants extraits si bien que de nombreux chercheurs et érudits se mirent en campagne. On peut d'ailleurs affirmer que, depuis cette époque maintenant lointaine, les spécialistes des disciplines les plus diverses n'ont jamais cessé de s'interroger sur la "vision" des deux anglaises: S'agit-il d'un "voyage dans le temps" ? Nos deux héroïnes ont-elles vu des fantômes? Peut-être. Ont-elles eu une authentique apparition de personnages qui ont réellement existé ? Qui le sait? Qui le saura jamais ?

     Mais il faudrait longtemps s'interroger sur les éléments qui ont permis la manifestation fortuite d'un phénomène aussi rarissime.

     On s'est évidemment intéressé tout spécialement à la date du 10 Août, à laquelle les Anglaises avaient fait leur inoubliable promenade.

     Or, le 10 Août 1792, Marie-Antoinette était déjà arrêtée, et elle devait craindre terriblement pour sa vie et celle de ses proches. Il n'est pas interdit d'imaginer qu'à ce moment là, elle devait évoquer les moments heureux passés au Petit Trianon . Alors a-t-elle projeté , ce jour là, ses rêveries dans le temps, pour qu'elles soient captées par nos deux promeneuses anglaises, 108 ans après avoir été guillotinée ?

     En tout cas, tous les historiens qui, en 1911 et plus tard, se sont penchés sur les textes laissés par les écrivains de l'époque révolutionnaire, sont d'accord pour dire que les deux promeneuses ont fourni, avec une exactitude inattaquable des descriptions de faits, d'êtres et de choses dont elles n'avaient eu aucune connaissance préalable en particulier concernant le château de Versailles de 1770, soit 131 ans au préalable.

     Ont-elles été les seules à assister à ce phénomène? Apparemment non, puisque parait-il, deux autres anglais, les Cooke qui habitèrent la région de la ville de Versailles de 1907 à 1909, confirmèrent avoir vu eux aussi la mystérieuse dame entrain de dessiner, ainsi qu'un personnage en costume de XVIIIe siècle. En 1928 deux autres anglaises d'excellentes réputations ont rapporté également un récit du même genre, lors d'une de leur promenade à Versailles. Sans doute des visiteurs français ont pu aussi voir certaines choses, mais à qui iraient-ils le raconter s'ils ignoraient qu'une telle aventure avait déjà été vécue ?

III Conclusion.



     Que conclure au sujet de ces deux volets fantastiques qui précèdent, si ce n'est que la réalité dépasse parfois de bien loin la fiction et qu'il convient de s'interroger sur nos velléités visant à comprendre et à régir ce Monde en soumettant ceux qui y vivent à notre vue sclérosée, stéréotypé et forcément réduite de l'Univers. C'est donc bien le moment de prendre une leçon de modestie et pour terminer, de citer la célèbre phrase d'Hamlet de Shakespeare: "Il y a plus de choses au ciel et sur Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie."

Références :

- Revue NOSTRA n° 16 du 16 Juillet 1972.
- Revue SELECTION de Décembre 1977 page 96.
- Revue L'INCONNU de Mai 1979 page 60.

- Livre intitulé: Les fantômes de Trianon. Monaco 1959 Edition du Rocher.

- Livre intitulé: Les fantômes de Trianon. Nouvelle Edition de 1978 de C.A.E Moberly et E.F. Jourdain. Edition présentée et établie par Robert AMADOU et préfacé par Jean Cocteau.

P.S. Une citation qui pourrait s'imposer en la circonstance:

" Le temps n'existe pas. Toutes les choses existent simultanément. Tous les événements se produisent en même temps. C'est toi qui te déplaces et non le temps. Dans le temps, il n'y a aucun mouvement. Il n'y a qu'Un Seul Instant... Lorsque tu vis une chose vraiment magnifique, tu dis que c'est comme si "le Temps s'arrêtait". Il s'arrête vraiment. Et quand tu t'arrêtes toi aussi, tu fais souvent l'expérience de l'un de ces instants qui définissent la Vie."
(D'après le C.A.D. nº2 aux Editions ARIANE.Aout 1997)

IV Prolongement révélateur ahurissant.

   Le  13 janvier 1990, Le Dr Alfred Bielek  physicien diplômé de Princeton et d' Harvard (fin des études en 1939) prétend, dans un livre(The Philadelphia experiment) et  dans une conférence réalisée le 13 Janvier 1990,  au Mufon Metroplex à Dallas dans l'Etat du Texas, avoir été avec son frère engagés dans la Marine américaine (La Navy) et avoir participé à différentes expériences destinées à rendre invisible divers objets. Certaines de ces expériences ont parfaitement réussi, mais d'autres ont été de vrais désastres avec mort du personnel et projection dans le temps, de certains expérimentateurs dont son frère et lui même personnellement.  Un film vidéo de 1984 en français, a même été tiré de ces expériences et est intitulé "The Philadelphia Expériment" produit par John Carpenteret réalisé par Stewart Raffill dont voici la jaquette :

Il y a aussi le livre deCharles Berlitz et deWilliam L. Moore intitulé, "Opération Philadelphie "aux Editions Maritines & d'Outre-Mer, 1980 et celui des mêmes auteurs en collection de poche J'ai Lu et sorti en Juin 1991 dont voici les couvertures:

  


     Nous ne pouvons ici détailler les incroyables et mêmes, nous l'affirmons encoreahurissantes, révélations faites par ce docteur, dont vous trouverez la traduction de sa conférence et de divers interviews sur les sites remarquables suivants que nous vous invitons à consulter, à près avoir pris rendez-vous chez votre cardiologue si votre cœur est fragile :

       Interview 1990 :http://frendelvel.multimania.com/albiel1.htm 

      Interview 1992: http://frendelvel.multimania.com/albiel12.htm

Forum avec fransyl: http://www.multimania.com/fransyl/ufo/amontauk.htm

       Autre adresse : http://www.multimania.com/frendelvel/index.html 

    Interview 1997 : http://www.leadingedgenews.com/article.html

    Si tout ceci est vrai, alors nous cela nous prouve que nous avons eu raison de créer le site ARTivision , dont la mission première est de vous faire rêver un peu, tout en montrant, que la réalité, peut dépasser parfois, même vos rêves les plus fous.

V Autre prolongement prolongement surprenant en date du 29/07/07.

      C'est un jour de Juillet 2007, que nous avons eu le grand plaisir d'enregistrer sur le Câble Guadeloupe sur la chaîne "13è Rue", un volet concernant "Les histoires extraordinaires" de Pierre Bellemare, qui passent autour de 6 heures 30 du matin.

     Nous dédions donc cet article à ce conteur incomparable qu'est Mr Pierre Bellemare, dont les histoires (souvent empreintes de fantastique et où le pressentiment des protagonistes joue un grand rôle) démontrent sans contestation possible que " la réalité dépasse souvent de loin la fiction ". En effet, le site ARTivision, dans de très nombreux articles, s'est efforcé de démontrer que, ce que les rationalistes endurcis, appellent avec emphase le hasard, et qui pour eux, est relié simplement à la " la notion de simultanéité ", n'existe pas en fait,, et que tout est réglé par des lois, dont nous ne soupçonnons même pas l'existence, et lois qui prennent racine dans un complexe multidimensionnel, hors de notre portée actuellement, à moins que l'on ait atteint le niveau de ceux que l'on appelle les "Maîtres", sortes d'entités qui savent manipuler, la quatrième dimension, et bien plus sans doute, et maîtres, au sujet desquels, nous ne pouvons nous étendre ici.

     Au cours d'une émission Mr Pierre Bellemare, n'a t-il pas lui même dit ? : ".. je m'interroge sur la part qu'occupe dans la vie de chacun le Hasard et le Destin ? Existe-t-il une force extérieure qui infléchit nos décisions? Dans quelle mesure controlons-nous nos choix? Notre vie est-elle tracée ou avons-nous la liberté d'intervenir ? "

     Il dit aussi parfois cette maxime si souvent repétée par ARTivision : "...La réalité est plus forte que l'imaginaire... "

      C'est en tenant compte de toutes ces considérations philosophiques, que nous pouvons déjà dire merci à "l'inspiré" Pierre Bellemare, dont la mission est d'être, à n'en point douter, un précurseur préparant les Temps Nouveaux, car il a su nous ouvrir l'esprit en face d'une extraordinaire réalité, en osant présenter des histoires que certains bien-pensants très cartésiens , auraient préféré garder sous le boisseau.



Image extraite du site http://www.pierre-bellemare.com/


( Notez bien que les protagonistes de cette histoire sont remplacés, pour préserver leur anonymat, par des acteurs de cinéma)

Le village fantôme.

     Mais voyons cette nouvelle histoire mystérieuse de Pierre Bellemare que nous résumons succinctement.

     Depuis 17 ans, Carole et Philippe Josserand informaticiens de leur état, cherchent à comprendre le phénomène stupéfiant dont ils ont été témoins. Un phénomène traumatisant qui leur a fait garder le silence durant toutes ces années par discrétion et besoin de tranquilité

     Au cours d'une recherche d'appartement en Provence, Carole et Philippe, carte d'un syndicat d'initiative en main, se retrouvent dans une région boisée traversée par de petites routes, qu'ils parcourent avec sérénité. Ils nous expliquent donc d'abord, tout leur cheminement :

  


     Puis c'est le narrateur Pierre Bellemare qui prend la parole:

    "Comme vous venez de vous en apercevoir Carole et Philippe sont sains d'esprit, ce sont des gens équillibrés, sensées parfaitement crédibles, pourquoi dans ces conditions , d'outeriez-vous de la véracité de leur témoignage.
     Il est important que vous gardiez ceci en mémoire, car la suite de mon histoire, va vous entraîner bientôt, dans un tout autre monde.
"


     La visite de la région continue sous forme d'une agréable promenable...Mais écoutons les protagonistes :

  


" A un moment, vers deux heures de l'après midi, après avoir arrêté la voiture, sur le bord d'un chemin, le sac à pique-nique en bandoulière, on s'est éloigné d'environ deux cent mètres, de la voiture en continuant sur un chemin qui est devenu de plus en plus étroit et , sans transition, la forêt a disparue progressivement et on s'est retrouvé dans un village. (et pour commprendre cette disparition Pierre Bellemare pose la question s'agit-il d'une hallucination, d'un malaise ou d'un rève ? )

     C'est exactement cela, on avançait lentement et d'un coup, on s'est retrouvé marchant dans le village. Forcément nous fûmes très étonnés.. et le mot est encore faible. On ne se souvenait pas d'y être entré, ni même de l'avoir vu de loin.

      On sait que ça parait invraisemblable ce qu'on raconte, mais c'est comme cela, on a eu beau repasser le film dans notre tête depuis 17 ans, on n'a pas trouvé d'explication.

     (Et le narrateur Pierre Bellemare nous dit alors : Une forêt qui disparaît, un village mystérieux, l'histoire devient de plus en plus folle et voici en images fugitives une perspective imaginée ce village) :

  


      Nous marchions dans la rue pavée d'un village sans trottoir, il y avait de maisons avec des façades qui se rapprochaient au niveau des étages supérieurs des facade avec des colombages pas de fenêtres, une sorte de village touristique, mais sans personne.

     C'était très effrayant.

Je me suis retourné dit Philippe vers Carole, elle était toute pâle, je lui ai demandé si cela allait. Elle m'a répondu "Je n'aime pas cet endroit".

  

     Je lui ai pris le bras elle tremblait . J'ai senti dit-elle comme un malaise, une impression de malheur. Je sens encore cette sensation de froid jusque dans mon ventre . Moi aussi j'avais froid, j'ai regardé par terre et on a vu , dans le milieu des pavés, qu'il coulait un filet d'eau, qui était gelé, et cela en plein mois de Juin . Une mince pellicule de glace en formation. C'était incroyable. Je peux vous dire que l'on ne s'est pas attardé. On a remonté le col de nos blousons plutôt légers et on calquait des dents et on s'est mis à courir. On n'a pas croisé une seule personne dans ce village, où il y avait des virages partout. C'était surréaliste.

     A un moment donné, on a croisé une chapelle comportant une porte massive avec des mosaïques dessus . Elle était véritablement belle. Mais on n'a pas eu le temps de s'arrêter et on a continué. Puis on s'est retrouvé dans la forêt. On n'a pas vu la transition. On est passé du village à la forêt, sans rien comprendre. Donc, on a eu dès lors chaud. Très chaud. On s'est arrêté pour souffler un peu. Il faisait encore clair, et là on s'est rendu compte que l'on était perdu. Impossible de savoir où était la voiture. On a avancé en spirale et à un moment donné, on a retrouvé une route et là, sans vous mentir, on a tiré à pile ou face et on est parti à gauche. Quelle chance au bout de deux ou trois kilomètres, on est retombé sur la voiture. On a sorti tout de suite la carte routière et on a regadé dessus. Il n'y avait aucune existence de ce village.
"


     Puis Pierre Bellemare s'interroge:

     " Carole et Philippe ont-ils été victimes d'une hallucination à deux, d'un phénomène inexplicable qui leur a fait perdre leur repère sensoriels. Ils s'interrogent avec angoisse et décident de faire des recherches sur ce village mystérieux.

     Ils se rendent à la Mairie pour questionner quelqu'un des environs et c'est l'adjoint au maire qui les a reçu :
"


     "Quand ils sont venus me voir à la mairie, ils m'ont raconté alors leur mésaventure. Ils voulaient consulter les plans et m'ont assaili de questions. Mais leur histoire était tout à fait surprenante. J'avais bien un jour, entendu parler d'un village qui pouvait correspondre à leur description. Mais ce village avait disparu depuis des siècles.
     Dans la région, il y avait comme une légende au sujet de ce village. On le disait maudit. Alors je les ai envoyés à la préfécture consulter la documentaliste Mme Pirouelle .
     Elle saurait mieux que moi, les renseigner.
"


     Cette dame, par un coup de chance, se souvenait bien d'avoir parcouru un manuscrit du XVIe ou du XVIIe mentionnant l'existence, dans la région, d'un village qui avait été frappé par la peste. Malheureusement tous les habitants avaient péri.


      " Effectivement ce texte m'était passé entre les mains et si je me souviens bien, le seigneur du lieu avait fait brûler tout le village. Cela se passait au cœur de l'hiver et il avait fallu mobiliser toute la population pour faire livrer du bois pour alimenter ce gigantesque bûcher. Ensuite le seigneur avait ordonné que l'on efface toute trace de ce lieu, car il était considéré, j'imagine, comme frappé de malédiction. Chaque pierre de chaque maison avait été ensuite dispersée partout, si bien que l'on nomme maintenant ce village : le village fantôme. Il n'y a plus aucune trace matérielle et depuis longtemps d'ailleurs. " .

      Donc, à croire l'archiviste nos deux promeneurs seraient tombés sur le village maudit. Seul le manuscrit pourrait donner peut-être un détail supplémentaire. Mais qu'est-il devenu ?

     Philippe nous dit alors :


" Nous n'avions jamais vu le manuscrit en question, et nous avons demandé à Mme Pirouelle de le rechercher... Mais.... "

     Mme Pirouelle raconte alors :

  

" Après la visite de Mr et Mme Josserand , j'ai voulu rechercher ce manuscrit et j'ai découvert qu'on ne pouvait plus le consulter. Une bonne partie des archives de cette époque avait brulée dans un incendie, et malheureusement ce manuscrit en faisait partie. L'incendie avait eu lieu quelques années au paravent et on a soupsonné un acte criminel, mais on n'a jamais su vraiment ce qui s'était passé. "

Et c'est Mme Josserand qui nous dit alors :

" Un village glacé qui avait disparu depuis trois siècles et dans lequel nous étions pourtant allés, l'incendie des archives, tout cela commençait à nous faire peur.
     D'autant plus qu'avec cet incendie, on n'avait plus aucun début de preuve à présenter. La seule personne qui peut encore croire à notre histoire, c'est la documentaliste Mme Pirouelle.
     C'est la seule personne vivante à avoir eu en main ce manuscrit et encore, je vous parle de cela, il y a plus de 20 ans.
"

     Du coup Mr et Mme Josserand, vu le caractère pesant de leur aventure, ont abandonné l'idée de s'installer dans la région. On les comprend parfaitement.

     Et c'est alors à Pierre Bellemare qu'il appartient de conclure :

     " Le village fantôme frappé par la peste semble avoir dans le passé une existence bien réelle.
- Pour autant les Josserand ont-ils véritablement parcouru ses rues désertes et pétrifiées ?
- Et cet incendie des archives de la région ?
- Est-ce un hasard que tous les manuscrits de l'époque aient disparu ou ont-ils été détruits intentionnellement ?
      Ces questions resteront sans doute à jamais sans réponse... Et Philippe et Carole devront se contenter de se raconter encore et encore... leur voyage dans une dimension où tout repère est aboli.
"

      Voilà donc l'histoire vraiment incroyable, que raconte Mr Pierre Bellemare, qui nous garantit qu'elle est authentique et nous n'avons aucune raison de mettre sa parole en doute.

     Ce qu'il faut aussi savoir, c'est que nous avons résumé plutôt sommairement cette histoire ne pouvant hélas préciser chaque petit détail montrant son caractère hors normes et qui a mis, très mal à l'aise, on l'a constaté, les protagonistes, Mr et Mme Josserand, de l'affaire.

     Évidemment, nous demandons avec déférence encore à Pierre Bellemare, sa grande indulgence pour les emprunts de ses textes et de ses d'images, illustrant si souverainement les propos d'ARTivision, parus il y a des années. Notre action est avant tout désintéressée car aucune publicité n'est faite sur notre site.

     Vous avez cependant noté que l'aventure de Mr et Mme Josserand, se rapproche grandement de celle de Mr et Mme Neson, vue plus haut ( Note du Webmaster : C'est évidemment, un nom d'emprunt, car nous avons été contacté par un de leurs parents, qui nous a dit toute son émotion et sa surprise de retrouver l'histoire de ses proches sur notre site. Nous serions heureux évidemment qu'il puisse en être de même de Mr et Mme Josserand )

     Si actuellement la Science, ne peut donner aucune explication claire et nette du phénomène en question, il n'en sera pas, selon nous, toujours ainsi. Le Temps des Révélations est bien en marche et l'explication pourrait venir justement d'entités qui comme par exemple Soria, savent évouler dans la quatrième dimension, où même plus.

     Mais ce que nous devons tirer en définitive de tout cela, n'est-ce pas une irrémédiable leçon de modestie, en face de notre compréhension de la Vie qui nous entoure, et qui nous lie à un Cosmos bien plus fantastique qu'on ne saurait jamais le croire ? Nous irons même plus loin, en disant que nos liens avec nos frères de cette planète, sont donc à la base de notre intégration dans ce Cosmos et demeurent à la racine de notre proche devenir... A bon entendeur salut.

     Pour en savoir plus sur les autres mondes qui nous côtoient, il serait aussi utile de se diriger vers le site de Patrick Delsaut, spécialiste de la Vie dans les autres Mondes et Webmaster du site "Présence d'autres Mondes" :


qui a écrit un livre exceptionnel sur les Mondes Parallèles et pour vous procurer ce livre, cliquez sur le lien ci-dessous :


VI Un certain plus dans l'affaire le 3/08/07.


     Les tentatives d'explication des phénomènes évoqués ci-dessus ont fusé, et en voici quelques unes assez significatives :

----- Original Message -----
From: Jack D.....
To: Fred IDYLLE
Sent: Sunday, July 29, 2007 3:39 PM
Subject: Re: Du nouveau surprenant sur ARTivision.

          Cher Fred,

     Je suis heureux d’avoir de vos nouvelles et de savoir que vous êtes toujours sur la brèche.      Vous écrivez :"J'espère que votre santé est au beau fixe ..."

     Il n’y a pas trop à se plaindre de ce côté. J’espère qu’il en va de même pour vous....

     J’ai lu votre additif d’aujourd’hui, dimanche 29 juillet 2007. Comme les précédents que vous citez (notamment celui bien connu de Versailles), il s’inscrirait dans le cadre d’un quatrième état de conscience, pratiquement encore non décrit de nos jours. À ma connaissance, seul le Docteur Bernard Auriol en parle sur le site suivant :

     Il s’agirait d’une phase de l’état de veille analogue au sommeil paradoxal, au cours duquel apparaissent les images du rêve. L’hypothèse, vraiment intéressante, mériterait d’être approfondie ; notamment en ce qui concerne le fait de “rêver” la même chose à deux....
           Bien cordialement.
           Jack

Autre missive :

----- Original Message -----
From: Guy R.........
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Tuesday, July 31, 2007 11:37 AM
Subject: Le temps

          Bonjour,

     En préambule je voudrais dire déjà tout le bien que je pense de votre site Artivision, et du travail fantastique (c'est le cas de le dire !!) que cela représente. J'admire votre profonde érudition, votre ouverture d'esprit, vos inlassables et courageuses recherches. Il y aurait beaucoup à dire, et je voudrais avoir plus de temps (le temps... nous y voilà !) pour lire et relire le fruit de vos travaux si passionnants... J'arrête car je risque de froisser votre modestie naturelle !:-)

     J'ai lu avec le plus grand intérêt votre article sur les "univers parallèles" en date du 29/07/07 à

     Les expériences relatées dans votre article, et plus particulièrement les 3 premières, relatives au "passé" m'ont fait penser à l'invention du Père Pellegrino que vous avez évoqué dans votre article:



     Je vais essayer de dire pourquoi, mais d'abord, permettez-moi de re-citer la citation que vous avez vous-même placée dans votre article, et qui est une bonne introduction à ce que je voudrais dire : " Le temps n'existe pas. Toutes les choses existent simultanément. Tous les événements se produisent en même temps. C'est toi qui te déplaces et non le temps. Dans le temps, il n'y a aucun mouvement. Il n'y a qu'Un Seul Instant... Lorsque tu vis une chose vraiment magnifique, tu dis que c'est comme si "le Temps s'arrêtait". Il s'arrête vraiment. Et quand tu t'arrêtes toi aussi, tu fais souvent l'expérience de l'un de ces instants qui définissent la Vie." (D'après le C.A.D. nº2 aux Editions ARIANE.Aout 1997).      Pour ma part, je pense aussi que le temps n'existe pas, mais je ne pense pas qu'on se "déplace".

     Mon hypothèse, ou plutôt mon idée de recherche d'une hypothèse concernant ces problèmes de temps ou d'espace-temps, va sembler bien naïve et simpliste, mais tant pis, je me risque !

     La machine du Père Pellegrino est censée capter tout évènement placée dans une sorte de mémoire universelle, et le restituer.

     Les personnes comme celles des expériences que vous rapportez semblent s'être déplacées dans le passé (ou pour d'autres dans le futur).

     Et si ces 2 types d'expériences procédaient d'un même fonctionnement de l'espace-temps ?

     Mon idée simpliste est de comparer la faculté de perception que nous avons, nous autres humains de la terre, du temps ou de l'espace-temps, à un récepteur radio branché sur une certaine longueur d'onde, la longueur d'onde correspondant au milliardième de seconde près (et même moins !) à l'instant T que nous vivons. A l'instant T, nous ne percevons plus l'évènement de T- 1 milliardième de seconde, et pas encore celui qui sera en T + 1 milliardième de seconde.

     SI le temps n'existe pas, ET SI nous pouvions percevoir tous les évènements du passé (même très récent), du présent et du futur au même "instant à notre sens", nous deviendrions fous. Mais SI le temps n'existe pas ET SI nous avons un dispositif de réglage automatique de notre "récepteur" qui nous "empêche" de recevoir les évènements du passé et ceux du futur, alors la vie devient possible sans devenir fou, du moins pas complètement ! Que deviendrions-nous si au concert, nous entendions toutes les notes d'un morceau en même temps ? (Pourtant c'est ce que semble vouloir faire certains morceaux de rock... !).

     Reprenons l'exemple de la radio. Une station radio émettant dans une fréquence trop proche d'une autre, et avec moins de puissance, pourra être mal reçue par un récepteur ou reçue simplement dans certaines conditions. Et dans d'autres conditions, ce sera la station plus puissante qu'on recevra.

     Alors reprenons l'hypothèse que le temps n'existe pas, et que c'est nous simplement qui avons un récepteur bien "calé sur la bonne chaîne", c'est-à dire calé pour recevoir *seulement* ce que nous appelons le présent. Et puis supposons qu'un jour, à un certain endroit, dans certaines conditions atmosphériques, électro-magnétiques, etc., une perturbation existe soit dans les "émetteurs d'évènements", soit dans les récepteurs, c'est-à-dire en nous-mêmes. A ce moment-là tout se dérègle et nous ne recevons plus le "présent", mais un évènement du passé ou du futur. Je ne pense pas que nous soyons "transportés" dans le passé ou dans le futur. Je crois plutôt que nous "recevons" le passé ou le futur. Mais qui se dérègle ? L'émetteur ou le récepteur ? Ou les deux ? Au moment ou se situe l'expérience, il faudrait pouvoir analyser le maximum d'éléments à la fois dans l'environnement immédiat de l'évènement, mais aussi chez les sujets.

     Etant donné que ces évènements ne sont jamais reproductibles et sont très rares, je ne vois pas comment on pourrait s'y prendre...

     Que fait l'appareil du Père Pellegrino sinon se brancher sur une certaine "longueur d'onde" ? Après tout, tout n'est-il pas "vibrations" dans l'univers, donc longueurs d'onde ?

     J'espère que, malgré la rareté de ces expériences, vous pourrez nous en relater d'autres, qui donneront du grain à moudre à ma petite idée. Tout cela est vraiment passionnant. Un grand merci encore pour votre énorme travail !

          Bien cordialement

          Guy R........

     Autre message :

----- Original Message -----
From: Gérard F......
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Wednesday, August 01, 2007 8:09 AM
Subject: RE: Univers //.

          Cher Fred.

     Ci-joint le témoignage d'un ami en Egypte au temple d'Abydos sur les portes temporelles.

      "Alors je rentre juste et découvre ton message du jour, oui il y a des portes temporelles si l'on peut les appeler comme cela, je penserai plutôt pour ma part à des portes menant à des univers parallèles où les temps sont différents du notre, je sais qu'en Brocéliande il y en a, j'y ai été avec des amis, il y a trois ou quatre ans et nous en avons perçu de manière furtive, l'air change de structure et les temps ne semblent pas s'écouler pareil... une impression vibratoire aussi est présente, et presque par endroit une impression de malaise indéfinissable également... en Egypte aussi où nous avons été avec vous et avec N..... C....... et F....... également dans un temple où il y avait des fausses portes de tracés/sculptées sur les murs, devant il y avait une pierre d'offrande avec un poisson et des grains de blés de sculptés, on versait de l'eau qui venait couler sur la reproduction des aliments, ensuite dans une rigole, et chargée ainsi de l'essence des offrandes que l'on versait aux dieux... bref, je suis monté sur cette pierre devant la porte et j'ai fermé les yeux en mettant mes mains sur la pierre les yeux fermés, et mentalement la porte s'est ouverte, je suis entré dans un tunnel d'une trentaine de mètres ensuite il y avait un couloir à angle droit et je suis entré dans une pièce ou l'air était la lumière même... et devant moi est apparut Anubis... j'ai fait demi-tour et je suis revenu très confus et perplexe et , C....... et F........ ont fait la même expérience que moi, et N....... est juste entrés pendant une dizaine de mètres dans le couloir suffisamment pour voir le coude au fond à droite... elle ne s'est pas aventurée plus loin et est revenu de suite... comme tu vois selon moi et mon expérience, les portes existent..."".

          Cordialement.

          GF


      Merci donc à nos amis internautes pour leur si aimable participation aux recherches d'ARTivision.

VII Deux prolongements fantastiques en date du 03/01/09.


Premier volet.


      Le 11/12/08 notre Ami écrivain de longue date Guy Tarade(voir le site : http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/ ), nous a envoyé une histoire très troublante.

     Guy Tarade, alors nous présente Didier Van Cauvelaert, auteur de nombreux ouvrages fascinants visibles sur le site http://www4.fnac.com/Didier-Van-Cauwelaert/ia126007 ) et en particulier, il y a l'ouvrage qui annonce déjà la couleur :


     Lors d'une récente conférence à Roquebrune Cap Martin Didier Van Cauvelaert a exposé l'histoire hors normes suivante :

UNE HISTOIRE TROUBLANTE .

     En Juin 1925, Jean Romier, un étudiant en médecine de 24 ans, rencontre dans les jardins du Luxembourg M. Berruyer, un sympathique vieillard qui, à la suite d'une conversation sur Mozart, lui propose de venir assister à l'un des concerts qu'il donne chaque vendredi dans son appartement, rue de Vaugirard, en compagnie de sa famille qui partage sa passion pour la musique classique.

     Le vendredi suivant, le jeune Romier se présente chez les Berruyer, rue de Vaugirard, et passe une agréable soirée à écouter du Mozart, à discuter avec un jeune séminariste, ainsi qu'avec les deux petits-fils de M. Berruyer, un étudiant en droit et un aspirant de l'Ecole Navale.

     A minuit, il prend congé, mais à peine sortie dans la rue, il s'aperçoit qu'il a oublié son briquet. Jean Romier remonte et sonne. Personne ne répond. Très intrigué, il sonne longuement et finit par réveiller le voisin, qui appelle le concierge en criant au voleur.

     Un commissaire de police du poste le plus proche arrête l'étudiant.

     Une enquête est menée. Le voisin et le concierge affirment que l'appartement est vide depuis des années, à la suite de la mort de M. Berruyer. Jean Romier, issu d'une honorable famille, parvient à convaincre le commissaire de sa bonne foi.

     Le lendemain matin, on fait venir l'arrière-petit fils de M. Berruyer, propriétaire de l'appartement. En ouvrant la porte, on découvre un appartement à l'abandon, rempli de toile d'araignées. Jean Romier étonne tous les témoins par sa parfaite connaissance de la disposition des pièces, ainsi que ses précisions sur les membres de la famille Berruyer.

     Ainsi, le jeune étudiant en droit vu la veille était le grand-père avocat de l'actuel propriétaire, l'élève de l'Ecole Navale son grand-oncle devenu amiral, et le séminariste son grand-oncle devenu missionnaire en Afrique. Quand aux concerts, le jeune Berruyer affirme qu'ils ont bien eu lieu autrefois dans cet appartement. Enfin, sur une table, on découvre le briquet recouvert de poussière de Jean Romier qu'il avait laissé la veille au soir !

     Le professeur Dutheil explique que ce jeune homme fut victime d'une hallucination étonnante. Toute une famille de fantôme lui est apparue. L'enquête de police à prouvé qu'il ne pouvait s'agir en aucun cas d'une supercherie montée par le jeune Romier. Les détails stupéfiants de précision qu'il fournit à M. Berruyer sur les membres de sa famille et la découverte du briquet constituent d'ailleurs des indices troublants.

     L'aventure est si étonnante qu'on la raconte à Albert Einstein lui-même, qui la prend très au sérieux et déclare que "ce jeune homme a trébuché dans le temps... comme d'autres ratent une marche d'escalier".

     

L'hypothèse scientifique :



     De nos jours, la science quantique avance clairement la possibilité de la survie de l'âme. Il pourrait exister un autre "état" de l'univers, invisible pour nous. En d'autres termes, un univers immatériel où tout irait vers une organisation croissante, où l'esprit trouverait sa véritable mesure : un univers où des notions telles que la maladie, la vieillesse ou la mort n'existeraient pas.

     Une telle hypothèse n'est pas l'oeuvre de fantaisistes, mais de scientifiques de haut niveau.

     "Travaillant dans le prolongement des idées d'Albert Einstein, écrit Jean-Paul Ronecker, le physicien Jean Charon fut amené par ses recherches à élaborer sa théorie de la Relativité Complexe. Il faut entendre ici le mot "complexe" dans son sens mathématique, c'est à dire constitué d'une partie réelle et d'une partie imaginaire (comme les nombres complexes). Selon Charon, l'univers, dans sa nature profonde, première, serait complexe, c'est à dire que réel et imaginaire s'y mêleraient intimement. Notre perception de la "réalité" serait ainsi tronquée, incomplète, illusoire, et résulterait, en quelque sorte, d'une erreur d'interprétation.

     "En accord avec les données de la physique moderne, Jean Charon a montré que les électrons renfermeraient en eux un "dedans" où l'espace et le temps, tels que nous les connaissons, échangeraient leur rôle (c'est aussi ce qui se passerait, en théorie, dans les trous noirs). Ainsi, dans les électrons, tout se passerait à l'inverse de notre univers perceptible : au lieu d'être dans un système entropique (où tout va vers le chaos, la destruction), nous serions dans un système néguentropique (où tout va vers l'ordre), c'est à dire que les choses ne s'y désorganiseraient plus et, bien au contraire, s'organiseraient de plus en plus - l'ordre et la mémoire des évènements passés s'enrichiraient sans cesse."

     Cette approche rejoint en tout point certains aspects de la métaphysique bouddhique.

     Quelle est l'hypothèse ?

     Il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n'existe plus puisqu'on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, que le professeur Régis Dutheil a baptisé "espace-temps superlumineux", n'est constitué que d'informations et de conscience : toutes les informations (passé, présent, futur) et la conscience de toute l'humanité.

     Une hypothèse qui rejoint les intuitions de certains philosophes de l'Antiquité et bouleverse les notions même de naissance et de mort.


Deuxième volet.


     Le 14/12/08 nous avons reçu d'un internaute nommé Christophe V-M... la missive suivante :

--- Original Message -----
From: Christophe V-M...
To: fred.idylle@wanadoo.fr
Sent: Sunday, December 14, 2008 3:17 PM
Subject: La ferme évaporée
          Bonjour Fred,

     Guy Tarade m'a demandé de te faire parvenir notre aventure qui s'est déroulée en 1994 un bon copain et moi même au Bugarach.

     Les véritables noms ont été remplacés par des pseudos pour des raisons de tranquillité...
          Bonne réception
          Fraternellement
          Christophe V-M le neveu de Jacques L.

Mystères sur la route du Bugarach (Témoignage de David)

     Lors de notre séjour dans l'Aude au mois avril 1994, Yvan et moi-même, avions projeté de faire la montée du Pech de Bugarach.

     De bon matin, nous sommes partis de Rennes-les-Bains, sous un ciel très gris et voilé jusqu'en direction du mont situé à environ. 8Km 500. A l'époque nous n'avions ni l'un ni l'autre de permis de conduire et donc pas de véhicule. Cependant, nous étions emprunts de curiosité, et un équipement parfait "d'explorateur"…

     Les médias de l'époque (revues spécialisées et de grandes émissions de télévision) distillaient de fantastiques histoires au sujet de ce lieu mystérieux : des carcasses d'animaux morts sur ses flancs, des apparitions d'OVNI, interdiction de survols par des aéronefs etc…


Bref, nous avions décidé d'aller constater de plus près ces phénomènes qui nous intriguaient.
     Après avoir dépassé depuis un bon moment le grand virage du lieu dit La Vialasse, nous nous engageâmes sur la départementale 14, non loin des ruines de la Falconnière qui longent la succession de virages précédant le petit village de Bugarach.

     Là, nous décidâmes de faire une petite pose et de nous arrêter devant une ancienne ferme

     L'état des lieux nous interpella. Tout sentait l'archaïque. Un grand désordre régnait dans ce qui nous sembla être une ancienne écurie reconvertie en pièce à débarras. Une vieille charrue et des outils gisaient au milieu de divers objets métalliques…

     Intrigué par un panneau qui se trouvait au niveau du portail de la barrière qui fermait la propriété, je m'accoudai sur la palissade en bois pour déchiffrer des inscriptions qui s'y trouvaient. Elles semblaient être des lettres grecques. Nous y vîmes un alpha et un delta…

     Sur le moment Yvan me dit :

     " Tu devrais prendre une photo de cette vieille ferme."

     Je lui répondis qu'il ne me restait qu'une pose et que je ne voulais pas gâcher de la pellicule… " Si j'avais su, aujourd'hui, je m'en mords encore les doigts ! "

      Puis nous repartîmes en direction du Bugarach pour y faire ascension.

          Précisions :

     Nous nous étions fabriqués un petit détecteur de métaux artisanal qui fonctionnait très bien avant de progresser dans cette forêt dans laquelle jamais aucun oiseau vole ou chante. Lors de notre progression vers le Mont Bugarach, notre capteur cessa bizarrement de fonctionner, ceci sans raisons apparentes, son alimentation électrique étant parfaite.

          Soudainement je fus pris d'une peur panique et irréfléchie. Je voulais rebrousser chemin et rentrer à Rennes-les-Bains…

     Yvan insista tellement que je me suis résignai à continuer l'aventure.

     Nous avons commencé notre petite escalade en nous égarant dans les dédales de cette petite forêt.

     Cependant très vite, le chemin nous apparut, et la sensation de peur qui m'habitait avait totalement disparue, lors de notre arrivée au sommet…

     Un moment, nous nous sommes assis sur des blocs qui se trouvaient en contre bas de " La Pique Grosse " pour reprendre notre souffle. C'est alors que nous avons eu la sensation de sentir le sol trembler sous nos pieds.

     

Où la fameuse ferme s'est évaporée.

…      Sur le chemin du retour, au niveau de la succession de virages qui se trouvent non loin des ruines de la Falconnière, nous n'avons pas retrouvé " la dite chaumière " à l'endroit où nous nous étions précédemment arrêtés, pour notre petite pause.

     Nous n'y avons retrouvé à la place qu'un champ en friche !

     J'entends encore les mots d'Yvan résonner dans mes souvenirs !

" Tu devrais prendre une photo de la ferme ? "

          Mars 1996.

     David et Yvan sont musiciens. Comme ils étaient dans les environs de Bugarach et qu'ils avaient besoin de réaliser un petit film (une route illuminée par des phares de voitures), destiné à être projeté sur un écran géant, lors d'un concert qu'ils organisaient pour la Fête de la Musique….Ils eurent la surprise, une fois rentrés dans la région parisienne, de voir qu'ils avaient filmé également autre chose avec leur caméra. Lorsque leur voiture avait passé le virage de " la Vialasse " un OVNI triangulaire apparaissait pendant plusieurs secondes sur leurs images. Lors du tournage ni l'un ni l'autre ne s'était rendu compte de cette insolite présence!

     Fin de citation

http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/
http://symphoniesgraphiques.over-blog.com/

     Et voici en substance ce que nous avons répondu à Christophe V-M :

----- Original Message -----
Sent: Monday, December 15, 2008 1:58 PM
Subject: Re: Christophe V-M..

     Très cher Christophe.

      Bonjour la Caraïbe.

          Merci pour ce témoignage surprenant.

        On peut penser en effet que c'est vraiment dommage qu'une photo n'ait pas pu être prise au moment adéquat. Mais inversement, qui sait ce qui aurait pu se passer, car la photo aurait matérialisé un support vibratoire relié au contexte historique de l'univers visité. Cela aurait pu alors entraîner une sorte de vortex, oùles deux visiteurs pourraient rester attachés, avec toutes les conséquences qu'on devine, et en particulier leur disparition de notre monde vibratoire et leur basculement dans un univers parallèle.

      Mais je n'ai aucun moyen de prouver pour l'instant, cette assertion. Cependant, il est bon de se rappeler les paroles vues plus haut de la biologiste Mme CHEST dans le cas des Nelson : " En tout cas ce qui est remarquable, à mon avis, c'est qu'ils s'en sont sortis. "
       Sur ce je te souhaite donc de bonnes découvertes sur ARTivision (qui bouge beaucoup ces temps-ci : voir mon dernier article :  http://www.artivision.fr/PeinemortDreyfus.html,qui est mis à jour régulièrement ) , et je te dis à un de ces jours prochains si le Maître du Temps , n'y voit pas d'inconvénients.

       Vives cordialités tropicales.
               Fred Idylle.



   Article mis en page le 20/03/2000, et revu le 15/07/2001, puis le 13/03/03, puis le 30/05/05, puis le 29/07/07, puis le 03/08/07, puis le 07/04/08, puis le 20/04/08, puis le 03/01/09.

IDYLLE Fred

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